III. Le flash back

31 2 2
                                    

" - Écoutez les enfants, je ne sais pas qui de vous deux a fouillé dans le carton qu'il y en dessous mon lit, mais ces affaires c'est entre elle et moi alors, je vous prierais de ne pas y toucher. " dit il d'une voix tremblante, en serrant son poing.

Je me demandais pourquoi il se comportait comme ça, c'est vrai après tout ce ne sont juste que des affaires.

Je passa l'après midi à parler à mes amis restés à Los Angeles; ils me manquaient tous terriblement...

Arrivé le soir, j'eu un coup de blues je pensa à ma mère, je la sentait présente dans mon coeur, mais je ne sentais plus ses bras pour me réconforter, ses douces paroles.

Personne ne s'attendaient à son décès elle avait le cancer, mais elle s'était déjà tellement battue contre on était sur qu'elle allait s'en sortir. Je me souviens de ce jour tellement douloureux; en rentrant de l'école je vis mon père assis sur le canapé se tenant la tête, pleurant toutes les larmes de son corps, il s'avança vers moi et me pris dans ses bras, je n'eu aucune réaction.

Je me souviens bien de se soir la...

J'avais passé toute ma nuit à pleurer à l'abris du regard de mon père et de ma soeur. Pour être honnête je savais pas si ma vie valait la peine d'être continuée, comment vivre sans sa mère ?

Ma douleur psychologique était tellement fort que je n'ai pu résister à l'appelle de la lame, il fallait que j'évacu.

Je commença donc à me scarifier en pensant que ça résoudrait ma douleur psychologique, j'étais à la fenêtre à regarder les étoiles, lame à la main.

Ridicule me diriez-vous, c'est vrai, mais imaginez-vous perdre du jour au lendemain votre mère.

Je suis donc partis dehors prendre l'air pour éviter de penser à cette période.

J'ouvris la porte et la ferma derrière moi, le silence régnait quand soudain, j'entendis une douce mélodie retentir.

L'ombre qui me hanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant