Moi:"vous..."
Avant que je ne puisse poursuivre ma phrase, j'entend un croisement de tissu et je sens une large j'ai se poser sur ma taille. Une décharge me parcourt l'échine et de délicieux frissons courent sur ma peau.
???:"chuuuuuut......"
LE LAISSER FAIRE
Pour une raison que j'iniore, je me sens presque envoûté, l'accueil son contact avec plaisir, comme si je l'avais toujours attendu. Je sens le souffle chaud de l'inconnu. Il reste ainsi quelques instants comme s'il jugeait la situation, comme s'il était lui aussi dépassé par ses émotions et cherchait à évaluer mon état d'esprit. Lorsqu'il caresse ma joue du dos de la main, mes lèvres se trouvent et mon souffle se fait court.
JE VEUX SA BOUCHE SUR MOI
Mon coeur est sur le point d'exploser. Je voudrais tout à coups que sa bouche se pose partout sur moi... (ça va Pas?! Qu'est ce qui me prend?) Mais le mélange de son parfum, masculin et subtil, envahit mes narines et acheve de m'ôter toute volonté. Sa main effleure sensuellement la courbes de mes reins, pendant que son torse ferme et puissant se colle contre ma poitrine pour m'immobilier contre la paroi. Je me retrouve bloquée entre son corps chaud et l'acier froid. Je devine qu'il a appuyé un bras a côté de mon visage pour mieux contrôler la situation. Je n'arrive plus à rassembler mes esprits. Mes jambes commencent à flageller, pendant que je sens sa main parcourir lentement le bad de mon dos jusqu'à la naissance de mes fesses. Il pose ses lèvres avec une lenteur diabolique sur la peau délicate de mon cou. Le contact est enivrant, presque irréel... Je pourrais totalement basculer me laisser aller au desir que me tord le bas-ventre simplement par les sensation étourdissante qu'il me procure... il prend soudain mes lèvres a pleine bouche comme s'il allait me dévorer. Je retiens mon souffle et mes lèvres se trouvent pour accueillir sa langue qui s'insinue avidement entre elles.
LE LAISSER FAIRE
Je pose mes mains sur sa poitrine et je profite de ce moment voluptueux, et je réponds au rythme qu'il impose. Nous restons un instant ainsi, à nous frôler, le souffle court. J'essaie de lutter une dernière fois contre ce que mon corps réclame et je tente de me ressaisir. Mais, sans me laisser plus de répit, il saisit ma nuque pour me pousser à l'embrasser a nouveau. Lexigeance de son baiser me fait complètement tourner la tête. Je ne sais même plus ou je suis. Je ne suis plus qu'un corps brûlant, impatient suppliant. (Qu'est-ce qui m'arrive? Est-ce que je vais vraiment faire ce que je m'apprête à faire?!) L'habileté et la volonté de si étreinte ne laissent que peu de doute sur la suite des événements.. . Doucement il relâché la pression sur mes poignets. J'insinue mes main sur sa taille scuptee puis je remonte le long de sa veste pour défaire le bouton qui la tenait fermer. J'entends le croisement du tissu qui glisse et tombe au sol. Lorsque mes mains caressent ses pectoraux et tirent sur sa chemise, je l'entends étouffer un petit soupir totalement troublant. A son tour, il palpe ma peau sous le tissu de ma jupe. On n'entend plus qu'un mélange de gémissements impatients et de souffles étouffer. Ma conscience de dit d'arrêter ça tout de suite. Je ne suis pas ce genre de fille! Mais visiblement mon cerveau est tombé en panne en même temps que cet ascenseur. Tout à coup, les moteurs se remettent en route. La lumière revient en un flash aveuglant. Impossible de discerner les traits de mon mystérieux partenaire car il me maintient fermement, de sorte que je ne puisse pas voir son visage.
NE RIEN DIRE.
J'ai a peine retrouvé mon souffle et je suis loin d'avoir retrouvé mes esprits. Je voit je plusieurs fois des yeux pour m'habituer à nouveau a la lumière. Ma paume encore poser contre son torse, je sens les muscles puissants et fermés des pectoraux. Je halete et je titube, pas bien sûre de réaliser ce qu'il vient de se passer. Complètement troublée, je me laisse enivrer par son parfum et par le contact de sa peau. Alors que je reprends mon équilibré, je sens sa voix chaude caresser mon oreille le sang qu'il ne maintient.
???:"vous allez descendre à cet étage. Gardons ce moment secret..."
ACQUIESCER
Je voudrais répliquer quelque chose, lui dire d'aller se faire voir, lui et son secret, me défaire de sa domination. Mais rien. Je n'arrive pas à arriver un mot, je sens on son de sa vois qu'il sourit.
???:"vous ne saurez pas qui je suis..."
Je le sens, il joue avec moi comme un chat le ferait avec la petite souris qu'il tient entres ses griffes. Mais cette dernière phrase, au lieux de me perturber, secoue tout mon système nerveux d'un festival d'étincelles.
