I. Arrivé à Burlington

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Notre arrivé à Burlington commençait déjà mal, panne d'essence, crevaison. Nous arrivâmes devant notre maison elle était beaucoup plus petite que la précédente mais comme papa est en arrêt travail, et que notre maman n'est plus de ce monde il fallait se contenter de ça.

Ma soeur couru directement dans sa chambre sans prendre le temps de nous aider à décharger. Je pris un carton et mon père me fit :

" - Non celui là laisse moi le prendre, tu veux. "

Je répondis d'un hochement de tête sans poser de question.

J'appella Cady pour descendre et venir nous aider.

Elle descendit et dit :

" - Mais je n'ai pas les même muscles que vous. "

Je la regarda en souriant et je lui tapota sur la tête en lui disant :

" - Tu peux au moins porter celui-ci, il n'est pas très lourd. "

Elle me répondit d'un grand sourire

" - D'accord, mais ce soir j'ai le droit de prendre une glace ? "

" - Marché conclu. "

Après avoir fini de ranger tous les cartons mon père se posa dans le canapé pour regarder la télévision.

Je mit la table, pour ne pas perdre de temps et ne pas manger trop tard; et tout d'un coup je me suis souvenu de ce carton que mon père voulais porter, je me demandais ce qu'il y avait dedans je sortis de la cuisine et monta dans sa chambre, puis j'entendis une voix résonner.

" - Les enfants vous venez mangez ? "

Je descendis donc pour passer à table avec ma petite soeur.

" - Alors votre chambre elle vous plaît les enfants? "

" - Oui papa, j'ai déjà installée mes poupée dans leur maison. " dit Cady avec un grand sourire

" - Et toi mon grand? Tu as trouvé tes marques? "

" - Euh oui oui ça va. "

" - Qu'est ce qu'il y a ça ne va pas ? " répliquait mon père

" - Si, si c'est juste que je suis un peu fatigué avec le déménagement. "

Mon père se leva et dit

" - Bon Cady tu finis ta glace et ensuite tous au lit. "

Le lendemain matin je vis mon père à la fenêtre avec une cigarette à la bouche; je suis donc retourner dans sa chambre pour de nouveau chercher le carton, je me baissa et regarda sous le lit, elle était la, je le posa devant moi et l'ouvris en prenant une grande respiration.

En ouvrant ce carton une larme coula sur mon visage.

L'ombre qui me hanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant