When The Stars Come Out - LS - 'VF'

Chapitre 4

Désolée, j'ai pas l'impression que ce chapitre soit super bien traduit, il est super compliqué grammaticalement et surtout dans les constructions des phrases, encore plus que le reste de la fiction je crois. Donc n'hésitez pas à me dire à quels endroits c'est vraiment incompréhensible parce que je n'ai pas le recul suffisant!

       

CHAPITRE 4

Harry ne s'en était toujours pas remis.

Même après s'être enfuit comme un enfant. Même après s'être cogné le front contre les beaux murs recouverts de papier peint de sa chambre assez de fois pour les voisins cognent en retour. Même après avoir essayé -sans succès- d'enlever l'humiliation en frottant avec son savon exfoliant senteur pêche

Il ne s'en était toujours pas remis.

Alors qu'il finissait de boutonner sa chemise, ses doigts trouvèrent la peau sous son téton et pincèrent fort, cherchant la douleur. Mais ce ne fit que lui rappeler d'autres mains douces explorant les pentes vulnérables de son torse, les courbes de ses poignées d'amour, le gonflement de son biceps. La façon dont elles avaient déposé des éclats de chaleur dans leur passage alors qu'elles taquinaient et attaquaient.

Harry grogna, tombant comme un aigle étendu sur le lit.

Il avait pensé atteindre le sommet de la gêne quand il avait flirté avec Louis si ouvertement pour être si gentiment repoussé. Il y avait eu un moment, là, alors que leurs corps se balançaient juste légèrement plus proches dans un air qui avait tout sauf étinceler de possibilités qu'Harry avait pensé - peut-être. Il avait pensé que peut-être que l'étincelle dans les yeux de Louis était de l'intérêt pour lui.

Dieu, ces yeux.

Si bleus. Ils semblaient s'accorder avec le ciel sans nuages. Ou le ciel les avait vus et, jaloux, avait refusé de se faire voler la vedette. Comme ce n'était pas la pensée la plus fantasque qu'Harry n'avait jamais eu. Le ciel étant envieux des yeux de Louis. Cependant, il devrait être envieux.

Et quand Louis avait souri et que le coin de ses yeux s'était plissé sous l'amusement véritable? Eh bien. Harry pouvait difficilement être tenu pour responsable de ses actions.

Sauf qu'il était responsable de ses actions. Dans le feu de l'action, quand il semblait que le monde n'était qu'eux deux et l'herbe qui chatouillaient leurs pieds et les oiseaux qui chantaient des chansons d'amour alors qu'ils dansaient dans les ombres des anciens arbres feuillus il avait mis de côté la prudence et avait essayé.

Il ne s'appellerait pas un flirteur, pas tant. C'est juste... il aimait les gens. Les gens avaient tendance à l'aimer, aussi. Charmant, c'était le mot avec lequel il était associé depuis que ses cheveux avaient arrêté de faire ce truc bizarre de Paul McCartney dans les années 1960. Parfois c'était péjoratif et ça l'embêtait plus qu'il n'aimait l'admettre. Mais le plus souvent, c'était joyeux.

Les amies de sa mère roucouleraient et pinceraient ses joues ou le barman lui servirait une boisson gratuite ou un numéro, gribouillé à la hâte, serait enfoncé dans sa poche. Ça ne faisait pas de mal. Il y avait eu quelques fois à l'école où les gens avaient mal compris ses intentions, mais Harry avait toujours réussi à arranger tout ça.

Le fait est, il n'était pas gênant avec les gens. Mais il était gênant avec Louis.

Mais debout là, alors que Louis lui souriait et il avait pensé que peut-être qu'il avait enfin réussi à surpasser la façon dont ses nerfs ses détraquaient quand il était autour de cet homme. La façon dont son pouls s'accélérait et son cerveau papillonnait jusqu'à complétement s'arrêter. Et il avait flirté. Flirté. Avec le petit-ami de sa sœur. Putain.