Imagines Et Préférences : The Originals - The Vampire Diaries

Imagine n*3 Stefan Salvatore

Holla !
Et oui, encore un imagine sur Stefan mais ça c'est la faute de LuciiieLu ! 😂
J'espère que ça te plaira et je m'excuse encore pour mon retard juste énorme !
Sans oublier qu'on vient de dépasser les 1 000 vues ! Merci beaucoup, vraiment. Ça me motive et ça me fait sourire ! Ce nombre qui augmente sans que je peux l'arrêter, j'ai paniqué bizarrement 😂
Prochaine partie, une préférence !

   Dans ma vie, il y avait Stefan et mon poisson rouge nommé Bubulle. J'avais des amis, mais à ce moment précis je ne m'imaginais déjà plus vivre.
   - Lucie, me cria Damon. Peut-être qu'il n'avait pas crié, d'ailleurs, tandis que moi si et avec ma force de vampire, j'avais enlevé ses mains de mes épaules.
   - T'es le pire frère au monde ! Comment t'as pu l'abandonner ?!
- Ça, je le lui ai déjà dit, fit une voix derrière nous.
- Enzo, éluda Damon en regardant l'anglais s'assoir sur un des canapés du salon. Stefan s'est fait enlever par l'Augustine. Aides-nous.
   Le nouveau venu nous faisait patienter, semblant peser le pour et le contre.
- Dit sur ce ton qui n'inspire pas la sympathie...
   Je pris les devants avant que Enzo n'énèrve trop Damon.
- Aide-nous à sauver Stefan, s'il te plaît. Tu connais toutes leurs techniques tordues mieux que personne. On a vraiment besoin de ton aide, s'il te plaît, Enzo.
   Il me regarda longtemps avant d'expirer par la bouche et de se relever comme si nous le forcions.
- Très bien. Mais si il se fait capturer (il points Damon du doigt) je n'y retourne pas.
- Merci, souriais-je en me disant qu'il aiderait quand même son vieil ami. Enfin je l'espèrai.

   Dans chacune des de nos poches nous avions deux flèches tranquillisantes et rien d'autres. Tout se jouait sur notre force et notre rapidité.  Le jeune vampire que j'étais s'inquiétait de ses talents. Et si je n'y arrivais pas ?
  - Ça stress sur à l'arrière, me lança Damon en conduisant.
- Peut-être, maronnais-je.
- Pas que peut-être, répondit Enzo qui m'avait volé ma place à l'avant.
- Tu penses savoir où se situe Stefan ? Lui demandais-je en contournant le sujet.
- J'en suis persuadée, c'est inutile de stressée, Lucie.
Je triturais ma ceinture.
- Damon stress  aussi.
Le conducteur de tourna vers moi : ‹‹Bien sûr que non.

   Et puis la voiture se gara et nous en sortîmes.
- Flippes pas, Lucie. Me fit Damon en me tapant dans le dos.
- Ça va, les gamins ? Grogna Enzo.
Damon et moi échangâmes un regard d'accusé.
Enzo brisa la poignée de la porte d'entrée de l'Augustine.
Ce sont des humains. Des êtres faibles et fragiles, me disais-je en partie pour me rassurée.
Nous pouvions y arriver. Nous pouvions.
   Nous entrâmes sans bruit, comme me l'avait appris Stefan. Enzo en file de tête, nous le suivions dans un escalier en pierre humide et sombre. Évidement, nous n'aurions pas le luxe d'une ampoule. Je me concentrais en marchant sur tous les bruits essentiellement produits par la tuyauterie. Des goutes d'eaux s'écrasaient au sol et à chaque fois je devais me retenir de sursauter.
  Enzo fit un geste de la main, indiquant qu'on arrivait dans une zone dangereuse.
  - Le docteur Maxfield n'est pas là, dit-il.
- Super, commenta Damon apparement plus positif que moi.
Nous progressions assez vite. Nous passâmes par son "laboratoire" où Damon et Enzo prirent le temps de se regarder, en souvenir d'une époque passée.
   Enfin nous arrivâmes.
- Stefan ? marmonna Damon.
Nous entendîmes un sifflement et le vîmes dans une cellule.
- Stefan ! M'écriais-je en brisant la serrure.
J'ouvris la porte et me dirigeais vers mon amour.
- Lucie... Faut pas que tu restes là..
- On est venu te sauver, Stefan. Tu vas rentrer au manoir.
- Bon, les amoureux, s'impatienta Enzo.
Damon et moi aidâmes Stefan à se relever et chacun autour de lui, nous l'entrainâmes dans l'escalier. Enzo devant.
Au contraire des films, aucun malade n'entra au moment où nous sortions. On put mettre Stefan dans la voiture et rouler à 90 sur une route à 50.
  Stefan était dans mes bras. Nous l'avions sauvé.. il était envie et très bientôt il ira mieux. 
- Lucie..
- Hey, on rentre, lui souriais-je.
- C'était dangereux.. Si Maxfield était arrivé...
- Chut... On a réussi, Stefan.
- Lucie, je t'aime.
  Je souris.
- Moi aussi, Stefan. Moi aussi.