La croqueuse d'homme {TERMINER}

Le sauveur

Alex défonce la porte à coups de pieds. Il entre dans la pièce, très en colère, avec un bâton de baseball remplie de sang. Il était troooooop craquant. Mais je faisais comme si n'était pas impressionné. Sami sort un pistolet de sa poche. Je me demande qu'est ce qui va faire Alex contre un pistolet alors qu'il n'a qu'un bâton. Il sort un couteau de son pantalon. Aïe... ça devait faire mal. Je regarde la scène comme si j'était dans un cinéma. Je ne sais pas pourquoi mais à ce moment je ne prenais plus rien au sérieuse. Je commençais même à les encourager. 
BANG ! On entend le premier coup de feu.
Moi: OOOOO F*CK !!
La balle touche son épaule, mais il ne bouge pas. Ça ne lui a pas fait mal ? On dirait qu'il lui a jetté des cailloux.
BANG ! BANG ! BANG ! BANG !
Plusieurs autres coup de feux ont été tiré sur Alex mais il continue à avancé.
Sami: MAIS MERDE ! QU'EST CE QUE TU FOUS ENCORE DEBOUT ! T'ES SUPPOSÉ MOURIR LÀ !
Alex ne répond pas et il continue à avancer. Lorsqu'il arrive suffisamment près de lui, il lui plante le couteau dans la gorge. Sami meurt instantanément. Alex a assez de force pour me détacher. Il se met à genoux devant et me dit avec difficulté : D-Dieu m-merci. T-Tu es en v-vie...
Sur ces mots, il s'effondre. J'appelle immédiatement une ambulance.
L'ambulance arrive avec la police.
Moi: Laisser moi monter avec vous dans l'ambulance !
L'infirmier: C'est impossible mademoiselle. Vous n'êtes pas de la famille.
Moi: JE SUIS SA BLONDE OK ? (bon j'ai dit ça pour avoir une chance de monter dans l'ambulance. Je ne le pense pas vraiment)
L'infirmier: Ce n'es pas suffisant.
Je l'attrape par sa chemise et je lui chuchote à l'oreille : Je ferais ce que vous voulez, monsieur l'infirmier. Il rougis énormément.
L'infirmier: Hum...hum... d-d'accord pour vous je ferais exception.
Moi: merci !
Je part monter dans l'ambulance. Franchement.. les hommes.. tu leur dit une petite phrase et ils sont à tes pieds. Haha, quel naïveté !
On arrive à l'hôpital et il l'emmène aux urgences. Je reste dans la salle d'attente. Les policiers viennent m'interroger sur ce qu'il s'est passé. Je leur dit tout en détaille.
Le policier: Vous vous sentez bien ? Vous êtes sur que vous n'avez pas besoin de soin ? Vous avez quand même pris un gros coup sur la tête !
Moi: Non merci, je me sens bien.
Le policier: d'accord, merci pour vos informations, bonne soirée !
Moi: je vous en pris. Bonne soirée.
Les médecins ressort enfin de la salle d'opération.
Le médecin: Êtes-vous de sa famille ?
Moi: oui, je suis ça petite-amie. Je suis la seule personne qui lui reste comme famille.
Le médecin: D'accord. Donc, votre petit-ami est en vie.
Moi: OOOOO DIEU MERCI !
Le médecin: Mais il est dans le coma.
Moi: Ah... est ce que je pourrais rester dormir avec lui dans sa chambre ?
Le médecin: comme vous voudrez, mais on a pas de lit pour les invités.
Moi: ne vous inquiétez pas je me débrouillerais.