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7:45



- Tu fait quoi là ? Dit-il en marchant derrière moi.

- Je vais prendre le bus, dit-je sûre de moi.

- Vas y viens c'est plus rapide, dit-il en s'arrêtant.

- Mais...mais j'ai peur des...des véhicule à deux roue, dit-je honteuse.

- Ta confiance en moi ou pas ?

- Euh...oui...oui je crois, dit-je pas très convaincu.

- Donne moi ta main.

- Quoi ? Je penses pa...

Il me prend la main de force et m'emmène jusqu'à ça moto, lorsque qu'il m'a pris la main ça m'a rappeler ma première fois avec karim... c'était la même sensation...mais...mais qu'est-ce je raconte enfin bref je monte derrière lui, par réflexe je m'accroche à lui puis il démarre.

- Alors comment tu te sens, dit-il en criant.

- Va moins vite, dit-je en fermant les yeux.

- Élina ?

- Oui ? Dit-je les yeux fermé.

- Lâche moi on est arrivé, dit-il en riant.

- Ah oui désolé, dit-je gêné.

Je descend de la moto puis j'enlève le casque, je me re brosse les cheveux à l'aide de ma main je me regarde dans le rétroviseur pour voir si mes cheveux sont correcte.

- Je suis présentable ? Dit-je en le regardant dans les yeux.

Il me regarde dans les yeux mais il ne me répond pas comme si il n'était pas dans ce corps, je secoue mes mains devant sa tête mais il ne bouge pas d'un poil.

- Kassim tu m'entend ? Dit-je en le secouant.

- Ouais...Ouais je pensais à un truc.

- Bah...merci de m'avoir ramener, c'est super mign...gentil de ta part.

Son regard devient si froid que je risque vraiment de me transformer en glaçon. Pourquoi est-il en colère ? Je n'ai pourtant rien fait, il est encore plus mystérieux que Karim, je penses que c'est de famille. J'ouvre la bouche pour parler mais il me lance un dernier regard puis il s'en va.








18:30









Il est 18h30 et je n'ai toujours pas fini, je souffle intérieurement, Ça doit faire une heure que j'explique à ce Monsieur que je ne peux pas lui donner de médicament sans ordonnance.

- Mais la dernière fois vous me l'avez donner sans ordonnance.

- Non Monsieur c'est impossible, dit-je énervé.

- Mais j'en ai besoin.

- Monsieur écouter moi car c'est la dernière fois que je le répète, tous les médicaments avec codéine comme le Drill, le Humex et le Codoliprane sont prescrits avec ordonnance donc si vous n'avez pas d'ordonnance, je ne peut rien faire pour vous désolé, dit-je en fermant la caisse.

J'appelle ma collègue pour qu'elle lui  re-explique puis je me dirige vert les vestiaires, je range ma blouse blanche, je prend ma vestes en cuire et mon sac qui se trouve dans mon casier et je sort en saluant mes collègues.




20:00




J'arrive enfin chez ma belle mère, la porte est casser donc je monte et je sonne, c'est Myriam qui m'ouvre.

- Ça va ? Ça fait longtemps que tu n'es pas venu nous voir, dit-elle en me prenant dans c'est bras.

- Oui j'ai plus trop le temp avec le travaille, dit-je en me dirigeant vert le salon.

En arrivant dans le salon, je vois ma belle mère(Fatiha), la sœur de karim(Myriam) et la mère de kassim(Malika), je fait la bises à tous le monde puis je m'assois.

- Alors comment tu vas Élina, dit ma belle mère

- Super bien, un peu fatigué par le travaille mais sinon tous va bien.

- Tu devrait arrêter le travaille, dit-elle sérieusement.

- Euh...Non j'ai envie de travailler, dit-je en croisant les bras.

- Si...si...si je vais en parler à Karim, dit-elle en souriant

- Non j'aime mon travaille, je refuse d'y renoncer, dit-je les larmes au yeux.

- Pourquoi tu fait la femme d'affaire tu n'est qu'une pharmacienne et en plus de ça mon fils gagne très très bien ça vie alors tu n'a pas besoins de travailler, dit-elle en me lançant  un regard noir.

- Euh...non, j'ai...j'ai dit que je...je travaillerai, dit-je en bégayant.

Je me lève puis je m'en vais s'en leur dire au revoir. Ça y est ça me revient, je me souviens pourquoi je détesté venir ici parce que Fatiha est le diable en personne, elle me déteste j'en suis sûre. Fatiha est une femme qui aime se la raconté, elle aime montrer qu'elle est supérieur mais ce qu'elle aime plus que tout c'est montrer à quel point son fils est riche et qu'elle est supérieur à toi.

               

Je descends à toute allure puis je me cogne contre quelqu'un, je lève la tête et je vois que c'est Kassim.

- Qu'est-ce qui t'prend ?

- C'est Fatiha, elle...elle a dit que...que je devais arrêter le...le travail, dit-je en pleurant.

- Mais tu t'en branles, arrête de chialer vas y viens j'te dépose.

-  J'y...j'y arrive pas je...je suis super...super sensible, dit-je en pleurant.

- Approche, dit-il en ouvrant ses bras.

Il me prend dans ses bras et je me blottis contre lui, je le sens frissonner puis il me caresse les cheveux. Il sent incroyablement bon, j'ai l'impression d'être en sécurité et que rien ne peut m'arriver dans ses bras.



- Ehh...tu fait quoi là ?






                       SUITE...

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 03, 2017 ⏰

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