It's not JUST a dream

Prologue

(PDV Claire)

Ma vie n'a pas toujours était rose. Elle n'a pas toujours était facile non plus. Lorsque j'étais petite j'étais dans un orphelinat, j'ai toujours étais dans un orphelinat. Je pense même que je suis née là-bas. Cette endroit étais froid, sans amour, il n'y avait pas d'affection envers les enfants. Ils se contentaient de nous nourrir, de nous instruire et de nous donner des ordres. Malgré tout, j'avais entendu dire que ce n'étais pas le pire. Heureusement pour moi, malheureusement pour les autres enfants. Depuis le plus loin que je me souvienne, j'ai toujours étais autonome, réservée, distante et réfléchie. C'est sans doute parce que personne ne s'occupait de moi, ni de personne d'autre.

C'est dure de ne pas avoir de parent. De pouvoir compter que sur soi-même. Être responsable depuis son jeune âge n'apporte pas que des bonnes choses. La preuve, je ne pouvais pas avoir d'ami. J'avais trop peur qu'ils partent et qu'ils ne reviennent jamais. Alors je restais loin d'eux mais eux voulaient rester près de moi, pour une raison inconnue. Ils me disait que j'avais quelque chose qui les attiraient, quelque chose de magique. Ça m'a toujours fait rire mais je ne le montrais pas. Non, ils ne devaient pas se rapprocher de moi.

À l'âge de quatorze ans j'ai finalement étais adoptée par deux personnes formidables. Noémi et Brent Laurens sont devenus officiellement mes nouveaux parents. Tout se passait bien. Il m'avait tout de suite mise à l'aise. J'avais enfin pu avoir une chambre digne de ce nom, elle était dans les tons blanc et beige et je l'adorais. On avait également un petit chaton noir avec une tache en forme de cœur blanc sur l'œil droit. Ils m'avaient donnés l'autorisation de lui choisir un prénom. J'étais très contente ce jour là, je l'avais appelais Figaro comme le petit chat dans pinocchio. Ils avaient été surpris au début mais n'avaient pas protesté. J'ai toujours étais fan des contes de fée. Mon préféré, également celui que l'on m'avais offert pour mon anniversaire, étais "Peter Pan". Ce conte a bercé mon enfance, c'est le seul conte que je connais sur le bout des doigts. Par contre, j'ai jamais pu blairer Wendy Darling. Je trouve qu'elle est beaucoup trop parfaite, c'est d'ailleurs pour cela que j'adorais Clochette, elle voulais à tout prix la tuer. Malheureusement Clochette ne fini pas avec Peter Pan mais Wendy non plus donc tout va bien.

Tout se passait parfaitement bien, je m'étais même faite des amis. Trois plus particulièrement. Il y avait Mégane, Rina et Thomas. C'étaient de très bon amis. Ils me surnommaient tout les trois Clochette par rapport à mes cheveux blond, mes yeux bleus et mon attachement a ce personnage. Nous allions tout les trois au même collège et par chance nous nous trouvions dans la même classe. Nous discutions de tout et de rien, ils m'invitaient chez eux et moi chez moi. J'ai grandis et j'avais dés à présent quinze ans.

C'est à ce moment là que ma vie a prit un tournant. Mes parents d'accueils avaient décidé d'adopter un autre enfant. J'étais très heureuse à cette nouvelle, j'allais peut être avoir un petit frère ou une petite sœur. Mais Noémi m'apprit que j'allais avoir un frère, oui, mais un GRAND frère. De un an mon aîné. Je n'étais pas déçu, tant que j'avais un frère tout m'allait.

Deux mois plus tard ils m'annoncèrent qu'il arriverai dans l'après-midi et qu'il serait sûrement là lorsque je rentrerai des cours. J'étais d'autant plus heureuse en apprenant son prénom, Peter. Comme vous aurez pu le savoir, j'adore ce prénom. En rentrant des cours, je découvrais enfin mon frère mais mon ressentis envers lui ne fut pas comme je l'avais prédit. Je ne pouvais voir Peter comme un frère. Plus le temps passa et plus cette sensation grandissait en moi. Nous étions très proche lui et moi mais je ne l'ai jamais appeler "grand frère" et bizarrement lui non plus ne m'a jamais appelé "petite soeur". Je ne me posais pas de question et je continuais de me rapprocher de lui.

Un jour, lors de mes seize ans je me suis rendu compte que ce sentiment grandissant en moi était de l'amour envers celui-ci et j'appris avec satisfaction qu'il ressentait la même chose. Malheureusement pour nous, "nos parents" n'aimaient pas se rapprochement et ils décidèrent d'envoyer Peter loin de moi, dans un centre militaire. Mes parents avaient l'argent pour, ils étaient riche, très riche.

C'était avec une grande pêne que je me séparais de lui en me prévenant que je ne le reverrai que lors de ses dix-huit ans. Un an sens lui. J'allais le surmonter.

Sauf que un an plus tard, le jour où il aurai du revenir, deux policiers vinrent à sa place. Ils nous avouèrent qu'ils enquêtaient sur son enlèvement. Ils avaient découvert du sang dans sa chambre et des marques de combat. Il ne savaient pas qui avait fait ça mais nous étions suspect. Ils nous interdirent de sortir de chez nous après 22 h 00.

J'étais anéantis. Je me suis dirigée vers ma chambre en courant, n'écoutant pas les cris des mes parents. J'avais tout détruit. J'étais épuisée alors je me suis allongée sur mon lit et je me suis endormi.

Pour la première fois de ma vie, j'avais fantasmé sur Peter lors d'un rêve. C'était fort réelle, j'étais dans une sorte de transe, comme si rien autour de nous ne comptait. J'avais fait ma première fois dans un rêve et c'était très bizarre. Mais le plus bizarre fut la tache de sang sur mon lit le lendemain et la douleur entre mes jambes. C'est à ce moment que je compris que ce n'était pas un rêve. Que Peter et moi avions fait l'amour et qu'il était reparti après ça. Qu'il ne se souciait pas du faite que nous étions suspectait de son enlèvement.

C'est à ce moment que j'ai commencé à le haïr. À haïr Peter.