XIV

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CHAPITRE VIII partie 3

Bien que je foule maintenant les pierres extérieur de la fac

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Bien que je foule maintenant les pierres extérieur de la fac. Mon visage est toujours illuminé par un sourire de satisfaction. Loan s'etait bien trop amusé de moi pour que cette frustration continue à me murer. Je remercie l'élan qui a traversé chacun de mes muscles jusqu'à la moelle et qui m'a permise de lui flanquer le poing de sa vie. Je suppose qu'il n'a pas l'habitude de se faire remettre en place avec autant de violence et surtout de la part d'une femme. Mon devoir était de lui démêler toutes ses neurones qui étaient depuis bien trop longtemps laissé à l'abandon. Au moins le choc que mon poing à engendré, lui permet maintenant de réfléchir à deux fois avant de tenter quoi que ce soit avec une fille. Ce qui me procure cette joie intense c'est aussi mon courage qui a multiplié en intensité. J'ai certes utilisé mes pouvoirs mais je ne pouvais pas partir sans rassasier cette envie grinçante de me défouler. J'ai mêlé mes pouvoirs et ma vraie nature, les deux combinés s'est avéré être une grande réussite. En tout cas il ne risque pas de revenir vers moi après ça, je suis enfin débarassé une bonne fois pour toute. Je ne sais pas ce qu'aurait été la réaction de Sarah si elle m'avait vu mettre au tapis le "plus beau sportif" du campus. Je présume qu'elle ce serait esclaffé d'un rire noir puis elle m'aurait volontiers aidé à finir ma tâche. Je pouffe en m'imaginant Sarah et moi en harmonie lui infliger une à une un coup tout en lui lançant des regards plein de dédain. On aurait été un sacré duo de choc, spécialiste dans l'élimination des pimbêches au masculin !   Seulement la vue de mon bus me sort vite de ma rêverie, je me précipite vers l'arrêt pour essayer de monter vite à l'intérieur. Digne d'une championne de marathon j'accélère encore plus le rythme malgré mes talons et m'élance sur le goudron du trottoir du plus vite que je le peux en direction de l'arrêt. Il ne me manque plus que quelques mètres pour l'atteindre mais le bus démarre sans se préoccuper de moi. Essoufflée je pousse un juron, quelle galère ! Tous ces efforts pour rien, ils n'ont vraiment aucune pitié ces chauffeurs. Je regarde le bus s'éloigner les mains sur les hanches complètement agacé. Tout en m'apitoyant sur mon sort une voiture freine avec douceur à ma hauteur. Au bruit du moteur, Je tourne la tête vers le carreau déjà déscendu côté passager et j'aperçois les mains posés sur le volant le visage de peter qui me fixe.

Peter : hey vanessa je t'en pris monte

Je lui rend son sourire chaleureux

Délicatement J'ouvre la portière et prend place sur le siège. Je me débarasse de mon sac de cours et le pose entre mes pieds.

Peter : t'as pas eu de chance on dirait

moi : effectivement, mais  heureusement que tu fais figure de bonne étoile!

Il me sourit tout en posant son pied sur la pédale d'accélération

Peter : alors comment ca s'est passé les partiels?

moi : plutôt bien à mon grand étonnement, je n'étais pas trop stréssé comme j'ai pourtant l'habitude d'être..

Peter : à ton grand étonnement ?

Is It Love? DrogoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant