Précédemment dans dark Zayn :
Au moment où je repose le téléphone, j'entend des bruits de clés, comme si la personne qui se trouve devant la porte avait le double des clés alors que moi-même je n'en ai pas. Quand la porte s'ouvre et que je vois qui se trouve en face de moi, mon visage se décompose et un énorme stresse s'empare de mon corps.
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Je recule de quelques pas pendent qu'il referme la porte derrière lui.
-Abby, ou est Zayn ?» Me demande t-il en souriant bêtement.
Je le regarde un long moment avant de décider de parler.
-Il se douche.» Dis-je rapidement.
Un petit rire quitte ces lèvres.
-C'est bizarre, on entend pas l'eau de la douche couler. Eh puis en venant je n'ai pas vus sa voiture.» Dit-il en s'approchant de moi.
Bordel Abby dis quelque chose !
-Pourquoi es-tu ici?» Lui demandais-je doucement.
-Je voulais Zayn, mais il n'y a que toi...» Dit-il en passant sa main dans mes cheveux.
Il me dégoûte !
-Arête.» Dis-je en repoussant sa main.
Un sourire prend place sur ces lèvres. Je le regarde dans les yeux en essayant de le repousser mais c'est peine perdu.
-Calmes-toi, Abby.» Dit-il en attrapant mon bras.
Il me traîne jusqu'au canapé avant de me jeter sur celui-ci. Je lâche un petit cris avant d'essayer de me relever. Il attrape à nouveau mon bras.
-Yasser, vous me faites mal.» Dis-je en essayant de retirer mon bras de sa poigne.
Il se penche vers moi avant d'embrasser le coin de mes lèvres. Bordel il faut que je parte de cette maison. Je me relève à toute vitesse, je pars vers les escaliers mais je trébuche, je n'ai pas le temps de me relever, il se trouve deja à califourchon sur moi. Bordel ils ont un problème dans cette famille.
C'est seulement quand le père de Zayn passe sa main sous mon pull que mes yeux commence à s'humidifier.
-AU SECOURS!» Hurlais-je.
Il attrape mes deux bras avant de me les tenir au dessus de ma tête. Je bouge dans tous les sans mais encore une fois je suis en position de faiblesse.
-Ferme-là mon trésor...» Me dit-il en arrachent totalement mon t-shirt.
Il laisse mon soutien gorge, trop occupé par déboutonner mon jeans. Je cris, je hurle pour qu'il arête mais il n'est décidément pas décidé à s'arrêter.
-Arête de crier ma jolie.» Dit-il en retirant mon jeans.
Je lui hurle d'arrêter, on dirait que ça l'agace puisqu'il me met une énorme gifle.
