Prologue partie 3

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                                                                                           (7)

Madame Larson n'avait cessé de travailler depuis qu'elle était arrivé a New York, pour assurer le payement de son loyer et de ses repas, elle accumulait différent emplois a la paye ridicule et aux horaires indécent. Ainsi, son lundi par exemple, était principalement consacré a des taches ménagère diverse comme le nettoyage de certain logement. Le travail en lui mémé n'avait rien d'éreintant mais c'étaient les horaire et le rythme de travaille de M. Larson qui usait et fatiguait de surplus la santé déjà précaire d'une femme qui n'avait connu aucun répit depuis la mort de son mari. Nous le constatons, Madame Larson se surmenait, et comme a l'accoutumé elle gardait pour elle l'usure progressive de son être, elle ne se plaignait pas, elle se contentait simplement d'achever ses journée et de sourire a son fils quand il lui demandait de ses nouvelles. Comment peut on ne pas admirer la détermination de cette mère qui travaillait sans relâche sans ménagement et sans répit. Pourtant a 60 ans, sa force mentale ne suffisait plus, sa souffrance discrète l'usait et l'effritait. Il y avait la une admirable confrontation entre sa force physique et sa force morale, le premier s'affaiblissait de jour en jour ne parvenant pas a faire fléchir le second.

Elle continua ainsi jusqu'en décembre 1918, a la veille de Noel ou Madame Larson s'évanouit en rentrant de son travail, elle s'endormit progressivement sous les cantiques religieux qui berçaient jadis son enfance. C'est durant ce doux rythme psalmodique, qu'elle s'affaissa enfin sous le poids de temps année éprouvante. Elle resta un moment figé, allongé a écouter ce chants religieux, clamé par des voix enfantines :

" Heureux qui, de la sagesse
Attendant tout son secours,
N'a point mis en la richesse
L'espoir de ses derniers jours !
La mort n'a rien qui l'étonne ;
Et, dès que son Dieu l'ordonne,
Son âme, prenant l'essor,
S'élève d'un vol rapide
Vers la demeure où réside
Son véritable trésor "

Au terme de la chanson, sa berceuse ayant pris fin, elle entreprit son sommeil éternel sous les étoiles et les voix séraphiques des douces chorales de noël.

(8)

Désormais Steve Larson, n'avait plus d'attache affective depuis la décès de sa mère. Il avait eu certes quelques petites relation avec des femmes mais jamais cela n'avait aboutis a de véritable évolution. Sa vie sentimentale n'était qu'une lande morne ponctué ici et la de quelques amourettes sans importances. Dans ce paysage déprimant dénué de fleur a la corolle multicolore il ne voyait que les adventice humains : l'hypocrisie, l'avarice, la jalousie. A cet égard il n'était jamais tombé amoureux, seul le désir primaire le poussait a s'intéresser a la gente féminine.

Steve avait toujours admiré sa mère, celle ci le lui rendait en tendresse et par sa compréhension pleine d'indulgence. En ce sens leur relation n'était qu'amour perpétuelle. Elle ne tombait d'ailleurs jamais dans l'adulation ridicule que prodigue certaine mère a son enfant, elle chérissait Steve mais avait toujours su se montrer dur et exigeante sans toutefois tomber dans une éducation rigoriste, elle souhaitait simplement et uniquement le meilleur a son fils. A sa mort elle légua naturellement toute sa richesse a Steve, celui ci vendit la majorité des meubles lui permettant de financer les obsèques de sa mère.Il redoubla d'effort souhaitant la meilleur cérémonie possible: des religieux chantèrent des psaumes suivi de la traditionnelle bénédiction dicté par le curé. Selon les volontés de sa mère Steve insista pour qu'elle repose près du par terre de glaïeuls a la bordure ouest du cimeterre. Celui ci fut surpris du nombre imposant d'invité lors des obsèques de sa mère. Il y avait principalement des mineurs et autres connaissances du temps ou la famille vivait dans l'exploitation. Les Larson avait toujours été apprécié et respecté et cela depuis des décennie.

Au termes de la cérémonie, Steve,seul, resta plusieurs heures devant la pierre tombale, il observa d'abord longuement cette pierre de granit qui recouvrait le corps de sa mère, il songea longuement. D'ailleurs ici nous ne retranscrirons aucune de ces pensés, ces choses la ne concerne que le misérable qui a perdu un être chers. Nous rajouterons simplement que Steve était profondément pieux et dénué d'esprit poétique, alors soudain il fit une action des plus admirable, il sourit simplement avec la plus grande des sérénité comme sa mère le faisait autrefois. Les invité partant progressivement finirent par entendre au loin une plainte déchirante, un sanglot d'outre tombe dénué de larme, seule le déchirement mentale d'un fils qui avait perdu sa mère.

(9)

Désormais Steve avait suffisamment d'argent pour financer le petit locale qui lui servirait de cabinet pour son agence de détective. Il avait réparé ce petit bâtiment a quelques pas du commissariat locale. A la mort de sa mère,il finança le mobilier nécessaire pour pouvoir se loger et vivre dans ce logement ridicule. Durant près de trois mois il dut négocier et se lancer dans le long processus laborieux de l'acquisition d'un bien immobilier. Ceci étant, Steve bien que très touché par la mort de sa mère, finit tout de même après une période de deuil douloureux, a s'émanciper de cette tragédie. Ses ambitions futur le libérèrent progressivement de l'asservissement de ses affliction. Pendant toute l'année 1918, il œuvra pour son cabinet, l'aménageant et le décorant. Au terme de quelques travaux, le résultat était somme toute honorable bien que le bâtiment gardait une façade légèrement délabré sous l'effet des année et de la négligence de ses anciens propriétaire. Dès lors, il ne lui manquait plus qu'à acquérir sa licence de détective auprès de la municipalité de New York. Autant dire que la chose fut longue mais après une multitude de justification, d'entretien et de paperasse rédigé avec cette formidable plume administrative au style pompeux et au sens douteux, il put finalement obtenir cette fameuse accréditation. Finalement le processus dura près d'un mois, prouvant une fois de plus la spécificité de l'administrations, depuis que ces instances existent, celle ci on sans cesse persister a rendre les choses ardues, terrible mystère , effectivement le cerveau humain aime simplifier c'est ainsi qu'il aime procédé, mais ces administrations défient toutes logiques en croulant sous des milliers de décrets et normes absurdes. Passons.

Steve avait maintenant toutes les bases nécessaire en vue de développer ses projets professionnel, nous sommes en 1920 quand notre homme se lança finalement dans le monde fascinant des enquêtes criminelles. A 32 ans, il allait enfin commencer ce qu'il préparait depuis une dizaine d'année.

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Durant ce chapitre, l'auteur c'est efforcé de résumé la vie de cette homme, en insistant sur les passages marquants de ça vie, a cet égard nous n'avons qu'esquissé une partie de son enfance en omettant de nombreux détails. Mais le croquis est bel et bien la et nous tacherons de compléter ce dessin au fur et a mesure de ces péripéties, car ici nous nous intéressons principalement a ces années folles, période particulièrement faste pour Steve Larson. Sa vie prendra d'ailleurs un tournant particulier, l'amenant dans des bordure inquiétantes, a la frontière de la démence, parmi l'horreur humaine il ne sera après tout qu'un pion comme un autre face a la démesure. Quand l'immensément petit toise l'immensément grand, les choix sont cornéliens : la soumission du trépas, ou l'insurrection de la folie mentale. Délecterons nous de son échec outrecuidant, ou assisterons nous a une dévotions inattendue. Nous verrons.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 21, 2017 ⏰

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L'indicible horreurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant