Un jour d'été

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La mer, dans un incessant ballet, remuait, glissait et dans une charge héroïque d'écume et de vagues assaillait les ruines des châteaux de sable de la veille. Mais mes yeux ne regardaient ni ce combat, ni le soleil qui se confondait dans l'infinie étendue qui s'offrait à moi. Non, mon regard n'était tourné que vers toi, ma douce et ravissante muse. Et nos pieds sur la sable encore humide et chaud s'enfonçaient doucement et je ne rêvais plus que de toi et de ta bouche contre mon oreille me chuchotant une fois encore "je t'aime".

Sentiments EphémèresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant