Chance ou destin

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J'avais pris l'autobus exactement ou Noah me l'avait indiqué, mais je ne l'avais pas vue dans le bus. A l'école tout allait vite ce matin, aller au l'auditorium écouter le directeur, aller au gymnase chercher mon horaire, aller au secrétariat prendre une photo pour la carte étudiante et mon numéros de cadenas. J'avais le 236 , je mit rendit pour y déposer mes livres et cartables. Mon casier étais près de mon local de math, qui était mon premier cour de l'année. J'organisais mon casier quand quelqu'un me tapais doucement sur l'épaule. Je me retourna et vue Noah
- Salut toi, je crois avoir eu de la chance pour mon casier cette année  j'ai le 235 me dit-il avec un sourire
- Je crois que le destin nous réunit dis-je en lisant son horaire qu'il tenais dans c'est mains, car Tu commence en math toi aussi?
- Ouais , la cloche sonne bientôt suis moi
Ce que je fit, et nous prenions place au fond de la classe un a côté de l'autre . A voir les fous rire que nous avions eu avant la cloche je souhaite bonne chance au professeur
Ma première journée se passa très bien, je me surpris même a ne pas faire de crise d'angoisse. Ce fit changement des autres années et ça ne me dérange absolument pas. Les premiers mois passèrent a une vitesse incroyable, Noah et moi avions presque les mêmes cours, a l'exception de deux art et football, en fait c'était nos programmes qui sont different et j'avais aussi anglais enrichie que lui n'avait pas. Plus le temps passais plus nous devenions proche. On s'asseyait ensemble dans l'autobus, il venait chez moi ou j'allais chez lui. On se voyait a tout les jours , a l'exception des jours ou il partait en tournois de football. La je m'inquiétais qu'il lui arrive quelque choses, mais dès son retour il venait me voir.
Nous avions une amitié digne d'un film. Vous savez ces amitié ou tout es parfait . On s'envoyait des message pour tout et rien, on s'appelait même si nous avions rien de particulier a nous dire. Il savait tout sur moi.. ou presque et je savais tout de lui du nom de jeune fille a sa mere aux condiments qui met dans son hot-dogs.
- Camille? Me cria ma mère de la cuisine
- oui?
- Descend s'il te plait
J'exécutas et descendît les marches
- J'ai remarque que ton anxiété étais moins présente depuis un moment me dit ma mere qui préparais à dîné
- je suppose que oui dis-je en sentant le stress monter
Elle n'était pas moins  présente je le lui cachais simplement un peu
- Alors je le suis dit que je pourrais partir 3 jours , je doit aller à Québec pour mon travaille, qu'en dit tu? Me demanda ma mère qui regardais fixement son poulet dans sans poêle
Je détestais être seule, cela m'angoissait énormément je ne voulais même pas penser a la possibilité que je reste seule ici 3 jours. J'avais les main moites et la sueur dans le dos. Mais pour faire plaisir a ma mère je ravala un sanglot et fit mon plus grand sourire
- Oui lili ne t'inquiète pas je vais mieux
Faux ce n'était absolument pas vrai
- Parfait chérie, je partirais demain vers 11h
Je lui adressas un sourire et monta en vitesse a l'étage.  J'ouvrit la porte , entra, et la referma aussi tôt. Et a cette instant tout s'écroula l'angoisse m'envahit beaucoup trop rapidement. Je m'assieds sur mon lit et empoignas ma couette dans mes mains et je serras . Je commençais a  avoir le hoquet, mes yeux ont fini par déborder et les larmes coulèrent sur les joue. Je cherchais mas respiration et mon crâne me fesait souffrir terriblement . Je ne voulais pas que ma mère s'inquiète et ne parte pas, elle aimais son job. J'avais l'impression de tomber dans le vide.. mais je me tombais pas réellement. Je détestais cette angoisse. Seize minutes passèrent et je finit par reprendre le dessus mais j'étais épuisé , j'abandonna mon combat contre le sommeil. Je me réveilla quelque temps plus tard et mon crâne me donnais comme des décharges électriques ce qui me fit perdre l'équilibre quelques secondes, je descendit me chercher une Advil et ma mere eu le visage inquiet
- Ça va camille? Me questionna ma mère
- Oui , jai dormi en souhaite que mon mal de tête passe mais ce n'est pas le cas je suis venue chercher une advil 
- D'accord tu me le dirais s'il y avait quelque chose
- Bien sur lili ne t'inquiète pas
Elle continua sa lecture et je remontas en haut en la laissant croire que j'allais bien, qu'elle avais un enfant sans problème et que mes angoisses étais partie. Si seulement elle avais sue, elle ne sauras pas partie et elle m'aurais apporter chez Lucie mon médecin. Elle était impuissante face à mes angoisses, je l'étais aussi. Je détestais la voir s'inquiéter quand l'angoisse prenait le dessus sur moi et qu'elle devait composer le 9-1-1 pour appeler les ambulances car le respire je ne trouvais plus. Elle essayait de rester calme mais je la voyais bien verser quelques larme. Je ne voulais plus qu'elle me voit ainsi.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 10, 2017 ⏰

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