Une histoire dans le monde de One Piece

Chapitre 1

         Ca y est ! Je suis officiellement une marine ! Bon... ça a franchement pas été facile vu que jje connais très bien Luffy et son équipage. Je suis un peu comme Coby mais bon.Et en plus, j'ai de la famille dans la Marine, je ne passe pas par la case matelot ! Non je suis directement devenue Capitaine ! Ca aide d'avoir son oncle dans la marine, surtout qu'il est l'amiral en chef, je veux bien sûr parler de Sengoku ! J'ai appris il n'y a pas longtemps qu'il était mon oncle et lui ne savait pas qu'il avait une nièce et encore moins que ça soit moi. Mon grand-père, le chef de la famille, l'a banni car comme Sengoku est l'ainé de mon père et de mon autre oncle, il doit prendre les plus grandes responsabilités de notre famille et elles sont vraiment difficiles, il a préféré donc de se faire déshériter, et il est entré dans la Marine et a escaladé tous les échelons jusqu'au poste d'amiral en chef. Lorsque Sengoku est parti, mon grand-père a fait comme s'il n'avait jamais existé et ça mon père ne pouvait le supporter. Comme ses deux frères étaient partis (pourquoi l'autre est-il parti ? Je ne sais pas non plus) il accepta toutes les charges sur son dos mais il ne pouvais en vouloir à Sengoku. Il était son grand frère et de temps en temps, lorsqu'il le pouvait, mon père Vladimir Makarov, allait lui rendre visite.
Lorsque je suis née avec ma sœur, nos parents nous ont fait adoptées pour ne pas que nous ayons les charges que lui a reçu. Ma sœur a eu comme parents adoptifs une famille noble, et moi je me suis faîte adoptée par Sengoku qui a promit de donner sa vie pour moi. Il fut heureux et moi aussi mais ça n'a pas durer longtemps malheureusement. Je me suis faîte enlever et j'ai fais ma vie seule, sans lui à mes côtés en tant que père. Je ne lui en veux pas et je vais lui montrer en allant au Q.G. Je traverse les multitudes de couloirs avec mon manteau de la Marine que j'ai moi-même fabriqué (Auteure: Ou plutôt volé sur un mort) et qui est fièrement posé sur mes épaules. Je demande parfois mon chemin à des mousses qui m'indique brièvement où aller. Ce qui fait que je me perd tout le temps. Je commence à m'impatienter. Oui je m'énerve assez vite. J'ai 20 ans et j'ai le sang chaud. Je tiens des Makarov
???:Boooonnnnjjjjooouuuur, je peux vooouuuussss aideeeezzzzz ?
Il parle lentement et articule beaucoup. Bon, vous aurez compris qui c'est :
Annabesse : Oh ! Bonjour ! Vous êtes l'amiral l'amiral Kizaru je présume. Je suis le Capitaine Annabesse Makarov et je cherche le bureau de l'amiral en chef Sengoku.
Kizaru : J'y allais juuuuusssstemeeeennnntttt.
Je le suis jusqu'au bureau, et je me suis dit que l'aide des mousses ne me servait à rien. Nous somme arrivés devant l'énorme portes.
Annabesse : C'est grand !
Je suis soufflée par l'énorme porte. Mon père m'avait prévenue qu'il avait dépassé les deux mètres depuis fort longtemps, mais j'ose à peine imaginer la taille qu'il fait réellement. Il est le seul à être grand dans la famille sinon on est tous de taille normal ou un peu en dessous comme mon père et ma mère, mais ça ne change rien bref... Kizaru toque à la porte et ne l'ouvrit que lorsqu'on lui ordonna. J'allais le rencontrer pour la première fois ! J'en tremblais presque. Plus qu'à espérer que ma voix ne se casse pas lorsque j'allais lui parler. Bon je rentre.
A l'intérieur, c'est grand, très haut, surtout les murs. Les deux autres amiraux sont là. Je reconnais Aokiji, Kuzan pour les plus intimes, et je lui fait un sourire qu'il me retourne en guise de bonjour. Lorsque j'avais 7 ans et demi, il m'avait sauvée face au pouvoirs gigantesques des « responsabilités » que reçoivent ma famille. En général, on ne reçoit cela que le jour où nous sommes « sacrés » alors que pour ma sœur et moi, nous l'avons depuis que nous sommes nées, et ce n'est arrivé que à très peu de nos ancêtres et nous faisons parties de ces gens spéciales de la famille des Makarov. Pour en revenir à Kuzan, j'ai une dette envers lui.
Je me tourne ensuite vers l'amiral Akainu qui, je pense, essaie de me scanner. J'incline la tête en signe de respect envers lui, et là, je me tourne enfin vers lui. On peut dire qu'il ressemble énormément à mon père sans la coupe afro et la longue tresse qui lui sers de barbe.
Annabesse : Bonjour........ Mon oncle...
Sengoku : C'est toi alors..........Annabesse.....
Je lui souris et Akainu arrêta notre dialogue muet.
Akainu : Tu as le pouvoir de la lumière et tu as réussi à arriver après Aokiji qui est le plus lent de nous tous.
Annabesse : C'est de ma faute, je l'ai retardé pour trouver le bureau. Mais maintenant, je vais me retirer, je reviendrais plus tard, je ne veux pas déranger plus...
Sengoku : La réunion porte sur toi Annabesse. Comme tu le sais, en rentrant dans la Marine, tu es devenue directement Capitaine, en fait tu as garder ton grade de militaire, et ça seulement parce que tes supérieurs nous ont fait des éloges sur toi, sur tes capacités hors normes au combat, et autres disciplines. Assieds-toi s'il te plaît.
Je m'assieds très vite auprès de Kuzan en gardant le dos droit, un peu tendu d'être avec les 3 amiraux en même temps.
Sengoku : Aokiji nous a aussi prévenu de ton potentiel incroyable avec ton fruit du démon le multi-multi fruit. Mais comme tu as déjà eu son enseignement, tu iras d'abords avec l'amiral Akainu.
C'est pour ça que ce dernier me fixe ainsi depuis le début. Il le savait et a déjà commencé son examen sur moi.
La réunion se termina après avoir réglé quelques détails avec les 3 amiraux et Sengoku demanda à ce que je reste un peu plus longtemps pour pouvoir discuter un peu plus.
Sengoku : Je voulais te dire que je suis désolé pour ne pas avoir réussi à te protéger.
Annabesse : Je ne vous en veux absolument pas. Vous avez protégé vos hommes et je suis toujours en vie.
Sengoku : Fais moi plaisir. Arrêtes les formalités comme ça avec moi. Je ne suis pas ton grand-père !
Je me détendis un peu. C'est vrai que mon grand-père a toujours insisté pour les formalités et encore, il s'est relâché ses derniers temps avec moi et me demande parfois d'être moi-même avec lui.
Sengoku : Tu as le caractères de ton père et la beauté de ta mère.
Ca oui je ne pouvais pas dire
Sengoku : Maintenant parlons travail. Sakazuki t'attends pour embarquer vers une île où les pirates font leur loi, si du moins ils en ont une... Il te laisseras faire pour voir qu'elles sont tes méthodes.
Je repris mon sérieux pendant son explication. Je courbe un peu le buste pour lui dire au revoir et je m'en vais vers les docks en courant pour ne pas arriver trop en retard. Je sers la garde de mon katana, qui est aussi l'héritage de la famille. En faîte c'est ça la responsabilité de la famille. Nous gardons ce katana en sécurité. Il sépare le bien du mal et le mal du bien et il ne doit surtout pas être dans les mains d'une autre personne que notre famille car cela pourrait tout changer. Ce katana nommé le Tamayora, possède un pouvoir énorme qu'obtient son possesseur. Normalement il l'obtient en se faisant sacré mais comme je l'ai dit avant, certaine personne l'obtienne dès la naissance car on dit qu'il est directement lié à Raïssa, le pouvoir à l'intérieur du Tamayora. Le pouvoir est tellement puissant qu'il à sa propre raison et son propre corps et c'est une démone. C'est pour cela que Sengoku ne voulait pas etre le Tamayori (le sabre = Tamayora, LE possesseur s'appelle le prince Tamayori, et son féminin est la princesse Tamayori) car il avait peur de son pouvoir, peur de la responsabilité que cela apporte et je le reconnais que moi-même j'en ai peur mais moi par rapport à lui j'ai pas la chance de refuser, vu que je suis directement liée à Raïssa, et elle est très dure à supporter car ce n'est plus le katana sa prison mais moi, et grâce à Kuzan, j'ai pu réussir à la contrôler un minimum pour pouvoir vivre à peu près correctement. Ma sœur étant dans le même cas que moi. Le katana prend la forme et la couleur que souhaite son protecteur dès leur premier lien. Maintenant, Tamayora à la lame noire avec sa garde de la même couleur. De tout petits cristaux que l'on ne sent pas sous la main sont rouges et pareille pour le ruban attaché à sa garde.
Une fois arrivée aux docks, je repère l'amiral et cours vers le navire.
Annabesse : Désolée pour le retard amiral !
Il ne dit rien et donna l'ordre de commencer à naviguer en direction de l'île. Il rentra dans sa cabine et étant la plus gradée sur le pont, je donne mes ordres pour faire avancer correctement le navire. Une fois que tout est fait, je m'assieds sur la rambarde pour admirer la vue et sentir l'air marin.

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Salut tout le monde!!!!! Je suis désolée d'avoir mis énormément de temps à poster sur le blog mes fanfictionsmais comme je l'ai dit dans mon article il y a peu, je n'avais plus le temps d'écrire avec mon emplois du temps au lycée et encore pire, j'avais perdu le goût d'écrire et l'imagination me faisait défaut. je me suis reprise et maintenant j'écris dès que je peux dans mon cahier à fanfictions et j'ai maintenant 4 chapitres de fini que je vais poster le plus rapidement. merci beaucoup à tout ce qui me suivent et à bientôt!!!!!