(4)
Nous sommes le 23 mars 1903 quand ils arrivèrent finalement dans le Queens un quartier populaire de new York. Ils voyagèrent durant trois jours, alternant la marche a pied et la voiture.
Arrivant a l'orée de la ville ils purent contempler l'urbanisme massif qui contrastait grandement avec la ruralité qu'ils avaient précédemment quitté . Les petites masures en argile laissait maintenant place a des immense tour de béton, singulièrement laid a nos yeux elle émerveilla la famille Larson qui voyait en ces impressionnant immeuble le début d'une nouvelle vie prometteuse.Leur appartement se situait dans un bâtiment a trois habitations, et peuplaient le ré de chaussée d'un immeuble récemment construit. A cette époque de pleine essor urbain, la mairie de New York lança de grande politique d'urbanisation, on créa ainsi une multitudes de nouvelle habitation dans les différents quartier de la ville. Les constructions se multiplièrent générant ainsi de nombreux emploie. La ville connut dans ces année un tôt de chômage record qui n'avoisinait même pas les 5%. A eux seuls les habitants de l'immeuble définissait parfaitement l'esprit pionner américain. La migration de l'ouest, éternel voyage des américain vers une terre idéale. Il fut un temps ou l'on migrait vers un far ouest désertique en quête de terrain cultivable, aujourd'hui le rêve est différent c'est la recherche de la modernité qui prédomine. Ce n'est plus dans la campagne que ce fait le monde c'est dans la ville, un changement majeur de nos civilisation voit le jour et chacun veut y jouer un rôle. La mère de Steve souhaita que sont fils y participent, gonfler d'ambition pour son enfant elle avait allouer un budget spécial pour les potentiels grandes études de son fils.
Mais les maigres économies de la famille Larson suffisait a peine a garantir un trimestre de loyer payé, Élisabeth devait donc trouver un travail lui permettant de financer les 18$ par semaine que lui coûtait son quarante mètre carré.Prèsentons leur nouveau logement. Si l'on ouvrait leur porte d'entrée l'on découvrirait tout d'abord un étroit couloir au murs d'un beige hideux recouvert de peinture sans intérêt, n'inspirant que l'indifférence tant leur représentation semble banale et dénué de personnalité. A votre gauche,se situerait une salle a manger servant aussi accessoirement de salle de vie. La cette fois ci c'est un papier peint bleu marine qui tapisse les murs recouvert de quelques bibliothèque a peine remplie. Une grande table ovale occupe le milieu de la pièce orné de je ne sais quelques petit coquillages et corolle. Le meuble en bois sombre semblait ainsi être le seule mobilier de valeur des Larson. Enfin un canapé de tissu vert s'offrait un coin de la pièce, acheté pour quelque dollar, la matière s'usait et se décolorant il paraissait rapiécé et ancien. A côté de ce misérable canapé se dressait une porte qui donnait sur une cuisine de taille ridicule modestement équipé et muni d'une multitude de placard.
Près du plan de travail se tenait une fenêtre qui donnait une vue imprenable sur l'immeuble d'en face. Ainsi Madame Larson y avait disposé un ficus pour cacher cette vue déprimante, une infime partie de la nature parmi un urbanisme croissant.
A droite de notre couloir se tenait les deux chambres, semblable petites pièces au mur blanches et a l'unique fenêtre. La chambre de madame Larson était meublé dans un soucis d'économie, un simple lit, une table de chevets et une chaise, voilà le seul confort que s'offrait Élisabeth. La chambre de son fils était composé des même mobiliers que celle de sa mère, a la différence qu'il hérita du bureau de son père, et de sa veille lampe.
Enfin est t-il nécessaire de décrire la salle de bain ridicule qui occupait l'extrémité du couloir.(5)
Les Larson avait désormais un toit et Élisabeth ne tarda pas a trouver un métier sans intérêt pour assurer le paiement du loyer et l'achat de nourriture. Steve lui, étudia pendant un an en raison de l'examen d'admission a la prestigieuse universités de criminologie de Manhattan. Étude au champ pluridisciplinaire, il dut s'imprégner de notion de droit, de science sociale et de psychiatrie. Il s'intéressa d'ailleurs tout particulièrement a cette dernière car il n'arrivait pas comprendre comment un Homme pouvait s'égarer du long chemin de la droiture et de la morale. Étudiant sans relâche et soutenu par sa mère, il réussit l'examen d'entré de justesse, intégrant ainsi cette prestigieuse université ou l'excellence abondait dans ce jardin interdit a l'échec, mauvaise herbe de l'instituteur, agriculteur de la réussite et des bonnes récoltes.Madame Larson était comblé, elle se flatta d'avoir assuré l'avenir de son fils, et remercia dieu pour sa saintes miséricorde . Sa vie jadis long tunnel sombre a la lumière absente, s'ouvrait désormais a de nouvel perspective bien plus réjouissante. A 18 ans son fils commença ainsi sa première année d'université parcourant le long trajet ente le Queen et Manhattan. Il partait tôt et rentrait tard si bien qu'il avait peu de temps pour étudier chez lui, a cet égard il voyait beaucoup moins sa mère la rencontrant seulement durant les repas. Il en contracta ainsi une haine des études lui qui avait toujours appris par lui même dans sa maison. Depuis son enfance il était autodidacte, il préférerait étudié dans sa chambre que dans une salle de conférence, le vicaire était venu souvent chez lui pour l'instruire dans le salon près du regard pleine de mansuétude de sa mère. C'est ainsi qu'il se développa , pour continuer la métaphore agraire, on ne change pas un pied de tomate en courgette. Il termina alors son année recevant son diplôme de premier niveau, et cessa tout simplement ces études.
Sa mère d'abord déçu,donna tout de même finalement raison a son fils, acceptant compréhensive la décision de son enfant.(6)
Après une longue année a étudier l'abstrait, a s'imprégner de notion obscure, a apprendre des termes qui lui était inconnu, apprenant laborieusement la liste des syndromes au nom savant et à la description interminables, Steve souhaita l'action de la tache physique, la labeur concrète, celle qui donne du cœur a l'ouvrage, et encourage l'effort par des véritable récompenses. En vue de ces ambitions professionnel, celles de travailler comme enquêteur consultant possédant ainsi son propre cabinet et de choisir ces propres affaires au tarif qu'il déciderait,il comprit qu'il devait travailler. Peu importe le travail qu'il effectuerait, il souhaitait accumuler suffisamment d'argent pour financer tout seul son propre avenir. Heureusement pour lui, l'époque correspondait parfaitement a ces attentes, les offres d'emploi abondait et il ne tarda pas a trouver un poste de dessinateur en bâtiment travaillant pour un cabinet d'architecture a une dizaine de minutes de sa maison. Son travail consistait a travailler avec des architectes et selon les indications de ces derniers il dessinait les plans des travaux de réalisation. Le travail était répétitif mais le rythme convenait parfaitement a Steve qui recevait pas moins de 25 dollar de salaire par semaine. Il travailla ainsi pendant trois ans, accumulant ainsi progressivement de l'argent.Les mois se succédant, il haïssait son travail de manière croissante, il détestait profondément la monotonie de sa labeur, lui qui avait quitter les bibliothèques et les salles de classes pour un travail concret, il ne trouvait aucune satisfaction a réaliser successivement des plans de bâtiments sans faire fonctionner une once de son intelligence.Il cessa tout simplement son travail et décida d'effectuer les cinq ans de police réglementaire pour acquérir son accréditation de détective consultant. Il eu 22 ans quand il s'enrôla dans la police municipale de New York. La criminalité en hausse procura cinq longue année de travail intense et périlleuse. Il y acquit d'ailleurs un permis d'arme et un revolver de service. Il adora ces années a arpenter les rues de New York en patrouille interpellant quelques fois des fautifs. Il avait cette jubilation a rendre la justice, a stopper le criminelle la main dans le sac, inspirer par ses romans policiers, il soignait ses répliques et son allure. Travaillant remarquablement bien en équipe il ne tarda pas a monter en échelon gagnant progressivement ses premiers chevrons.
Appréciant ses années passés a la police de New York il décida de travailler deux ans supplémentaire. Il surveilla de près comme tout les américains le conflit meurtrier qui se déroulait en Europe depuis déjà quelques année . Il constata que la situation s'enlisait et craignait que le président de l'Epoque Woodrow Wilson déclare la guerre a l'Allemagne. Alors qu'il rangeait et triait laborieusement des archives, le 6 avril 1917 alors qu'il avait 29 ans il apprit avec stupeur comme le reste des citoyens que les Etats Unis participeraient eux aussi a ce conflit, le hissant désormais au statut de première guerre mondiale. A cette époque a l'aube d'un débarquement américain les pertes humaines était nombreuses et beaucoup considérait que la guerre continuerait a faire des morts durant de longue année. C'est alors que plusieurs millions d'américain subirent la conscription, l'enrôlement forcée d'homme de tout age, des générations rassemblé pour quitter leur pays, condamné a mort ses forçats partaient pourtant sous les acclamations et les louanges du peuple, leur bagne était l'Europe pour certain se sera leur billot. Steve en raison de son métier resta sur le sol américain pour continuer d'assurer la sécurité du territoire national. Madame Larson et son fils, profondément patriote participèrent comme ils le pouvaient a l'effort de guerre principalement par des dons en espèce ou en nature. Les jours passèrent, les mois se succédant, le 11 novembre 1918 le conflit arriva a son terme et chacun put constater avec horreur les pertes américaines sur le champ de bataille plus de 100 000 morts pour achever le triste bilan déjà meurtrier d'une guerre sans précédant.
VOUS LISEZ
L'indicible horreur
Gizem / GerilimQuelle magnifique période d'exaltation que les années folles ! Nous somme en 1920, à New York , la croissance économique est excellente, et un sentiment d'euphorie s'installe après une guerre meurtrière. Le monde se pâme alors dans une certaine tra...