Le lendemain, je me rendit compte que je n'aurais plus jamais à subir les insultes des garçons, enfin. Même si je ne le montrai pas, je commençais à ne pas en sourire mais j'avais survécu ! J'allais être dans un collège différent de tout le monde. C'était cool, dommage pour mes amis mais... je trouverais sûrement mieux.
Ma journée commença bien, quelques larmes sur l'oreiller, le temps de pensée aux petits déjeuners que maman me faisait tout le temps... Je me leva, me doucha, me rinça le visage et alla déjeuné, souriante. Parfois, ça me donner mal à la tête de souvent sourire alors que ça va pas, ça faisais mal mais j'aimais parce que je pouvais aller dans ma chambre être seule et pleurée. Bref, je ne devais plus y penser. J'enfila mes chaussures pour aller fêter mon entrée en 6eme chez ma tante. J'aimais pas mettre des robes mais ce jour là j'étais obligée, pas question de ressembler à un garçon selon eux. Je me faisais féliciter, j'étais heureuse. Puis ma tante vint me parler :
- Tu vas bien ? Disait-elle
- Oui et toi ? Répondis-je avec l'horreur de mentir
- Tu as quoi à la jambe ? Demanda-t'elle perplexe
- Oh, je me suis rasée mais sa m'a coupée ! Répondis-je
- Ah la la, les aléas de la féminité ! Répondit-elle en riant
- Eh oui ! Dis-je en faisant mon rire forcé
J'avais eu peur lorsqu'elle m'a dit demander si j'allais bien, mais j'étais soulagé de savoir que ça ne se voyait pas.Le soir, nous rentrons fatigués. Ma grand-mère alla dormir, je lui avais dit « bonne nuit » et je monta dans ma chambre avec un gros mal de tête à force de sourire, pensa à mes parents et à mon habitude, pleura toute les larmes de mon corps. Cela me fit voir flou, me donna encore plus mal à la tête... Je pensa à mes amis, en me disant que je n'en avais plus car je ne les contacté pas et ne les reverrai plus. Je pensa aussi à ma nouvelle meilleure amie qui devait me consoler alors j'alla la chercher pour qu'elle me soulage. Je la déposa sur mon avant-bras et là...
Premier trait, je senti des frissons s'emparer de moi.
Deuxième traits, je ne voyais toujours pas de sens couler.
Troisième traits, à croire que je me griffer juste la peau.
Quatrième traits, toujours pas de sang.
Cinquième traits.... à partir de ce moment je n'avais plus compter, je pris ma lame l'enfonça profondément pour que le sang en sorte et me coupa sans regarder le sens dans lequel je le faisais. Je regarda mon bras et vit plein de sang, je n'avais pas eu mal mais la douleur apparaissait après. Mon bras me brulait, il pissait le sang. J'alla le passé sous l'eau mais au final, je laissa le sang séché pour avoir encore plus mal... Lendemain matin, je me leva, doucha, à ce moment là je cria doucement car mon bras avait enflé, était rouge et avait pleins de sang séché. Je le retira délicatement avec l'eau et le savon, cela me brûler mais me soulageait alors pas question d'arrêter. Il fallait arrêter la douche pour pas qu'on me demande pourquoi j'avais mis plus de temps. Je mis un bandage sur mon avant bras et le cacha avec un pull car il faisait froid puis j'alla déjeuner, souriante. Comme d'habitude, je mangeais, jouais avec les chiens, aidais mamie à faire les courses, révisais quelques leçons et fis mon cahier de vacances. Je mangea mon repas du soir puis alla dormir comme d'habitude mais ce soir là, n'était pas le même...___________________________
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Bientôt la partie IV 👌🏻
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Teen FictionBonjour, moi c'est Anna. J'ai 16 ans dans quelques jours, le 10 Février. Je vais vous racontez mon histoire. Aujourd'hui, je me la répète munit de ma meilleure amie, alors quoi de mieux que de vous montrez que la joie n'est qu'une image extérieure?