Imagines Et Préférences : The Originals - The Vampire Diaries

Imagine n*2 Stefan Salvatore

Hey !
Me revoilà avec un nouvel Imagine sur Stefan pour GLOMDD
J'ai adoré l'écrire et je suis plutôt fière de la fin *sourire* ❤
Chanson : Thousand years de Christina Perri

  Huit heures, j'entrais dans l'ancienne pension de famille des Salvatore.
-Bien matinale, dis donc.
   Je sursautais et la main sur le cœur, m'exclamais : ‹‹Damon !
-Anna !›› Le grand frère de mon petit-copain mima quelqu'un de surprise en mettant ses bras en l'air. ‹‹Je sais ce que tu vas me demander : Mais où est Stefan ? Il chasse. Super non ? Depuis moins d'une heure et il serait furieux si je te laissais le rejoindre...
-Ou sinon je peux attendre dans le salon, renchéris-je en espérant arrêter Damon.
Néanmoins, attendre ici me fairait parler à Damon. Non que je ne l'aimais pas, mais Damon était un synonyme de problèmes.
   Je me résolu à aller poser mes fesses sur un de leur canapé en velours.

SMS de moi à Stefan :
Dans ton salon à avec Damon.

Et avec surprise j'eu vite sa réponse.

J'arrive tout de suite.

   Je filais vers Stefan qui me prit doucement dans ses bras.
-Anna... Murmura-t-il. Tu vas bien ?
-Super, oui mais.. désolé d'avoir interrompu ta partie de chasse.
-Ne t'excuse pas, je serai rentrée d'une minute à l'autre.
On entendit Damon souffler.
-Jaloux ? Lui lançais-je.
- Certainement pas, dit-il avec ses sourcils froncés.
Il disparu de la pièce.

   J'avais passé la journée avec Stefan. Nous nous étions baladé et avions un peu cuisiné. J'avais dit à ma mère que je dormais chez Bonnie et elle n'avait heureusement pas protesté.
   Je regardais Stefan. Nous étions dans sa chambre. Dans son lit. Dans les bras de l'autre.
   Je scrutais chaque partie de lui. Je savais qu'il regardait ma gorge.
   -Tu veux goûter ?
Stefan releva des yeux jusqu'aux miens.
-Si je commence, je ne pourrai pas m'arrêter.
-Avec moi si. Puisque tu m'aimes !
-Non. Vraiment. Je ne veux pas te blesser, Anna. Si jamais je n'y arrivais pas...
T'y arriveras ! Je ne peux pas supporter que tu sois malheureux à cause du sang humain.
On échangea un long regard.
   Il se rapprocha doucement. Bientôt, je sentis ses lèvres embrasser ma peau crépitante, puis des crocs s'imiscer comme des aiguilles dans celle-ci. Je le sentis passer sa main dans mes cheveux cœur je frémissaient à chaque gorgée qu'il avalait. Je n'avais pas mal. Non, j'avais confiance.