Partie 3: II

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" Je suis toute seule chez moi cet après-midi, j'étais plongée dans une série que je regarde depuis que je suis en cinquième quand soudain quelqu'un frappe à la porte. J'ouvre la porte Paul se trouvait de l'autre côté au moment où je vois son visage je claque la porte. Mais il insiste je ne réponds pas mais il ne lâche pas l'affaire, je fini par ouvrir et lui crie :

-Tu t'en vas, dégage, ne viens plus me voir c'est clair ? Tu es parti au moment où j'avais le plus besoin de toi je ne demandais pas que tu fasses taire les fausses rumeurs ou bien que tu casses la tête à tout ce qui m'insultait , je demandais juste que tu sois là, que tu me rassures, que tu me soutiennes rien de plus. Mais non tu n'as rien fait de tout ça alors maintenant tu dégages !

Je suis à bout de souffle, les larmes me montent aux yeux mais je lutte, tandis qu'il me regarde avec son visage d'ange sans rien dire.

-Écoute, je suis désolé, j'ai merdé pardonne-moi.

-Tu es désolé c'est tout ce que tu trouves à dire quand tout le monde me détestait tu n'as pas bougé le petit doigt et je crois savoir pourquoi. Pour ne pas salir ta réputation de footballeur parfait et là les rumeurs commencent enfin à cesser ma vie commence à redevenir normal et tu te pointes tout sourire. Excuse moi de vexer ton ego mais je croyais que tu étais quelqu'un de bien, que tu en valait la peine et le pire dans tout ça c'est que je suis tombée amoureuse de toi. Mais en réalité tu n'es rien de tout ça tu es comme tout le monde un mouton de Panurge. Si quelqu'un dit que je suis une "Salopes" tu es d'accord et tu me tourne le dos mais alors quand quelqu'un dit que je suis sympa tu reviens tout sourire avec des excuses.
Non ce n'est pas comme ça que ça se passe avec moi. Je te demande une dernière fois de prendre tes clics et tes claque et de dégager de chez moi."

Tous ces mots étaient sorti tout seul j'avais besoin de dire tout ce que je pensais, ça m'avait fait tellement de bien. Il méritait tout ce que je lui avais dit.

"Je claque de nouveau la porte. Lorsque que je l'ai regardé pour la dernière fois son visage était devenu sombre est rempli de haine. Je suis assez fier de moi à vrai dire. Il m'a fait tellement de mal, je devais lui dire tout cela. Mais une fois la porte fermée je fond en larmes. Bon allez il faut que j'arrête de pleurer après tout ce n'est qu'un abruti."

"Suite à tout ça j'appelle Becky Meredith pour tout leurs raconter mais Becky ne répondait pas."

Ce soir là j'avais eu du mal à m'endormir mais ce qui m'attendait le lendemain était loin d'être simple. Tous les regards, les moqueries avaient cessé jusqu'à ce matin-là.

"Je regarde mon Téléphone comme tous les matins et voit une vingtaine de messages de numéro inconnu certains disent des insultes obscènes et d'autres me propose de les rejoindre ou d'appeler la personne qui m'envoyer un message. C'est quoi ce délire encore."

"J'ai fini de déjeuner mais les messages continue j'ai du en recevoir une dizaine en plus, tous plus stupide les uns que les autres."

"En arrivant au lycée on me siffle de nouveau mais cette fois c'est un gars de ma classe qui s'appelle Joch. Il est de taille normale, les cheveux bruns très frisés, il porte des lunettes. C'est l'intello de ma classe. Il vient me voir et me demande:

-alors comme ça d'après Paul tu as couché au bout de deux jours avec lui et, il paraît que tu lui a sauté dessus. Je te croyais plus respectable.

-Mais n'importe quoi c'est quoi cette histoire. Et alors qu'est-ce que j'en ai à faire que tu me croyais plus respectable.

Il tourne les talons en rigolant.
Je suppose que toute cette histoire vient de Paul ce qui ne m'étonnerait pas.
Je m'avance vers lui et tout son petit groupe de filles en minijupe et de garçon plus matcho les uns que les autres.
Je m'adresse directement à Paul qui prend un air très sûr de lui.
Et dis :

-c'est quoi ton problème ! Tu n'as pas compris ce que je t'ai dit l'autre soir, c'est quoi cette histoire bidon que t'as inventé ?

-Aller ma grande dit leurs à tous que c'est toi qui m'a sauté dessus et tu n'as pas hésité, je me trompe.

Je sers mon point . De toutes mes forces dans ma poche mais là s'en est trop. Ma mains sort de ma poche et en une fraction de seconde elle se retrouve sur son visage rempli de haine et de honte. Je sent la main de Mérédith sur mon épaule. Suite à ce que j'avais fait des rires fusaient partout. Meredith s'exclame :

-À présent tu n'auras plus à raconter de mensonges sur elle parce que sinon tu en reprendra un autre alors à toi de voir."

"Suite à cela Paul me menace est rit avec ses « amis », mais je ne comprends pas ce qu'ils disent, une bulle s'est formé tout autour de moi. Il y a un grand silence dans ma tête je les regarde se moquer de moi certains ils se mettent à me huées et Mérédith se tient debout devant moi l'air pênée. Elle me tire par le bras et la au moment où je me retourne pour tourner le dos au groupe je sent quelque chose ou plutôt quelqu'un me toucher la cuisse. Je me retourne et voit que c'est un ami de Paul. S'en est trop lui aussi je le gifle et ils se mettent de nouveau à rire."

Toutes les personnes qui se trouvaient autour de moi me prenaient pour une folle, mais en même temps toi qui lis ce livre, mets toi ma place et demande toi : qu'est-ce que je ferais si cela m'arrivait ? Si tu me prends pour une folle toi aussi je suis désolé pour toi mais attends de voir comment je vais me venger et là tu auras le droit de le dire que je suis cinglé.

" Je suis toujours dans ma bulle, Mérédith m'a fait sortir du couloir avant que le directeur arrive. Elle me parlait mais je ne comprenais pas ce qu'elle disait les seuls mots qui sortir de ma bouche sont :

- Laisse-moi, je vais rentrer chez moi et me mettre au lit.

Elle insiste et me raccompagne jusqu'à chez moi à pied."

"J'attends quelques minutes qu'elle soit parti puis je retourne dehors j'avais besoin de marché d'être seul."

Ce jour là j'avais marcher pendant près de deux heures, mes parents avaient essayé de me joindre, le lycée les avait contacté car je n'étais pas en cours mais je n'avais pas décroché.
J'avais finir par arriver devant le bar où travaille James. J'allais traverser la route pour rentrer et elle est saluer quand soudain...

SecretSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant