n°2

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Maria déplia le petit bout de papier et vit une lettre manuscrite écrite soigneusement :

« Calme toi Maria, on vient à peine de commencer, ce serait dommage que tu meures tout de suite.

N'est-ce-pas ? »


Maria fut prise d'angoisse, regarda autour d'elle, elle avait toujours l'impression d'être observé voir compresser entre ses quatre murs et pourtant elle n'était pas claustrophobe. Il fallait qu'elle prenne ses médicaments avant que l'aire n'arrive plus à ses poumons. Maria se précipita dans la cuisine, attrapa ces cachets ; les avala d'une traite. Elle se senti immédiatement mieux, peut être que c'était psychologique et quand réalité les médicaments n'avait rien changer. Le plus important était qu'elle se sentait mieux.

Mais elle ressentait toujours cette soif irritante qui lui lasserai la gorge, elle prix un vers dans le placard et ce dirigea vers le robinet, posa le vers dans l'évier sous la sortie d'eau, tourna la poignet et ferma les yeux pour calmer les battements de son cœur. Maria repensa à tout ce qui venait de ce passer, le cadavre de son frère (mais pourquoi ce serai t'il suicider ça ne lui ressemblait pas ou peut être quelqu'un l'avait-il tué ? Mais pour qu'elle raison..), ces penser fut suspendu par le bruis de l'eau qui débordait. Tout en gardant les yeux fermés pour ne pas briser ce moment de répits, elle saisit le vers et but une grosse gorgé d'eau. Mais le liquide avait un gout cuivré et... sucré ? Elle ouvrit les yeux et vies le liquide rougeâtre dans le verre.Lorsqu'elle compris ce qu'elle venait de boire, Maria fut prise d'un sur saut et lâcha le verre. Celui-ci s'éclata sur le rebord du robinet, le sang dégoulinait le long du placard. Il coulât jusqu'à atteindre ces converse blanche qui maintenant tacher de sang.

Maria ferma le robinet d'où coulait le liquide dont elle ne voulait pas imaginer la provenance. Ayant toujours la gorge étrangement sèche et voulant supprimer ce gout, elle ce tournas vers le réfrigérateur dans l'espoir d'y trouver du jus de pomme. (Je me souviens qu'il y a 4 jours à peine maman et moi somme aller dans le magasin entre le McDonald's et le Chinois pour acheter ce frigidaire, je l'avais supplié pour qu'elle achète un réfrigérateur américain. J'étais tellement heureuse quand le lendemain nous lavons reçu.) Maria avait un petit sourire face à ce souvenir, elle tira la poignet et son sourie disparu pour laisser place à un visage horrifier lorsqu'elle vit la tête de sa mère la fixant d'un regard dénuer de vie, elle retenu un cri et ce précipita dans l'encadrement de la porte prise de nausée elle ressentait du dégoût fasse à cette vision d'horreur, le visage pale, les yeux vitreux, et les cheveux coller part le sang, elle ne pourra jamais effacer cette image de ça mémoire.

Elle eut à peine le temps de saisir la poubelle qu'elle vida tout le contenu de son estomac, à peine Maria eu fini de vomir, qu'elle revit ces images, qui lui procura un tel dégout qu'elle régurgita sauf qu'il n'y avait plus rien mis à part son acide gastrique qui lui agressait l'œsophage et la bouche tel des milliers de petit coup de couteau.

Il fallait qu'elle sorte prendre l'aire, sentir l'air pur et frai caresser c'est poumon mais pas tout de suite ; c'était quand même la tête de sa mère et elle devait refermer le frigidaire pour qu'elle reste dans un état à peu près respectable pour son enterrement. Maria se gifla violement pour se réveiller de ce mauvais rêve et chasser tout c'est penser, elle n'avait que 15 ans et réfléchissait à l'obsèques de sa mère, la douleur de ça joue n'y fit rien après tout ce qu'elle venait de vivre ; cette gifle n'était qu'une caresse face au reste. Maria pris son courage à deux mains et ce dirigea d'un pas l'en vers le frigidaire encore ouvert. Malgré la peur de croiser le regard vide de sa mère, il fallait qu'elle regarde si ça tête était toujours là. Comme elle s'en doutait ça génitrice n'était plus là mais à la place se trouvait un autre bout de papier plier avec le chiffre 2 de la même écriture que le premier. Maria déplia la lettre :

«Je ne vais pas te mentir mais la tête de ta mère devait être dans l'étape 5... Mais j'avais trop hâte de tester ma nouvelle guillotine. Enfin bref ce n'est qu'un petit détail puisque tu es plus forte psychologiquement que ce que je pensais. Pour te récompenser tu trouveras une bouteille d'eau potable et les règles du jeu sur la table du salon. »

Tout ceci n'est donc qu'un jeu... Comment cette personne osait-elle parler de ça mère ! Maria senti la rage monter en elle, elle voulait le tuer. Tuer de ces propre main l'inconnu qui avait orchestré tout ça.

Ça voix perça le silence en un cri rempli de douleur et d'aine. Comment quelqu'un pouvait lui faire endurer une tel torture ? Qui es cette personne qui lui veut t'en de mal ? Ou peut-être cette personne fait cela pour le plaisir ? Pourquoi avoir tuer son frère ainsi que sa mère ? Si ce n'est que le début, qui sont les prochains sur la liste ? ça question était tout simplement. Pourquoi ?

Après avoir crié toute la rage qui la possédait, elle tomba à genou sur le sol froid, s'adossa au mur en face du réfrigérateur. Elle avait envie de pleurer mais n'en avait plus la force. Maria était vider d'émotion, de penser, de sensation ; ne ressentait plus la faim et la soif. Elle se sentait bien ainsi et voulait que ce moment perdure et ferma les yeux abandonnant son corp de toute vie tel une coquille vide.

-Non ! soufflât-elle en ouvrant elle yeux.

Elle ne pouvait abandonner aussi facilement, il fallait qu'elle se bâte. Qu'elle trouve les réponses à ces questions. Qu'elle le tu. 


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Les autres chap. arriverons dans plus d'une semaine le temps d'en écrire plusieurs pour que les publications sois régulières. 

n°30Où les histoires vivent. Découvrez maintenant