Chapitre n°11 , Pourquoi nous détestons nous a ce point la ?

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Après nous être remis en route , il restait encore à arriver sains et saufs à la " maison " . Nous devions partir à 3 heure et 50 minutes si vous vous rappelez . Nous avions perdu environ 10 minutes pour au final partir à 4 heure . Le couvre feu à lieu à 7 heure . J'avais absolument besoin de savoir l'heure qu'il était , sinon nous étions perdus .

Gaspo et moi nous trouvions dans la forêt , la où j'avais rencontré Euridyce . Je me posais comme toujours la question de... Et si je lui demandais de l'aide ? À force de toujours devoir gérer mes problèmes , elles finira bien par en avoir marre ou  pire , se lacer de moi . J'ordonnai à Gaspo de courir , nous n'avions plus le temps . Enfin nous arrivons en face du mur .
Gaspo pris les devants . Sûrement pour partir en reconnaissance... Je me baissait puis me collait contre le mur pour me faire la plus discrète possible .
Une vingtaine de minutes plus tard , nous arrivons enfin à destination . Il ne restait plus qu'à traverser la route . Nous traversâmes prudemment .
*Toc,toc,toc*

Je frappait a la porte , personne n' ouvrit . Le " toc,toc,toc " fini vite par se transformer en " boom,boom,boom " . Je n'ai jamais frapper autant de fois à la porte depuis que je squatte cet endroit . Enfin , n°1334 ouvrit .

" - Pourquoi tu m'as laisser dehors aussi longtemps ??!! Hein !?? Dit-je en colère  .
- Plus important à faire , sans doute . Dit-il en ricanant .
- phh ! Ordure un jour , ordure toujours hein !!?? "

Là , il a vraiment négliger ma vie . Me laisser aussi longtemps dehors c'est une blague ??? Surtout qu'à la base c'était MA maison . Je m'en allais en tapant des pieds et en serrant mes poignets tellement fort que j'en oubliais le plus important . Je me retournais lentement , ce que je craignais arriva . N° 1334 pris de l'élan puis frappa Gaspo en plein abdomen avec une violence inouïe . Je restais paralysée par la terreur , témoin de la scène . << Gaspo...? Dit-je-effrayée >> .  Gaspo , malgré sa faiblesse , causée par la famine essaya de se défendre , en vain . Libérée de cette paralysie insoutenable , je me ruait sur la nuque de n° 1334 . Trop grande différence de force et de taille je dirais ? Sans même faire attention à moi il battait sans pitier ce pauvre petit animal qui n'avait rien demander . Prise par la rage j'agrippais son visage , j'enfonçais mon doigt dans son oeil gauche le plus profondément possible . La porte ouverte , un cri de douleurs se faisait entendre dans toute la rue . Enfin il arrêtait de s'en prendre à mon ami , pour maintenant s'en prendre à moi . Agripée sur son dos , il se jetais volontairement contre le mur , un bout de fer rouillé s'enfonçait dans mon genoux . En larme je criais . << Arrête bon sang !!! Lâche moi !!! >> . Il m'attrapa la tête , me fis basculer en avant puis me jetta sur le sol d'une extrême violence . Le fait que n°1335 n'intervienne pas était plutôt bizarre . N° 1334 me ruait de coups , il fallait que je le fasse . Je me protègeais la tête avec mes bras et la seule force qui me restait pour réfléchir deux minutes . 
Je pris mon courage a deux main , d'un coup je cris   << Sanomé Mendréas !!!! >>
N° 1334 stoppa ses coups , pour me regarder avec dégout et étonnement .

" - Comment !??? Dit-il stupéfait .
- En vérité je.... n-nous... "

Sans m'en rendre compte , je m'étais évanouie .

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MA DESTINÉE : Euridyce Où les histoires vivent. Découvrez maintenant