Chapitre IV: L'arriver

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   J’ai dû m’habituer à cette fournaise, moi qui n’étais pas habitué à elle…
Le froid était ma meilleure amie, alors, faire sans, était comment dire : difficile.
Je me retrouve habitué au froid, et à une chaleur dévorante, te rongeant de l’intérieur.
Mes premières années étaient loin d’être les plus faciles. Faites de mensonges, de faux amis, puis de faux espoirs…
Tu as dû relire deux fois le mot « mensonges » . Car ce n’est plus le cas, je ne mens plus. Mais pour me faire accepter ici, j’ai dû mentir sur ce que j’étais, ce que j’avais, quitte à avoir des doutes sur moi-même, c’est ce qui s'était passé…
Je commençais à gagner la confiance des autres, j’étais en petite classe encore, dans une petite école primaire payant pas de mine, mais gagner l’amitié des autres était mon unique but, tu le comprends bien.
Alors que je commençais à avoir des copains d’écoles, des amis proches, un certain «Edmond» me présenta un proche ami à lui, enfin, une bonne connaissance devrais-je dire ?
Ce petit bonhomme fut mon meilleur ami connu à ce jour sous le nom d'Alexis, un petit asiatique, qui ne ferait pas de mal à une mouche : et je dois dire que ce gars m’a aidé.

"Un petit être, dans un problème humain "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant