Chapitre 2

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-Quoi encore? criai- je en sortant de mes pensées.

-Nous sommes arrivés mademoiselle, répondit le chauffeur.

Je regardais à travers la vitre. Je voyais un grand bâtiment.

- C'est pas une maison ça?

- Non mademoiselle, c'est votre nouvelle école.

-Mais qu'est ce que je fais ici? C'est demain la rentrée pour moi.

Déjà que je n'aime pas l'école et maintenant on me dit que mon premier jour dans cette ville, je devrai aller à l'école.

Quel chance !

- Je ne sais pas mademoiselle, c'est le consigne que j'ai reçu du chef et vous devez aller directement dans le bureau du proviseur. Quant à moi, je laisserai vos bagages dans votre nouvelle maison.

-Mais...

-Je peux rien vous dire de plus, il vous dira lui même, me coupa t-il.

J'ai même pas eu le temps de lui poser des questions que quelqu'un me tire hors de la voiture..

- Lâchez moi espèce de perver, vous vous prenez pour qui? sale con..

Sans lui laisser le temps de parler, je lui donne un coup de pied dans ses cojoñes et il se plia en deux. La tête qu'il fait, c'est à mourir de rire.

-T'en veux encore?, lui demands-je en rigolant.

Sans lui laissait le temps de repondre,je lui en donne un autre coup de pied dans les jambes. Quand je me lance à lui donner une autre coup, quelqu'un crie mon nom..

- KILARI!!

Quand je me retourne, je suis surpris de voir..

- Grand père? ,cris-je en allant lui prendre dans mes bras.

- Je suis heureux de te revoir ma chérie, tu m'a tellement manqué.

- Toi aussi Pépé, (seulement ma cousine et moi pouvons l'appeller comme ça) Tu m'as manqué. Mais qu'est ce que tu fais ici habiller comme ça?

Il doit avoir dans les soixantaine mais il y'a toujours un corps d'athlète. Il a les cheveux brun avec quelques mèches blanches, les yeux marron clair. Il est vêtu d'un costume gris comme s'il était un important homme d'affaire.

Je crois qu'il a lu dans me penser  parce qu'il me repond..

- Je suis le proviseur de cette école, et je voulais te voir avant que tu part vivre chez ton oncle. Suis moi on va discuter dans mon bureau.

Quoi ? Depuis quand est t'il le proviseur? Léa ne m'a rien dit à propos de ça. Elle m'a envoyé les photos de la famille pour que je les reconnaissent en les voyant.

Avant de partir, je donne un autre coup à l'autre homme qui est toujours au sol.

- Kilari! dit Pépé en rigolant. Ce n'est pas pour rien que t'es ma petite fille.

Je hoche la tête et le suis en souriante.

Cette école est mieux protéger qu'une prison. Il y a des gardiens vêtu en noir devant le portail et dans l'establisment. Les murs sont très haut impossible de les escalader. Des cameras dans chaque coin de l'école.

Mon Dieu! Quel crime j'ai fait pour meriter ça!

- Tu peux rentrer.

-Quoi?

Je me suis même pas aperçu que je suis déjà arriver devant son bureau.

J'entre et m'asseois sur un fauteuil. C'est le silence complèt. Personne ne parle alors je décide de briser la glace.

La Diablesse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant