Constantes et ruisselantes,
Tombantes comme la pluie,
Sans un bruit, j'y subis,
Et personne s'en soucis.Juste munie d'un parapluie et de quelques amies,
Perdue dans tous ces tsunamis,
Je crève d'envie,
De partir loin d'ici.Petite fille chérie,
Qui avec son beau sourire ,
A l'esprit bien pris,
Navigue entres disputes.Sur un petit navire fragile,
J'y risque ma vie,
Et sous ces beaux rires, je prie,
Pour remontée sur la rive.
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Journal d'une désespèré
PoesíaUn monde parfait ne peut exister, on se fait tous des idées différentes de ce que peut être ou ne peut être le parfait alors on désespère et on passe à autre chose, mais les souvenir qu'il soit bon ou mauvais nous hante et ce graves en nous à jamais...