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« Sarah, je n'ai pas ou plus les mots pour le mal que tu a fais naître en moi, plus la force de te regarder dans les yeux.
Même plus la force de pensée que tu ai pu donner ton corps à une autre personne en étant liée à moi, comment as tu fait pour pouvoir réussir à me trahir ? tellement de questions se pose a l'heur d'aujourd'hui dans ma tête, rien ne pourra effacer ce cauchemar horrible que tu me fais vivre en ce moment même où je t'écris.
Alors avec le coeur bordant de larmes, je récupère mes affaire ainsi que mon vécu dans cette maison.
Je t'aimais, Je t'aime oh ça n'en doute pas, mais est ce que je t'aimerais ? tel est la question qui résonne dans ma tête. »

Voilà la lettre est déposer sur la table de l'entrée, je referme la porte derrière moi, je met la clef sous le paillasson, elle la trouvera sans doute, puis je partie  dans l'espoir qu'elle réagis.

!SARAH!
Je regrette, oh oui je regrette d'avoir perdu Lisa, Je l'aime c'est dingue, mais je sais je l'ai trompée, et cela est impardonnable, je lui ai briser le coeur et je m'en veux, rien n'y personne ne pourra la remplacer, j'ai cette peur de rentrer, et de trouver la maison vide, ou pire encore j'ai peur de rentrer et de la voir effondré devant le cadre accrocher de nous deux, Je n'aurai jamais dû la trahir, la connaissant elle ne me pardonnera jamais.

Je finis ma journée dépitée parce ce qu'il venait de ce passer, je partie récupérer le reste de mes affaires en salle des profs, regarder mon casier, aucune lettre de Lisa, je compris à ce moment que notre histoire magique et magnifique serait peut être finis pour une connerie.

A mon arrivée chez moi, je découvrit une enveloppe notée « Sarah » je commença à la lire, puis a la fin de ma lecture, j'eus les jambes qui se mirent a tremblaient tellement fort que je partie m'assoir, je remarquer ce vide, seule la maison était remplis de dégoût, de haine et de tristesse que Lisa avait laisser en fermant la porte derrière elle, puis soudains je fut asperger par une vague de larmes, qui me mît hors de moi,  je pleurait pour elle, je ne voulais qu'elle, amoureuse tellement amoureuse, je me mise à me lever puis a aller dans le lit, les draps sentaient son odeur, puis sous l'oreiller était rester le petit mots qu'elle avait marquer, qu'on lisaient tout les matins avant le petit déjeuner, je m'allonger sur son oreiller, histoire d'oublier ce qu'il c'était passer.

Promet moi.  //Prof.Élève//  TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant