Chapitre 4

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Point de vue Hope

J'ai parlé à maman hier soir au téléphone, je lui ai rencontré sa journée, elle m'a conseillé de retourner lycée, et d'essayer de me donner meilleure conscience en m'excusant auprès de Thalia, d'autant plus qu'il y avait une chance qu'on soit cousines.

J'étais donc en route vers mon lycée, sur la route je pensais à ce que j'allais dire à Thalia, surement que j'étais désolé, que je voulais en savoir plus sur elle et sur Marianne car évidemment, tonton Kol avait refusé de me dire quoi que ce soit à son sujet, ...

Je ne tardai pas à arriver, j'entrai, et alla m'asseoir, Thalia n'était pas là,...

Enfin elle n'était pas à sa place habituelle, elle s'était mise à l'opposé de l'endroit où j'étais

-Je suis vraiment désolé, chuchotais-je sachant qu'elle m'entendait

Elle me lança un regard noir mais ne répondit pas,...Le premier professeur entra, c'était celui de mathématiques,...

A la pause j'allai vers elle

-Ecoutes, je sais que tu as toutes les raisons de...

-Non toi écoutes-moi, je ne veux pas que tu m'approches, je veux que tu comprennes que je n'suis ni ton amie, ni ta cousine, on a peut-être le sang en commun mais ça s'arrête là, tu es désolé, OK, j'te pardonne si ça peut t'aider, tu sais c'que j'ai ressenti quand...ton oncle m'a tiré dessus ? J'ai cru qu'il allait me tuer quand cette balle s'est logée à quelque millimètre de mon cœur ? J'ai eu peur, j'étais terrorisé à l'idée de mourir comme ça, mon propre père a failli me tuer, il tenait ma vie entre ses mains et crois-moi c'est la pire sensation que j'ai connu

Elle se leva et sortit précipitamment, en pleurant, je me sentais vraiment mal, je retourna à ma place et posa ma tête sur mon pupitre en attendant le prochain cours

-Tu t'appelles Hope c'est ça ?

Je regardai celui qui avait parlé, je reconnus Ben, celui que Thalia avait hypnotisé

-Je viens de voir Thalia sortir du lycée, elle n'avait pas l'air bien

Je le fixai pour l'hypnotiser

-Excuse-moi mais je suis passablement contrarié et je n'ai pas envie de passer ma colère sur toi alors vas-y

-Désolé mais Thalia est mon amie et je veux savoir ce qui lui arrive

Je vis un bracelet à son poignet, une des breloques contenait de la veine de vénus

-C'est elle qui te l'as donné ?

-Ouais, elle a dit que ca me serait utile si je continuais à vivre ici

-Tu la connais depuis longtemps ?

-Quelques mois, ça date de quand elle est arrivé ici

On discuta un moment de Thalia puis il retourna dans sa classe, la suite des cours se passa normalement mais Thalia ne daigna pas réapparaitre, quand je rentrai chez moi je trouvai tante Freya, tatie Bex et tonton Kol dans le salon

-Je vous dit que c'n'est pas ma fille

-Ca ne te coute rien d'essayer, ça m'a pris du temps de faire cette potion, alors tu vas la boire,...S'il te plait p'tit frère, demanda tante Freya

-C'est d'accord, dit tonton Kol

-Hope tu tombes bien, toi aussi tu vas la prendre, me dit-elle

Je m'approchai et regarda la fiole qu'elle me tendait

-Qu'est-ce que c'est ? Demandais-je

-Grâce à ça Kol va enfin comprendre que Thalia est sa fille, me dit tatie Bex

-Qu'est-ce qu'on doit faire ? demanda tonton Kol

-Vous n'avez qu'à boire le contenu

Point de vue Kol

Je regardais mes cinglés de sœurs qui s'étaient mis dans la tête qu'elle seraient de nouveaux tantes, bien décidé à leur prouver le contraire, je bois tout le contenu de la fiole en même temps que Bekah et Hope fait la même chose, je sens que je m'endors...

Quand j'ouvre les yeux nous sommes dans une forêt, j'échange un regard avec ma cadette, c'était la forêt dans laquelle nous jouions enfants, je regardais autour attendant que quelque chose se produise, ce qui ne tarda pas, on revit le jour où Klaus était venu avec le cœur d'Henrik, sans vie, Hope arrivait mal à maitriser ses émotions et pleura, ça faisait partie de mes pires souvenirs, c'était la raison pour laquelle cette folle qui nous sert de mère nous avait transformés, me retirant ainsi mes pouvoirs, moi le surdoué de la famille, le seul capable de faire de la magie de tous ses enfants, j'étais perdu dans mes pensées et je n'avais pas remarquer le changement de scène

-Kol, tu n'as pas à faire semblant avec moi

Je me retournai vivement au son de cette voix qui m'étais tellement familière, elle était là devant moi, j'étais pareil qu'aujourd'hui mis à part la taille des cheveux et mes vêtements, j'avais 19 ans, elle 18

-Je vois bien que tu vas mal, mais je suis là tu sais, tu peux te confier à moi

Marianne s'était l'allégorie de la perfection, gentille, douce, attentionnée, forte, brave et belle, je l'aimais tellement, et c'était pour cela que je la voulais auprès de moi pour toujours...







Il y aura des flash-back sur Kol et Marianne dans le prochain chapitre, et je commence une autre fiction sur mon amour Kaï Parker et un OC de ma création.

Et information inutile, aujourd'hui j'ai depassé mon record qui était de 9 heures sur un ordinateur et je suis passé à 17 H 

La première trybrideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant