Chapitre 17: je veux du soleil

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Il remontait le long de mon cou, jusqu'à arriver à mon oreille où il m'y glissa en chuchotant.

"Le repas va refroidir bébé"

Il se foutait de moi? Voilà que la situation venait clairement de dégénérer qu'il changea de sujet comme on change de chaussettes. Je le regardais avec un air désapprobateur et fis la mou.

"Mais..." dis-je

"Allez viens manger" m'ordonna t'il

Jammie avait cuisiner du poulet au curry qui était sans doute le meilleur que je n'avait jamais manger, il avait des notes épicée mais pas trop et puis, il était en face de moi et je le bouffais du regard.

Je finis mon assiette quand il me débarrassa et une femme assez agée fit son entrée dans le salon.

"Monsieur, je ne savais pas que vous étiez accompagnez, laisse tout dans l'évier je m'en occupe."

Jammie hocha la tête, m'attrapa par la main et m'amena devant la cheminée protégé par une vitre de verre qui semblait être d'une propreté irréprochable. J'approcha alors mes mains du feu pour les réchauffer quand il me les saisi avec douceur.

"Tu as les mains tellement froide" Il les embrassa. Alors on s'essaya sur le canapé et discutâmes de tout et n'importe quoi, sa voix berçait mes oreilles et je m'assoupis, il me caressait les cheveux en y laissant des baiser doux et délicats.

Sa voix me réveilla quand je l'entendit demander une couverture à la gouvernante sans doute, vous ne pas que j'attrape froid. Le feu était toujours là vif comme je l'avais laisser. Il me couvrit et l'épaisseur de la couverture ne pu que me conforter dans mon envie de dormir.

Un chuchotement me réveilla

"Bébé.. Viens on va dormir, tu vas pas rester sur le canapé quand même..."

Il me pris dans ses bras et me porta jusqu'à mon lit où il y avait entreposer mon pyjama.

"Il est très mignon ce pyjama, je l'aime beaucoup " 

Je le regardait avec un sourire gêné.

"Met le"

Je l'étais encore d'avantage

"Tourne toi Jammie je ne veux pas que tu me vois"

Il bougonna puis acquiesça ma demande.

Je vérifia qu'il me tournait bien le dos, me déshabilla et  enfila mon pyjama quand tout à coup il se retourna, me saisie par les cuisses et me laissa tomber sur le lit avec passion. 

On s'embrassait pendant une partie de la nuit parfois il se mettait sur moi et parfois c'était moi qui avait le pouvoir sur lui, je n'avais jamais ressentie une telle addiction pour quelqu'un et ça me désemparait. 

Puis, il s'arrêta et me regarda avec insistance comme si il cherchait un reproche à me faire.

"Je ne veux plus que tu parles a ce Zacharia"

Je leva les yeux au ciel

"Je t'en pris, c'est juste un gars de ma classe, tu vas pas me dire que tu es jaloux"

Il me répondit sereinement

"Non mais il veut ce qui est à moi"

Je pouffa de rire et décida de jouer avec mes doigts sur son torse, sans rien dire mais j'avais le sourire aux lèvres puis, avec un sourire enjôleur je lui demanda droit dans les yeux:

"Fais moi l'amour"

Il parût déconcerté puis il se mit sur moi en essayant de gérer le poids de son corps pour ne pas m'écraser et il m'embrassa avec passion, plus encore que dans la cuisine, je le désirai vraiment.

"Pas maintenant, c'est trop tôt Lola... Et si tu regrettes ensuite? Non moi je veux que ça soit l'un des plus beau moment de ta vie, avec moi ou quelqu'un d'autre. Dors maintenant"

Je boudais et à travers l'obscurité il le senti. Alors je me mis dos à lui quand son corps se colla derrière le mien. Je colla mes fesses contre lui et bougea avec insistance pour lui montrer mon mécontentement. Il plaqua alors une main sur ma fesse en me mordant l'épaule.

"Arrête ça Lola, je te toucherai pas ou du moins que ce que tu peux supporter."

Je souffla et ferma les yeux, c'était inespéré. 

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Le soleil tapait sur mon visage et à mon réveil, il n'était déjà plus là, il avait comme disparu. Puis, j'entendis l'eau de la douche coulé dans la salle de bain grise collée à sa chambre. Je me leva et me glissa derrière la porte quand elle s'ouvrit, il me regarda d'un air amusé.

"Tu aurais été éveillé tu l'aurais prise avec moi, mais manque de chance tu es une vraie marmotte mademoiselle Steele."

Il mis ses mains sur mes joues et m'embrassa, son haleine fraîche de dentifrice le rendait encore plus sexy et au fur et à mesure qu'il m'embrassait de plus en plus passionnément sa serviette tomba. Il m'enleva alors mon pyjama et on se retrouvait nu l'un collé contre l'autre. J'avais gagné il allait céder, il s'arrêta net, me fit un bisous sur le front et me regarda dans les yeux.

"Il est neuf heure, va à la douche j'ai dis à Dorotha de te préparer le petit déjeuner"

Je le regardait dépité

"Mais tu me donnes trop envie pour m'envoyer à la douche t'es pas cool"

Il sourit et quand je parti en direction de la salle de bain il me claqua les fesses et je sursauta.

La salle de bain était immense, au moins 3 fois plus grande que la mienne, tout était démesuré chez cet homme. Quand j'eu fini, je descendis à la cuisine ou en effet, Dorotha, la gouvernante je suppose m'avais préparé un petit déjeuné faramineux avec des pains au chocolat, des croissants, des oeufs brouillés. Je ne savais plus ou donner de la tête.

"Tu sais qu'on a pas cours ensemble aujourd'hui."

Je le regardais un peu triste 

"Oui je sais, je finis à 15h j'ai que SVT et espagnol aujourd'hui, tu vas me manquer"

Il sourit, posa les coudes sur le bar et me regarda sereinement

"J'ai envie de te faire voyager aux vacances de Toussaint, aux maldives, aux caraïbes, ou tu veux"

A ces mots mon cœur venait de flancher dans sa direction, j'adorait les voyages mais ma mère n'ayant pas beaucoup en salaire, on ne partait jamais ou très rarement. Mais ma raison repris le dessus.

"Mais on peut pas Jam, je dis quoi à ma mère? Oh tiens maman je pars avec mon prof aux Maldives, c'est pour un voyage scolaire."

Il rigola

"Alors tu choisis les Maldives? C'est noté"


Monsieur DornanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant