« La maîtresse de son patron.»

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Khiara sur le multimédia..

« J'vais pas trop m'étaler, saigner faillait, blessé j'l'étais..»

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KHIARA.

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6h46pm
USA, Village près de New York , Domaines des Reynolds..

Cela me faisais bizarre de devoir dormir autre part que dans mon petit appartement à Brooklyn. La voiture s'arrêta et le chauffeur vint nous ouvrir la porte. Nous rentrâmes à l'intérieur. Nous parcourûmes l'entrée principale jusqu'à arriver dans le salon.

Il y avait deux personnes qui étaient assises. L'une regardait les informations, je reconnus la mère de Mister Heggans. L'autre lisait un journal, c'était un homme plus âgé, ce visage qui ne m'était pas familier mais je supposais que c'était sûrement le père de Mister. Je m'apprêtai à me présenter mais je reçus un appel sur mon téléphone professionnel. Je me mis à l'écart et décrochai.

CONVOCATION TÉLÉPHONIQUE.

« Khiara Pèrez, assistante personnelle de Mister Reynolds Heggans, que puis -je faire pour vous ?

- Vgtdsh Kjgdrty , secrétaire de Dalaï-lama. Mister Reynolds Heggans et Dalaï-lama ont convenu lors d'une conférence téléphonique que Mister se rendrait au tournage d'une des publicité de la campagne colombienne . Afin de préparer votre arrivée, nous avons besoin que vous nous fournissiez quelques informations.

- Très bien qu'avez vous besoin de savoir .. »

SAMUEL.

« Mère..

– Samuel, tu es enfin rentré. Dit-ma mère en se relevant de son fauteuil afin de me prendre dans ses bras.

– Samy'.. »

Cria-ma sœur en m'apercevant avant de courir en ma direction et de sauter dans mes bras à son tour. Laïla est mon unique sœur. Je la considérais énormément. Nous avons toujours été proches. Nous nous soutenions toujours. Je resserrai mon étreinte et lui déposai un long baiser sur le front. Je me décollai d'elle et me dirigeai vers l'escalier.

« Eh moi, tu ne me dis pas bonjour ? »

Dit-la voix que je voulais à tout prix éviter. Je me tournai et l'aperçu assit sur l'un des fauteuils, un journal à la main. Il releva son visage dans ma direction. Il fermait son journal et le déposait sur la table basse. Il se leva et ouvrit grand ses bras. Remarquant aucune réaction de ma part, il lâcha :

« Heureux de te revoir.., mon fils. Ajouta-t-il espérant une réaction de ma part. »

Je me retournai et montai les escaliers. Je parcouru le grand couloir et rentrai dans ma chambre. Je déposai mes bagages sur le chevet et partis dans mon dressing. Je détachai ma montre, j'enlevai ma veste, ma cravate, mes chaussures puis les plaçai dans leur rangement respectif. J'ouvris les premiers boutons de ma chemise et mis mes chaussons afin d'être à l'aise.

Après avoir terminé mes arrangements, je sortis de ma chambre veillant à bien refermer la porte puis je redescendis. J'étais dans le couloir me dirigeant vers la pièce de séjour. La nouvelle me rejoins et me dit: