Début de relation (3)

3 1 0
                                    

Nous nous sommes revus le Dimancheaprès nos « déclarations » respectives histoire de efaire une sortie à deux et d'échanger ce fameux premier baiser tantattendu -je me donne envie de vomir en écrivant ça bon dieu- il m'aoffert son bracelet prénom (le truc ultra cliché aha (je suisvachement critique envers mon moi adolescent aujourd'hui dit donc)). Il voulait absolument que je dise à mes parents que nous étions ensemble dés le lendemain (lundi, jour de rentrée). Je n'en avais pas envie, je ne me sentais pas prête, ce n'était que le début. Mais comme il était convaincu que nous étions des âmes sœurs et que nous allions passer notre vie ensemble ça ne servirait à rien d'attendre. Il m'a donc pressé toute la soirée du Dimanche  et j'ai finit par capituler. Le lendemain à la pause du déjeuner, aidée par une amie qui m'a un peu guidé sur la manière de dire tout ça à ma mère, j'ai envoyé le message ne me sentant pas le courage de lui dire en face. D'ailleurs quelques temps plus tard je l'ai dit à mon père par téléphone. Lui ne m'a jamais trop posé de questions sur cette relation contrairement à me mère, mais passons car ce n'est pas très pertinent pour la suite de l'histoire. 

Revenons à nos montons, je l'ai annoncé à ma mère lundi et le mercredi qui a suivi je me suis retrouvée embarquée chez lui pour déjeuner (je crois bien que c'était ça) et j'ai donc rencontré non pas ses parents, mais bien ses parents, sa sœur et ses neveux. Le tout d'un seul coup à peine avais-je passé la porte d'entrée. Je me souviens que j'étais très gênée et mal à l'aise, en plus de ça ses deux chiens m'aboyaient dessus comme des fous et à ce moment là on m'a dit "C'est bizarre elles n'aboient que sur les gens qu'elles n'aiment pas" ... Well, merci hein. Enfin bon bref, je ne savais pas du tout comment agir envers eux, j'étais un peu gauche chaque fois que je les voyais et ça a persisté tout au long de la relation d'ailleurs, je n'ai jamais été très sereine même si j'appréciais beaucoup son père qui était à peu près ouvert d'esprit et avec qui on pouvait discuter tranquillement sans qu'il ne s'emporte,  je n'avais pas vraiment le sentiment d'être à ma place. Mais passons, nous parlerons de ça une prochaine fois concentrons nous sur les débuts de cette relation. 

L'écriture comme thérapie - T1Where stories live. Discover now