Soif De Sang / Dead By Daylight

"Invitation ?"

Dans un manoir isolé dans une forêt, au sous sol... se réveille un jeune homme de seize ans :
-"Aaah ma tête..."
L'inconnu amnésique se leva du sol de ce qui semblait être une prison. Il y avait de la paille au sol et des bougies de l'autre côté des barreaux. Il pleuvait dehors, il faisait sombre mais la lueur des bougies laissait entrevoir quelque peu le sous sol où l'homme se trouvait. Tout était flou, il était seul.
L'inconnu découvrit un journal sous la paille qui était orné d'un miroir sur la page de couverture, le jeune homme se vit, il avait les yeux bleus, il était légèrement musclé et grand. La seule question qui l'intéressait maintenant c'était la raison pour laquelle il était ici. Peut être que ce journal aller l'aider un peu plus sur cette question. Il l'ouvrit Alors et une fine écriture put se faire voir, cela devait être celle d'une fille. Il lut en silence ces lignes sur ces pages raffinées mais légèrement abîmées par le temps humide.

~Jounal de Bérangère~

J'entendis un nom de crier au loin c'était un peu comme un :
-"ALCIDIE !!"

Cette fille était encore partie me retrouver.
Je parle bel et bien de cette fille nommée Alcidie, cette adolescente aux yeux marrons noisette et aux cheveux bouclés de couleur braise.
Elle était intrépide, généreuse, courageuse, parfois peste mais je l'aimais quand même.
Oh et puis il y avait moi, Bérangère, assez petite, cheveux lisses blonds et j'avais les yeux vairons, j'étais peureuse, timide et presque insociable avec les autres enfants du village. Mais Alcidie avait toujours était là pour moi, à me consoler, à m'aider à être moins timide, moins peureuse.
Nous étions comme des sœurs, inséparables et toujours ensemble !
Toujours à manigancer des choses ensembles contre Robert, le maire du village, il disait qu'on était de vraies petites pestes, parfois je me disais qu'on l'était.
Je me sentais heureuse en la compagnie de ma soeur que je n'avais jamais eue, j'étais heureuse... je l'étais...
Jusqu'à à cette semaine où tout s'arrêta, où tout changea... pour nous.

Tout commença un dimanche d'hiver où il pleuvait, notre village était proche de la mer alors nous n'avions jamais de neige en hiver, à notre plus grand désespoir...
Enfin bref nous devions avoir seize ans, dans deux ans nous pouvions partir du village et commencer notre vraie vie Alcidie et moi.
On s'était promis qu'on resterait ensemble après nos dix-huit ans accompagnées de notre ami précieux Jean.
On s'était toujours bien entendus nous trois, même si Alcidie et moi étions plus proches Jean restait notre confident et notre meilleur ami à toute les deux, il était grand, légèrement musclé et avait un regard bleu comme l'océan, j'avoue j'étais tombée amoureuse de lui. Il était tellement beau et fort... l'homme parfait vous voyez, toujours à nous servir, à nous chouchouter.
Heureusement que ma meilleure amie me l'a laissé ! (J'avoue que nous avions tiré à la courte paille pour savoir...)

Enfin assez avec mes blablas sans fin.
Nous étions rassemblés sur la place, nous trois évidement. Nous parlions de tout et de rien, Alcidie me poussant parfois sur Jean pour me rapprocher de lui ... Je pense qu'elle voulait que je me mette vite avec lui pour qu'elle ne me le pique pas.

Nous étions habillés chaudement pour ne pas attraper froid, ce n'est pas tout mais il pleuvait ce jour là. Enfin bref, nous étions peu sur la place ce dimanche là (en même temps qui a l'idée de sortir par un temps de pluie à part nous...)

On rigolait tous les trois jusqu'à ce qu'un orage vienne nous perturber et donc nous forcer à rentrer chez nous.
Il était quand même 18h30 et l'heure tournait assez rapidement quand j'étais avec eux y compris qu'à 18h je devais rejoindre ma mère pour l'aider à faire à manger et à nettoyer les fenêtres avec les chiffons.

J'arriva donc à ma maison et quand j'ouvrirai la porte ma mère m'attendait, on va dire patiemment que je lui donne une explication pourquoi je rentre si tard.
Alors je lui dis :
-"Maman je suis vraiment désolé on est dimanche 18 février 1950 et tu sais que le 18 février c'est l'anniversaire de Jean, mon ami."

Elle n'avait jamais retenu la date d'anniversaire de Jean en dix ans. Elle était vraiment pas très futée à vrai dire.

Alors elle me jeta un regard noir et se retourna sans me rien dire, elle me croyait tout le temps, se qui pouvait m'être utile parfois.
Alors je commençai à faire la vaisselle et à nettoyer les carreaux avec un chiffon pas très propre jusqu'à ce qu'une personne toque à la porte.
J'allai ouvrir mais personne n'était présent, il y avait juste une lettre sur le sol qui disait:

"Bonsoir, Nous vous invitons à venir prendre du repos dans un manoir tranquillement dans une forêt en bord de mer, choisissez quatre amis et rendez vous demain à 12h à Nokengan."

Nokengan, cet endroit était très isolé et qui voudrait m'inviter avec mes amis la bas ?..