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Après l'annonce de ma mère, j'ai passé la journée couchée dans ma chambre. Je n'ai vraiment pas le moral. Ma mère a tout fais pour essayer de me remonter le moral, elle est même allez jusqu'à demandé à Siyone de venir me tenir compagnie mais tout ça en vain. Je ne veux voir et parler à personne.
Je sais que ma mère m'a dit de garder espoir mais je ne peux pas. Je connais la famille de mon père. Ils sont près à tout pour avoir ce qu'ils veulent. Je suis sur que l'homme qui souhaite m'épouser à du leur donner une somme astronomique.
Ils n'ont vraiment aucun scrupule. Je suis sur qu'ils attendaient juste la mort de mon père pour faire cela car de son vivant, il n'aurait jamais accepter cela. Je refuse, oui, je refuse de me faire piéger de la sorte. Personne de me forcera à faire ce que je ne veux pas. Mon père m'a toujours appris qu'il ne faut pas baisser les bras et je compte bien lui faire honneur.
Il faut que j'arrête de me morfondre sur mon sort. Je devrais plutôt chercher une solution avec ma mère. Décide, je me lève et pars à sa recherche. Je la trouve finalement assise au milieu de la cour sur une nappe avec kenece sur ses jambes.
Moi : Bonsoir- dis-je en m'assoyant sur la nappe. Elle : Bonsoir mon cœur. Tu vas mieux ? Moi : Sa peut aller Elle : Je t'ai promis que personne ne te mariera de force. Ne t'inquiète pas. Je te le promet.
/.../
--(Dans la peau de falca, mère de Widad )--
Moi : Allez va prendre une douche maintenant. Elle : Oui -dit-elle en se détachant de moi
Elle se lève et se dirige vers la douche.
Je ne laisserai jamais se sacrilège arriver à ma fille. Moi aussi plus jeune, la famille de mon père voulaient me marier de force mais mon père n'a jamais accepter, il à lutter et sa à finis par payé. J'ai pu épouser l'homme que jaime, c'est-à-dire le père de Widad. Mais elle, n'a pas cette chance, son père est plus de se monde. Mais moi je suis la. Et je rendrais ma fille heureuse. Quitte à l'éloigner de moi. Quitte à ne plus la revoir. Mais je ne la laisserai pas souffrir d'un mariage forcé, je sais comment c'est difficile. La plupart de mes amies l'ont subis.
J'étais toujours dans mes pensées quand Widad est revenu, toute propre, les cheveux mouillé. Qu'elle est belle ma fille.
Moi : Garde kenece. Je dois sortir Elle : Où vas tu ? Moi : Faire une courses, je ne vais pas tarder. À tout à l'heure -dis-je en lui faisant un bisou sur la joue.
Je me change, je porte une longue robe en pagne et attache mon foulard et pars.
..........
(...) : Oh falca, comment vas-tu ? Moi : Je vais bien et toi Sarah Sarah : Ça va bien, je voulais d'ailleurs venir te voir. Cela fais longtemps que nous ne nous sommes pas assises pour papoter. Moi : Oui je sais, j'étais trop occupé ces temps s'y. Elle : Ne t'inquiète pas. Moi : Je dois te parler Sarah, c'est important Elle : Tout ce que tu veux, allons y nous assoir.
Une fois assise, j'hésite à lui parler mais je n'ai vraiment pas le choix, c'est pour ma fille. Je me racle la gorge et commence.
Moi : Tu sais Sarah, j'ai perdu mon mari il y'a deux ans de cela. Eh bien dis toi que juste après sa mort sa famille nous à renier, ils disaient que c'était de ma faute, que je n'étais qu'une sorcière. Ils ont pris tout les biens de mon marie et mon laisser seule avec les enfants sans rien. Je me suis débrouillé et maintenant j'arrive à les faire vivre, on ne vis pas dans le luxe mais je fais de mon mieux. Elle : Oui, tu es très courageuse. Tu es une femme forte falca, je compatis. Moi : Mmmhhh, ce n'est pas tout. Avant hier ceux la même qui nous ont renier sont venus me voir et tu sais ce qu'ils veulent ? -dis-je au bord des larmes. Ils veulent prendre ma vie, ils veulent la marier de force Sarah. Elle souffrira. Ils veulent vendre ma fille a un homme que l'on ne connais même pas. Sarah je ne peux pas accepter cela.
Elle me regardait choquée. La bouche ouverte ne sachant pas quoi dire.
Elle : Mais on fois porter plainte. C'est interdit par la loi, c'est ... mais ce n'est pas normal. Widad est beaucoup trop jeune. On dois porter plainte. Moi : Sarah, ici ce n'est pas comme chez vous. Ça ne sers à rien de porter plainte. Nous serons perdants. Elle : Que pouvons nous faire alors pour arrêter cela ?
Je la regarde dans les yeux. Je ne sais pas comment lui demander cela. N'est-ce dont pas trop demander ? Mais je dois essayer, je dois le faire pour ma princesse.
Moi : Sarah pourrais-tu prendre ma fille avec toi quand tu retournera en France ? Je sais que c'est trop demander. Tu peux refuser je ne t'en voudrai- Elle : (en me coupant) Mais bien sûre que oui, je la traiterai comme ma propre fille, je prendrais soins d'elle. J'ai toujours rêvé d'avoir une fille.
J'éclate en sanglots juste après ses dires. Je ne pourrais jamais assez la remercier. Elle me prend dans ses bras.
Moi : Merci, merci infiniment Sarah. C'est la seule solution que j'ai. Elle : Ne pleure pas. Je sais que sa doit être dure pour toi te t'éloigner de ta fille. Mais tu le fais pour son bien. Je m'occuperais bien d'elle, je te le promet. Moi : Merci, Dieu te bénissent Sarah, tu es merveilleuse. Elle : Ne t'inquiète pas. C'est normale. À ta place j'aurai fais pareil. Tu es courageuse Falca, je t'admire.
Je me détache de ses bras et essuie mes larmes.
Moi : Vous partez quand ? Elle : Dans deux jours Moi : Deux jours -répété-je à moi même. D'accord. Tant mieux, plus vite elle sera partit, mieux se serra. Il faut maintenant que je le lui annonce. Elle : Elle sera contre Moi : Je ne lui laisse pas le choix, c'est pour son bonheur. Je vais y aller. Merci beaucoup Sarah, Dieu te bénira. Elle : Amen, je t'en pris c'est normal.
Je lui fais un dernier câlin et prend la route de la maison. Je ne sais pas comment Widad réagira, mais je suis sur qu'elle refusera. Mais ça ira. Je ne lui laisse pas le choix.
