Every day is a new beginning

6 : Olivier Trulio

Mon père : Victoria ! Ma chérie ! Viens dans mes bras !

Je réfléchis. Si je lui obéis, il penserai peut-être que je l'ai pardonner ou quelque chose du genre. Mais malgré moi, je voulais qu'il souffre comme j'ai souffert.

Moi : Non.

Ma père : Je comprends. Mais s'il te plaît, j'ai besoin de te prendre dans mes bras !

Je fais volte-face pour pouvoir partir mais une main se resserra autour de mon poignet. Mon père me fit retourner.

Mon père : Viens avec moi.

Je le suis car je suis curieuse de savoir se qu'il a à me dire. Il m'entraîne dans ma chambre puis contre toute attente me plaque contre le mur en plaçant ses mains à droite et à gauche de ma tête.

Mon père : Écoute moi bien jeune fille. Si tu veux pas que je recommence se que j'avais commencé il y a sept ans, tu vas m'écouter.

Je retient les larmes qui menacent de couler. Mon père est l'homme le plus cruel que j'ai connu. Il me fixe de ses yeux horrible. Il sourit puis me donna un coup dans le ventre, puis une claque. Je me tord de douleur. Il sort de ma chambre avec un air satisfait. Je laisse mes larmes rouler sur mes joues. Elles me brûlent. Oui c'est mon père et je l'aime mais se qu'il me fait subir depuis que j'ai quatre ans me fait toujours aussi mal. Je passe dans la salle de bain pour me regarder dans le miroir. Ma joue est rouge. Je soulève mon tee-shirts. Une couleur bleutée commence à apparaître au milieu. Je touche pour voir si ça fait mal. Je n'aurai pas dû ! Ça fait affreusement mal ! Je prend mon téléphone :

Bradley : Allo ?

Moi : Bradley, j'ai besoin de toi...

Bradley : J'arrive.

Pourquoi je l'ai appelé lui ? J'aurai pu appeler Dylan, ou bien Jessica. Mais non. C'est Bradley dont j'ai besoin. Malgré le fait qu'on ne soit que de simple connaissance. Je descend la boule au ventre. Olivia et Julia sont dans les bras de mes parents. Je pris doucement ma veste et je sors. À mon grand soulagement, Bradley est déjà là. Je commence à descendre les petits escaliers quand j'entendis la porte s'ouvrir.

Mon père : Où compte tu aller comme ça jeune fille ?

Je ne me retourne pas pour autant.

Moi : Juste faire un tour.

Mon père : Reste. Ça fait si longtemps qu'on ne sait pas vu !

Moi : J'en ai pas pour longtemps.

J'ai menti. Je ne compte pas revenir cette nuit. Je continue d'avancer vers Bradley. Il me regarde inquiet se qui me mis quelques secondes en sécurité. Il démarre sa moto et nous partons à toute vitesse. Je ne sais pas où il m'emmène mais je m'en fou tant que c'est loin d'ici. Quelques minutes plus tard, il s'arrête. Je regarde les alentours. Nous sommes devant un immense manoir en milieu de forêt. Est-ce sa maison ? Je ne vais pas tarder à le découvrir. Il me fait signe de le suivre. Nous avançons. Mais nous n'entrons pas dans la demeure. Nous continuons dans la forêt. Bradley me montre du doigt une cabane niché sur un arbre.

Moi : Comment suis-je censée monter !?

Bradley : T'inquiète, il y a une échelle de l'autre côté de l'arbre.

Je contourne l'arbre et je commence à monter à l'échelle. Arrivé en haut, je découvre une cabane vide. Il n'y a rien à l'intérieur. Bradley arrivé à son tour et s'assoit à côté de moi.