Pdv : Kateitsuki
Cela fait deux jours que nous avons enterré nos parents mais nous n'arrivons toujours pas à faire notre deuil, pourtant c'est ce qu'ils fallaient qu'on fasse pour que nous puissions survivre et ça, Yoshoa l'avais bien compris. Nous n'avons que 5 ans mais nous devons déjà nous débrouiller comme des personnes responsables. La nourriture n'était pas difficile à trouver en ce temps mais le problème, c'était les villageois. Ils ne se comportaient plus comme avant, ils sont tous devenue méchants, cruels, égoïstes... alors qu'avant, ils étaient l'exact opposé. Leur comportement nous a encore plus renfermé sur nous même.
Nous ne manquons de rien sauf d'un endroit où vivre et de la présence de nos parents. Ils nous manquent à nous deux et cela se fait beaucoup ressentir, mais nous n'avons pas le temps de nous morfondre car nous devons encore chercher de quoi manger. Les suicidaires se font de plus en plus rare, donc nous ne trouvons pas beaucoup de choses à se mettre sous la dents, nous marchons depuis une bonne heure, et nos ventres nous rappelle notre famine. Cela fait un mois que nous n'avons pas mangé, j'avais propposé à mon frère de tué un humain pour qu'on puisse survivre mais il m'a juste dis "je vais y réfléchir " et j'attends encore sa réponse. Soudain, Yoshoa se stoppe et se tourne vers moi.
Yoshoa : Ta propposition pour tuer un humain, est-elle toujours valide?
Kateitsuki : Oui, bien évidemment!!!
Yoshoa : Alors, es-tu prête pour une chasse à l'homme?
Kateitsuki : Plus que jamais!!!
Après avoir confirmé notre plan d'attaque et avoir attendu la nuit, ce qui n'a pas été une mince affaire , nous partons vers la ville tout en se cachant des inconnus qui restaient encore dans les rues. Notre plan d'attaque était : que nous allions vers un club, n'importe lequel (on s'en fiche) et que nous attendions qu'une personne complètement bourrée fasse son apparition.
Après une bonne demi-heure, une personne sortis du club et, par chance, se dirigea vers notre côté. Nous sommes restés dans l'ombre pour pas que cet humain puisse nous apercevoir, il continua son chemin sans nous voir. Nous avons choisi cet instant pour sortir nos kagune, qui était le mélange des kagune de nos parents. Mon frère se plaça à la droite de notre nourriture et se jeta sur lui pour l'imobiliser en pensant à plaquer sa main sur la bouche, il entoura son kagune écailleuse sur les jambes de notre victime pour que je puisse, avec mon kagune ailé, lui lancé des projectile sur tout son corps, en évitant bien sûr mon frère. Après avoir terminé notre crime, nous prenons le corps tout les deux en essayant de le surélever mais se fut peine perdu, donc nous le trainons en faisant bien attention à ne pas se faire remarquer par les passants, qui doivent être insomniaque pour rester aussi longtemps dehors. Notre tâche étant accomplie, nous retournons dans notre forêts pour savourer notre délicieux repas, mais nous ne sommes pas des sauvages, alors nous avons fait en sorte que notre dîner soit assez présentable et aujoud'hui, c'était à Yoshoa de s'y mettre.
Pdv : Yoshoa
Je ramène le corps vers notre petit coin de tranquillité, et commença mon chef d'oeuvre. J'enlevas tout les petites chose inmangeable pour nous ( les parties génitales, les poils, les habits, les doigts et les orteils) puis j'arrachais les bras, les jambes et la tête, pour pouvoir mieux découper le buste. Après ce magnifique dépecelage, je pris quelque chose de coupant ( que nous avions trouvé pendant notre escapade) et je fis de fines tranches en partant du haut et en terminant jusqu'en bas. Kateitsuki me ramena des planches de bois, pour que je puisse déposer notre nourriture dessus car nous nous en servions comme assiettes, puis après avoir fait cela, nous décidons de garder les membres restant pour si nous avions encore faim.
Quand notre repas fut terminé, nous partons nous coucher, nous nous blotissons l'un contre l'autre pour avoir de la chaleur. Pour une fois, notre nuit n'a pas été trop mouvementé, mais notre réveil était tout autre.
Un bruit de branche qui se cassait nous réveilla, pris par peur de se faire découvrir, nous sortons nos kagune pour pouvoir nous mettre en hauteur sur les arbres et nous attendions qu'une personne pointe le bout de son nez mais il ne se passa rien, donc nous redescendons de notre arbre pour pouvoir faire nos choses quotidiennes. Mais nous n'auront jamais dus redescendre car un cri nous alerta.Inconnu : Aaaaaaaaah !!! Des...des GOULES!!!
L'inconnu parti en courant pour, sûrement, avertir le CCG ( organisation qui élimine les goules) . Pris de panique, ma soeur et moi, nous nous ruons à sa poursuite pour la tuer, mais quand nous l'avions enfin rattrapé, nous n'étions plus dans notre forêts mais dans la ville, sous tout les regards des passants, nos kagune à découvert ne nous aider franchement pas à notre situation. Les villageois se mirent tous à courir en criant "DES GOULES " Ou des " AU SECOURS ". Nous savions que nous étions fichus, que notre vis hebdomadaire disparaissait lentement mais douloureusement car nous savions que nous devions quitter notre ville, là où nous sommes naîts, là où nous avons nos précieux souvenirs, là où nos parents sont décédés et où ils reposent en paix. Et à cause d'une légére erreur, nous devons quitter notre ville bien-aimé.
Nous courrons à travers la forêt, survivre était obligatoire, nous courrons, courrons et courrons encore, jamais nous ne nous arrêterons, JAMAIS. Nous devons survivre coute que coute, nos parents ne nous ont pas sauvé pour que nous mourrions par la suite, les inspecteurs du CCG, appelés aussi "colombes", ne nous attraperont JAMAIS.
Après des heures et des heures de course, nous apercevons une grande ville, nous nous dirigeons vers celle-ci tout en s'assurant que personne ne nous voit. Arrivés près de la ville, nous rentrons nos kagune et nous nous faufilons dans ce nouveau paysage pour nous refaire une nouvelle vie qui, peut être, sera meilleure que la vie que nous avons eût ces dernières et longues semaines.
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Twin Ghouls Story
ParanormalNous sommes des monstres d'après les autres. Nous n'avons plus personne pour nous dire qu'ils ont tort. Nous fuyons, nous nous cachons et nous tuons pour survivre. Et maintenant, nous nous trouvons dans une autre ville et nous commençons un nouveau...