Partie 5

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C'était ma chance, j'ai pris mon courage à deux mains et je me suis précipité dans la salle des profs sans me soucier si ma queue dépassait de ma braguette. J'ouvrais la porte quand ma prof toute nue s'était empressée de venir se jeter dans mes bras (elle croyait peut-être que c'était le prof d'EPS, mais hélas ! Ce n'était que moi). Au moment où elle s'est rendu compte, c'était déjà tard car je me frottais déjà contre ce corps de femme nue, ma jambe s'infiltrait entre les siennes, ma queue glissait sur sa cuisse. ''Tu es fou ! Que fais-tu ?'', ma prof s'est exclamé. ''J'essaie de vous faire plaisir madame'', d'une voie très séduisante et en la regardant droit dans les yeux, je lui ai répondu comme un homme. ''Mais.............................'', avant qu'elle ne puisse terminer sa phrase et reprendre le contrôle, j'ai pris les choses en main et je me suis lancé. J'ai tiré ma prof vers moi, je l'ai bien serré fort contre moi pour qu'elle puisse sentir ma queue plus dure que jamais, et je me suis mis à l'embrasser passionnément. Je l'ai fait pendant un moment puis je me suis arrêté. ''Grand fou tu es courageux ! tu es bien monté je sens ça entre mes cuisses, et j'aime ça'' ma prof m'a dit et m'a retiré vers elle et m'a donné le meilleur baiser que je n'ai jamais eu. Je sentais sa langue de femme adulte se papillonner dans ma bouche et essayant de m'étouffer. Elle s'est arrêté et m'a jeté un regard mortel en me disant :

Mme Claire : Ou en es-tu avec les femmes ?

Moi : Boff j'ai baisouillé une fois mais je n'avais jamais vue de femme nue avant vous, vous êtes belle.

Mme Claire : Je vais m'occuper de toi... assied toi là. Essaie de ne pas décharger trop vite.

Ma prof s'est mise à genou et elle s'est mise à me piper. Quel délice de sentir ma queue enfournée dans sa bouche brulante, c'est trop de bonheur. Ça me faisait si bien que j'ai déchargé dans à peine deux secondes dans sa bouche (HAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaa .........).

Ma prof : Quoi ? Déjà ?

Moi : Excusez-moi.

Ma prof : Bon, je vais prendre ta place tu vas examiner ma moule de prés, si tu veux lécher ne te prive pas.

A genoux je matais cette fente luisante de jus entourée de poils noirs comme je les imaginais, j'ai avancé timidement mes doigts.... Des filaments reliaient les lèvres lorsque je les séparais, soudain sa main s'est plaqué derrière ma tête et la force à se plaquer sur sa moule. ''Lèche, tu en crève d'envie'' elle me disait d'un ton très doux.

Trop tard pour refuser mon nez est entré dans la caverne, et il fallait que je lui prouve que je suis un homme. Ma langue est sortie de ma bouche de plus en plus longue, mes doigts venaient chercher ce fameux clitoris dont on parle beaucoup mais que je n'ai réellement touché qu'une fois (Ce n'était pas celle d'une femme à cet âge-là) ... le voilà ! Ça ressemble à un grain de maïs caché sous une langue de peau, sa propriétaire réagis à chaque fois que je l'effleure. ''Doucement Raoul mouille le bien avant de le caresser, laisse-moi te guider'' ma prof disait tout en gémissant. ''Voilà comme ça vas-y aspire le, mordille-le avec tes lèvres, Huuuuuummmmmmm tu fais ça bieeeeeeeeennnnnn, enfonce deux doigts dans ma moule en même temps, bouge-les comme des petites pines ... oouuuuuuuiiiiiiiiiiii, tu vas me faire jouir petit salaud. Haaaaaaaaaooooooooooooouuuuuuuuuuuu ! ouuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !'' mon prof disait tout en gémissant mais cette fois-ci, plus fortement.

Ses cuisses se sont resserrés sur mes oreilles, impossible de bouger je suis obligé de laisser passer l'ouragan accompagné d'un jet de liquide acre qui a dégouliné hors de ma bouche.

Mme Claire : Houuuu ! Excuse-moi Raoul, je ne t'ai pas étouffé j'espère ?

Moi : Non ça va

Ensuite, elle s'est levé, m'a poussé sur le carreau et elle est montée sur moi. La vue de cette femme nue au-dessus de moi m'excitais à mort, sa fente ouverte laissait tomber des gouttes de sa mouille sur mon ventre. Accroupie la tête penchée elle regardait sa moule, je tenais ma pine bien dure à la verticale, les deux sexes se sont touchés... Mon gland bien rouge repoussait les lèvres gonflées de sa moule, elle s'est baissé légèrement, et s'est mis à me bécoter sérieusement tout en me pompant. Elle pompait ma queue sérieusement tout en me bécotant très fort, elle malmenait ma bouche avec la sienne. A un moment, elle a arrêté de m'embrasser et elle s'est redressée tout en me pompant. Son corps formait un angle droit parfait avec la mienne, elle continuait toujours ses va-et-vient rapides au-dessus de moi, ses nichons virevoltaient comme des flans. Elle s'est mise à se caresser les nichons au-dessus de moi tout en me pompant puis, elle a pris mes mains et les à poser sur sa paire de miche et me faisait les caresser. On était à fond dans nos mouvements quand je me suis relevé, l'ayant toujours sur ma pine, je l'ai serré très fort contre moi, et à grands coups de reins violents, je soulevais mon cul pour bien enfoncer ma pine au plus profond de son vagin. Ma prof a crié, tellement c'était fort que j'ai cru que je lui ai fait mal et j'ai voulu m'arrêter quand elle m'a serré fort contre elle et m'a murmuré à l'oreille : ''ne t'arrête pas inh, continue j'aime ça.'' La femme en équilibre, les jambes pliées avec ses deux bras me serrant fort et ses nichons qui se faisaient téter sauvagement, recevait de violents coups de ma pine dans son vagin. Je voyais ma queue aller et venir à toute vitesse dans ce ventre de femme adulte. Je multipliais les venues dans son vagin lorsqu'elle m'a dit : ''je veux que je tu jouisses dans ma bouche, c'est un truc que j'adore''. Je ne l'avais jamais fait, et j'avais bien envie d'essayer. J'ai donc arrêté mes coups et elle s'est remis devant moi, reprenant ma pine en pleine bouche, continuant de se caresser le sexe de sa main droite et tenant la mienne de sa main gauche. Rapidement, j'ai senti qu'une bonne goute de sperme allait venir et je lui ai dit « ça vient », mes yeux commençant à s'écarquiller.... Elle n'a pas pris la peine de me répondre et lorsque mon sperme est arrivé dans sa bouche, elle n'a pas reculé, et a avalé chaque goute sans broncher, accélérant ses caresses sur son clito, jusqu'à ce qu'elle aussi jouisse. On est tombé tous les deux sur le parterre de la salle, moi fatigué comme jamais. Ma prof avait l'air totalement heureuse par ce que nous venions de faire et moi aussi d'ailleurs. Nous sommes restés parterre là à respirer de façon saccadée pendant environ dix minutes jusqu'à ce que ma prof m'ait proposé de se rhabiller et de vite quitter les lieux avant que quelqu'un ne nous voie. Juste avant de partir, elle m'a fait une bise et m'a glissé un morceau de papier sur lequel elle a écrit : ''Tu m'as vraiment fait plaisir comme tu l'avais dit. Tu es un homme de parole avec un courage fou, j'aime ça. Bref, voilà mon numéro 96 ** ** **, appelle-moi si tu as envie qu'on remette ça. On a tout le congé de détente pour bien nous détendre. Bisous.''

Un élève pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant