la légende des six clés

Chapitre 10 : Rencontre qui peuvent nous changer Partie 1

Île de Tenrô, septembre de l'an X782. Le soleil commençait à peine à se lever, les oiseaux chantaient, le vent soufflait et les vagues venaient s'écraser sur les rochers prêt du récif. Sur la plage, se trouvait une barque, complètement détruite. Elle s'était certainement fracasser contre les rochers. Et juste à côté des débris de bois, se trouvait quelqu'un. Un enfant, ou plutôt une enfant. Sa robe noire était légèrement déchirer et elle n'avait plus ses chaussures. Ses cheveux étaient noirs, sauf sa frange qui était blonde et étaient retenus par une natte, Elle avait quelques blessures au niveau des bras et des jambes, mais qui n'avaient pas l'air d'être trop grave. Elle bougea légèrement puis ouvrit les yeux. Elle regarda autour d'elle, elle ne connaissait pas cet endroit.

Fillette (déconcertée): Où... Où suis-je ?

Elle se mit difficilement debout. Elle n'était pas très grande, elle devait avoir dans les 6 ou 7 ans. Elle marcha sur la plage pour voir si quelqu'un se trouvait dans le coin, mais elle ne vit personne.

Fillette (criant): IL Y A QUELQU'UN ?

Seul le vent lui répondait. Elle regarda en direction de la foret, peut être qu'il y a un village là-bas. Elle partit en direction de la foret.

~

Il n'y avait pas un village dans cette foret. Mais ce qui est sûr, c'est qu'il y a bien quelqu'un. La personne en question était allongé sur l'herbe à l'ombre, les mains derrière la tête et il regardait le ciel à travers les feuilles des arbres. Ses cheveux étaient noirs, tout comme ses yeux, son visage était pâle et avait un côté mystérieux. Ses habits étaient une toge blanche enroulée autour d'une robe noire aux bordures dorées. Il porte également un médaillon autour du cou qui est en forme de cercle. Il devait avoir une vingtaine d'années.
Mare de rester allongé, il se leva et se mit à marcher dans la foret. Il avait tellement l'habitude de faire ce genre de promenade qu'il connaissait l'endroit par cœur. Il marcha de plus en plus loin dans la foret, ne s'attendant pas à ce qu'il allait voir.

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La petite fille continuait son exploration dans la foret. Elle marchait depuis longtemps et n'avait trouvé personne. Ses jambes et ses bras lui faisaient encore mal, mais elle continuait de marcher, préférant ignorer la douleur. Peut être que cette île abritait des animaux féroces, qui pourraient l'attaquer si elle s'arrêtait. Soudain, elle trébucha sur une racine et tomba. Malheureusement, elle était tombée sur une pente et dégringola. Elle arriva en bas et se fracassa contre un arbre. Elle se mit à genoux et regarda son bras, elle saignait, elle avait mal partout. Elle n'avait même pas la force de se relever tellement ses jambes étaient meurtries. Elle avait tellement mal qu'elle se mit à pleurer...

Fillette (pleurant à chaudes larmes): Je... veux rentrer chez moi...

Des larmes défilaient sur ses joues et du sang continuait à couler de son bras. Elle était désespérée, elle avait peur et tremblait telle une feuille.

~

L'homme en noir continuait à marcher, le visage morne et le regard fixe. Quand il crut entendre quelqu'un pleurer. Il regarda autour de lui pour voir d'où pouvait venir ce bruit. Il se dirigea vers le son et s'arrêta derrière des buissons. Il n'en croyait pas ses yeux. Une fillette se trouvait là, en larmes et blessée. Il s'apprêtait à faire demi tour, mais quelque chose l'en empêcha, une conscience qui lui disait de rester et de l'aider.

Homme: *pensées* Que dois-je faire ? Si je reste là, je pourrais la tuer. Mais je ne peux pas la laisser comme ça alors qu'elle est blessée. Que dois-je faire bon sang ?
Fillette (leva la tête): Qui est là ?

L'homme était pétrifié. Que devait il faire ? La fillette pleurait toujours et regarda autour d'elle. Elle avait l'air terrifiée. L'homme sortit de sa cachette, et se montra à la petite fille. Elle était toujours terrifiée et elle regardait l'homme droit dans les yeux, toujours en larmes. L'homme la regardait également, il regarda également ses jambes, son bras qui saignait et les blessures qui étaient sur son visage. Elle était vraiment blessée.