Longwood, le Commencement

Chapitre 4: Garde obligatoire

Aujourd'hui c'est le week-end et Sandoa devait faire quelques devoirs de mathématiques. Elle s'entraînait à réalisé ses fractions. La journée était toujours aussi pénible et ennuyante. Sandoa zappe encore une fois de plus le dîner. Elle allait se brossé les dents dans la salle de bain, quand elle entendit son nom qui sortait pour la première fois de la bouche de son père

-Grace! Je ne veux plus joué la comédie! Sandoa doit savoir! Elle a le droit d'être ce qu'elle!
-Tu sais très bien Julius que non! On doit la gardée avec nous! Elle peut être tuer à tout moment!

Sandoa posa son oreille sur le plancher de sa chambre, pour entendre mieux la conversation.

-Mais tu oublie qu'il est mort! Il ne viendra pas, répliqua Julius
-Si il reviendra. Un Draqua la-vu de ses propres yeux.
-Tu sais très bien que les Draqua sont doué pour les farces!

Sandoa se posais soudain plein de questions: qui est cette personne supposée morte? Et qu'est-ce qu'un Draqua? Elle n'en avait aucune idée. Mais elle parie sur son livre préféré que  ses parents lui cachais quelques chose de très important chez elle. Peut être que ça avait un lien avec l'incident avec la tortue.
Non, pensa Sandoa, c'est complètement ridicule. En plus j'étais fatigué ce jour là.

-S'il te plaît pour moi! Après tout ce que nous avons traversé ensemble!
-Non! Je ne veux plus jouer à la comédie! Cela à assez duré!
-Je t'en prie! Je ne supportes plus de porter ce fardeau, depuis qu'ils sont mort à Longwood...

Le coeur de Sandoa fis un saut périlleux dans sa poitrine. Une pensée horrible lui traversa l'esprit: ses parents auraient tuer des personnes dans cette fameuse cité, nommé Longwood? Elle n'y comprenais rien: au début elle pensais que ses parents voulaient la protéger de ce qui se passe dehors, mais maintenant, elle ne sais plus où elle en est. Ses parents était t-il des meurtriers? Vont-ils la soumettre à cette pratique? Mais Sandoa fini par se ressaisir, c'était impossible. Et puis d'ailleurs, elle ne connaît rien des activités de ses parents à l'extérieur. Elle mis son œil dans un des trous du plancher et constata, que sa mère avait sorti sa baguette magique. Sans prononcer la formule, Mrs Happen illumina l'extrémité de sa baguette, d'une lueur bleuâtre dans le séjour devenu sombre. Sandoa adorais la magie.

-Bon si tu y tiens, répondu Julius, je ne vais rien révéler maintenant...
-Non, répliqua Gracienne, pour toujours! Je veux jamais le lui annoncer! Tu te souviens de leur parole?
-"Restons cacher et restons en sûreté"
-Oui exactement.
-Moi je te préviens juste d'une chose: cette gamine est très intelligente, elle n'est pas idiote tu le sais?
-Bien sûr qu'elle n'est pas idiote, s'écria Gracienne, ce n'était pas ce que j'avais insinué toute à l'heure!
-Je vois, répliqua Julius

À travers le trou, Sandoa voyais son père en train de tirer l'extrémité de sa moustache et sa mère commencé à monté l'échelle de la mezzanine, sa baguette à la main. Prise de peur Sandoa alla en direction de son lit sans faire de bruit. Mrs Happen entra dans la chambre et Sandoa était déjà sous sa couette. Mrs Happen se dirigea vers le lit de sa fille. Elle lui caressa sa tignasse touffue. Aussi elle lui accorda un petit baiser sur le front. 

-Oh ma chérie, dit-elle, tu es si jeune. Je ne peux pas te révéler ce qui c'est passé cette nuit il y a douze ans. Le choc te tuerais sans aucun doute.

Elle se leva du lit et alla descendre l'échelle en disant:

-Tu restera quand même toujours ma petite fille à moi!

Quand Mrs Happen n'était plus là, Sandoa réfléchi à ce qu'elle venait de dire "le choc te tuerais sans aucun doute" "tu restera quand même ma petite fille". Ces phrases cache sûr et certain un terrible secret. Le cerveau de Sandoa était trop fatigué et elle s'endormi sur le champ.