Madness of Love (Jeff The Killer x Reader)

Changement

Précédemment :

Un soir comme les autres, alors que je suis en train de jouer à la PS4, Ben rentre, un sourire radieux collé au visage. Il s'incruste à coté de moi.

Ben : j'ai une bonne nouvelle !

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J'arque un sourcil.

Moi : mon père est mort ?

Ben : non, mieux ! J'ai parlé à Slender, il m'a dit qu'il voulait que tu vienne avec moi au manoir des creepypastas.

J'en crois pas mes n'oreilles.

Moi : QUOI ?! Répète, je veux être sûre d'avoir entendu *-*

Ben soupire.

Ben : j'ai parlé à Slender, il m'a dit qu'il voulait que tu vienne avec moi au manoir des creepypastas.

Ok, j'ai très bien entendu. Mes sentiments ces gros bâtards prennent le dessus, et je me met à chialer telle une fragile.

Ben se fout de ma gueule pendant plus d'une demie heure.

Après ma crise de larmes de joie passée, je reprend mes esprits.

Moi : mais ma mère elle va me tuer, elle va le dire à mon père et là je peux dire adieu à ma vie..

Ben : non t'inquiète pas, on a tout prévu, tu sauras en temps voulu.

Sur ces mots, je me lève, tire un sac de sous mon lit et bazarde quelques affaires dedans.

Une fois ça fait, je cache mon sac sur l'ordre de Ben (oui un elf me commande..).

Moi : on part quand ?

Ben : dans la nuit, quand ta mère dormira.

Je ne réfléchis pas et prend Ben dans mes bras et le serre. Du moins aussi fort que ma force de moucheron me le permet (N.d.A : je m'excuse auprès des gens musclés xD).

Moi : merci merci merci !!

Ben : pourquoi tu me remercie ?

Moi : bah parce que tu me permet de quitter mon trou à rats ! Et aussi de rencontrer.. Non rien.

Je rougis et libère Ben de mon étreinte. Il ricane.

Ben : rencontrer qui ?

Moi : personne, oublie !

Ben : de toute façon je vais vite le savoir.

Puis il me fait un grand sourire de bâtard. Je vais finir par lui retirer sa virginité anale, si vous voyez ce que je veux dire.

Une heure plus tard, après une embrouille de gros gamins, on entend ma mère aller se coucher. Je regarde Ben.

Ben : prend ton sac, on y va.

Je tire mon sac de sous mon lit et me dirige vers la porte de ma chambre.

Ben : on passe par la fenêtre, pour éviter d'attirer l'attention.

Moi : mais t'es malade ! On va crever !

Ben : mais nan c'est pas haut, tu crois que je fais comment moi..

Puis il se dirige vers la fenêtre, l'ouvre et saute. Il atterri en bas en mode normal.

Ben : aller [T/P], à toi.

J'enjambe la fenêtre et m'élance telle un oiseau au vent.. Mais atterri comme un énorme étron. Ben explose de rire.

Je me relève et met un coup de poing dans le ventre de ce connard d'elf qui se fout de ma gueule.