Chapitre 10

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Quelques semaines se sont écoulés depuis, avec Peter nous nous retrouvons en secret et cette sensation est tellement grisante. Bizarrement Drogo est plutôt calme et d'après Peter cela ne présage rien de bon quand il est comme ça. Donc nous restons sur nos gardent avec mon doux vampire pianiste.
Comme tous les soirs après le coucher de Lorie (avec qui je m'entends beaucoup mieux), la mélodie de Peter raisonne dans le couloir. J'ai l'impression qu'elle m'envoute afin de me ramener vers lui, je me laisse guider jusqu'à sa chambre, après avoir vérifié que personne n’était là, je me suis glissée sur la pointe des pieds dans la chambre de mon amant. Je pose mes mains autours de sa taille, il frissonne à mon contact mais continue de jouer puis doucement la mélodie prend fin et Peter me fait face. Son pouce vient caresser ma mâchoire alors que nous souffles se mélangent et que nos lèvres s'effleurent pour se séduire et se chercher. L'atmosphère de la pièce devient électrisante, ses yeux verts émeraude me font fondre alors que mes jambes chancèlent légèrement et que Peter accentue son étreinte sur ma taille pour me maintenir alors que nos langues se goûtent, se mêlent et se cajolent. Seul nos souffles viennent briser le silence de la pièce, s'est il que je le suivrais au bout du monde s'il me le demandait ? Ses mains se font baladeuses sur mon corps qui le réclame et vient épouser le sien afin qu'il comprenne bien que j'ai envie de lui. Ses lèvres quittent les miens, descendent le long de ma mâchoire alors que je bascule lentement la tête en arrière afin de lui donner accès total à mon cou. Ses lèvres s'y attardent pour y laisser son empreinte et ma respiration devient difficile tellement le tourbillon du feu qu'il provoque en moi est fort. Je tire doucement sur ses cheveux bleus afin qu'il continu et il lâche un petite soupire rauque qui attise le feu de mon bas ventre. Je sens son membre gonflés et durcir contre ma propre intimité qui le réclame, une de ses mains vient soulever mon T-shirt et elle vient se nicher sous le bonnet de mon soutient gorge pour torturer avec douceur mon téton qui durcit sous l'excitation et je gémis en murmurant son nom. Je sens un sourire se dessiner sur ses lèvres qui continuent leur exploration alors qu'il sort mon sein de mon bonnet et que sa bouche remplace ses doigts habiles, me faisant cambrer le corps encore plus et gémir un peu plus fort. Je tire un peu plus sur ses cheveux lui arrachant un râle rauque qui me fait sourire.

Peter : Cela te fais… sourire… je vais… te le faire… payer ! (Dit il en arquant un sourcil.)
Moi :  Oh je suis… curieuse… de savoir comment… mon beau vampire ! (J'accentue mon sourire, le provoquant.)
Peter : Hum… tu vas… souffrir ma… jolie !

Il arrache presque mon T-shirt et mon petit short alors que ses caresses et ses baisers sur ma peau deviennent avides. Alors que sa main se glisse sous mon shorty et vient jouer avec mon intimité chaude et humide. Alors que je retiens entre mes lèvres mes gémissements, de sa main libre il dégrafe l'attache de mon soutient gorge et le fait glisser pour laisser ma poitrine apparente. Mon dieu, je n'ai qu'une seule et unique envie, le sentir en moi alors je tire sur ses cheveux pour lui faire comprendre.

Moi : S'il te plait… Peter…

Ma voix est un murmure presque douloureuse, Peter plonge ses yeux dans les miens mais continue de me torturer doucement.

Peter : Que… veux tu… ma jolie ?

Je peux sentir le désir qui l'anime lui aussi.

Moi : Je veux… te sentir… en moi… Peter !

Il a un petit sourire puis en moins de temps qu'il en faut nous sommes nus alors que j’enfonce doucement mes doigts sur ses épaules alors qu'il me pénètre un peu brutalement m'arrachant un gémissement de plaisir intense. C'est bestiale et intense entre nous,  on étouffe nos gémissements l'un contre l'autre et je viens même marquer son épaule de ma marque tellement je suis en symbiose avec Peter. On ne fait qu'un, je n'avais encore jamais ressenti cela pour quelqu'un avant lui. Nous sommes dans notre bulle, rien qu'à nous alors que nos mouvements sont de plus en plus rapide. Nos corps sont luisant par la sueur mais nous sommes tellement bien, tellement bien. Et lors que nous trouvons la jouissance ensemble, qu'il se déverse en moi et que je suis envahi de spasme violent mais tellement agréable. Nous lèvres échangent un baiser mais soudain la porte de Peter s'ouvre sur Nicolae qui ouvre de grand yeux.

Une mélancolie incessante". Où les histoires vivent. Découvrez maintenant