V A C A N C E S [Terminée]

55.

Nous avons passé une journée assez.. Glacial.La nuit est tombée, nous sommes tous enfermé dans nos chambres, personne n'est sortie. Je prends ma douche pendant qu'Ashton dort. Quand je reviens dans la chambre seulement vêtue d'un short et d'un débardeur, Mon téléphone se met à sonner. C'est ma mère. Après un long soupir, je décroche enfin.

Allô, Sherry ?

Quoi ?

Nous partons demain. Les vacances sont finies.

Déjà ? Mais nous devions partir dans une semaine.

Votre comportement nous à déçu.

Elle me raccroche au nez.

Je me tourne vers Ashton. Il me regarde, mais depuis combien de temps ?

Il à entendu la conversation, me lance ma conscience

J'observe son regard, il est triste.

Moi: Pardon de t'avoir réveillé..

Ashton: Tu part quand ?

Sa voix est monotone, je perçois un brain de tristesse.

Après un petit silence, je me lance.

Moi: Demain..

Il ne répond pas et s'allonge sur le dos, les mains derrière la tête.

Je m'allonge auprès de lui, posant ma main sur sa joue pour qu'il me regarde.

Moi: On va profiter comme il faut de cette dernière journée, d'accord ?

Il me sourit difficilement.

Je m'appuie sur mon coude pour l'embrasser. Il intensifie le baiser en posant une main sur ma taille.

De sa main libre, il fait descendre doucement la bretelle de mon débardeur. Il décroche sa bouche et me regarde comme pour me donner ma permission.

Je me pince la lèvre inférieure en regardant ses yeux remplis de désir.

Il écrase ses lèvres sur les miennes, et me suce la lèvre inférieure.

Il se met à la mordre prudemment avec ses dents. Je gémis.

Ashton: Putain..

Sa voix est devenue rauque et incroyablement sexy. Il passe une de ses jambes entre les miennes, je sens une bosse sur ma cuisse. Mon sang s'enflamme au contact de sa main sur mes seins. Il les masse en douceur. J'en ai envie tout autant que lui. J'enlève son maillot en embrassant son torse et son cou. Il semble apprécié, je crois.

Mes mains sur sa taille, il continue à m'embrasser intensément.

Il descend ses lèvres jusqu'a mon cou, j'arrive à peine à contenir mes gémissement tant je le désire.