Chapitre 28

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Allez voir mon compte commun avec ma copine Léa, « MAYUAC » ça nous ferait extrêmement plaisir ❤️
Bonne lecture !

La situations est, on peut le dire tendue.

- J'ai réfléchie. dis-je exactement au même moment que Cécile.

Je ne parle plus, attendant qu'elle reprenne.

- J'aimerai que l'on...

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- J'aimerai que l'on soit de nouveau ensemble, qu'on ravive la flamme, je ne veux pas à faire du chantage, restes et je ne ferais rien.

Ololo mais dans quelle m*rde je me suis foutu !

Je ne veux plus d'elle moi, je ne veux pas être méchant. Et dans mes souvenirs, notre dernière discussion, nous étions d'accord, enfin il me le semble...

- Mais je croyais que...

Je n'ai pas fini que je l'entend rire.

- Mais pourquoi est-ce que tu ris ? je lui demande

- Je blague Morgan, enfin c'est plutôt un rire nerveux... On est d'accord, notre relation ne mène plus à rien, enfin nous ne sommes pas d'accord puisque je ne suis pas d'accord avec toi mais théoriquement-

- Cécile ! Arrêtes tu m'embrouille là !

- C'est fais exprès en fait je n'ai pas du tout envie qu'on se sépare, mais je respect totalement ton choix. Je sais que je es très attaché à elle, malheureusement.  Et je sais aussi que, quand on aura raccroché, nous ne serons plus ensemble.

- Donc tu essaies que cette conversation dur le plus longtemps possible, n'est-ce pas ?

- Exact. me répond Cécile tout en lâchant un soupire.

Je lâche un soupire à mon tour.

- Je t'apprécie énormément tu sais, tout au long de notre relation tu as fais de ton mieux, même si la plupart du temps tu étais insupportable et hystérique, je vois que tu as changé. Je serais peut-être tombé amoureux de toi si tu avais été comme tu l'es au jour d'aujourd'hui. Mais tu n'étais pas comme ça, et dire que tout est de ta faute serait purement faux. Je ne vais pas te mentir et te dire que j'étais dingue de toi, mais je t'appréciais, seulement, pas de sentiments rien. Tout au long de notre relation, je reprend mon souffle, nous n'avons pas arrêter de nous engueuler, nous nous sommes plus engueulés qu'autre chose. Je t'avoue que la plupart du temps je te trompais, tu le sais que je t'ai trompé n'est-ce pas ? Mais tu n'en sais même pas un quart.

Je ne regrette pas, j'ai aimé parce que c'est dans ma nature, tellement de filles sont passées dans mon lit... C'est inimaginable. Et pas une seconde je ne pensais à toi pendant ce temps. Alors je suis désolé, ou peut-être pas. Je suis hyper contradictoire entre le début de mon discours et la fin, mais tu sais très bien pourquoi je fais ça. Je fais une longue pose puis reprend. Je fais ça parce que tu ne seras pas triste, mais en colère. D'avoir été trompée. Tu vas me détester, vouloir faire la fête comme jamais tu l'as faite, ensuite tu vas t'amuser avec des garçons, et pendant ce temps il ne faudra pas que tu penses à moi, il ne faudra pas que tu flanche. Je sais que c'est simple à dire...

Quand tu me surprenais, je tachetais un cadeau hors de prix et tu étais heureuse, ou au contraire tu ne savais pas et c'était beaucoup plus souvent que le première option. Alors déteste moi ! Je t'en supplie, tu souffriras moins Cécile, hurle moi les pires insultes, dis à tout le monde ce que tu sais sur moi, mais ne m'aime pas. Tu ne peux pas m'aimer, tu n'as pas le droit. lui dis-je.

Un amour consumantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant