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- Hestia. -

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Ses mains s'agrippent à mes hanches, intensifiant ses va-et-vient constants. Je m'accroche au drap en gémissant à l'unisson avec lui. Je sens sa bouche se refermer sur un de mes tétons qui pointent vulgairement vers lui. Je me pince les lèvres pour atténuer mes gémissements. Le plaisir prenant l'intégralité de mon corps. Puis il met un dernier coup de bassin en grognant m'envoyant avec lui jusqu'aux étoiles. Il se laisse retomber sur moi quelques instants m'enveloppant de sa chaleur. Je le pousse délicatement sur le côté, ne supportant cette moiteur étouffante. Nous respirons à ensembles en regardant droit devant nous. Seuls nos respirations se font entendre dans la grande chambre. J'essaye de retrouver mon souffle après cette partie de jambes en l'air plutôt satisfaisante. Pour me changer les idées, je scrute le plafond m'attardant sur cette horrible lampe. Elle ressemblait à un horrible lustre trouvé par hasard dans une brocante que l'on aurait oublié de dépoussiéré. Je fais une légère grimace. Soudain, je sens le bras de mon amant retombait sur mon ventre, je soupire d'exaspération.

Maxime me regarde, les cheveux encore ébouriffés et le front perlé de sueur. Je lui fais un vague sourire pour ne pas le blesser même si je n'en avais aucune envie. Je n'aimais pas les câlins ou les quelconques gestes affectifs. Ce n'était pas moi.

Maxime, c'est mon plan cul régulier. Un beau métissé, aux cheveux frisés court et aux regards bleu océan. Un bel homme venu d'Angleterre. Or dehors de ces activités sexuelles avec moi, c'est un beau mannequin en début de carrière.

C'est le seul avec qui je m'amuse le plus. Je l'appelle, on couche ensemble et je m'en vais sans demander plus. Pas de rencards interminables devant une assiette de pates à chercher des conversations ennuyeuses, pas de mots doux, pas de compliments hypocrites et surtout pas de fleurs données par un livreur aux mains sales.

Je me relève pour attraper mon téléphone afin de vérifier l'heure. J'avais rendez-vous avec une amie proche et je ne voulais pas être en retard. Ce n'était pas digne d'une femme d'affaire d'être en retard. Je me lève du lit et attrape à la volée mes affaires qui se trouvait de parts et autres dans la pièce, sous le regard rieur de Maxime.

_ C'est la première fois que tu pars si vite, m'informa-t'il d'un ton moqueur.

_ Ah oui ? J'ai battu mon record ?

_ Oui. Tu as exactement pris 1 minutes 50 secondes pour récupérer tes affaires après que je sois sortis de toi.

_ J'ai le droit à un prix ?

_ Bien sur. Je te propose une partie de baise dans les toilettes d'un restaurant trois étoiles.

Je pose ma main sur mon cœur et fais une mine conquise.

_ Mon dieu, c'est le plus beau cadeau que tu puisses me faire, ironise-je

Maxime rit et ne me quitte pas du regard lorsque ma culotte en dentelle frôle mes jambes. Je m'attarde un instant sur son membre qui commence déjà à se redresser. Malheureusement, je n'ai pas le temps de m'en occuper. J'attache rapidement mon soutien-gorge et enfile ma robe. Je me regarde dans un miroir non loin de l'armoire pour attacher mes cheveux roux d'un chignon flou.

Laisse moi y croire.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant