IV

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-Mon nom est Kaden, ravit de te rencontré.

Ma gorge étais plutôt sèche, très sèche même. J'avais l'impression d'avoir courue un marathon. Je sentais mes joues s'échauffer. J'avais la sensation de me comporter comme une adolescents de 15 ans. C'était la première foi que je réagissaient de la sorte face a un autres homme. Comme si je venais de retombées dans les méandre de la puberté.

-Célia, peu tu nous laisser seul une minutes. En attendant vas prévenir maman.

Elle nous observa tour a tour comme si elle essayées de comprendre se qui se passe.

-Alors ces lui ?

Il hocha la tête.

-Tu en est sur ? Ajouta-t-elle.

L'homme continuait de me fixer sans ce détourner de moi, il lui répondit :

-Aussi sur qu'une personne peu l'être dit-il d'une voix profond.

-Après tous se temps...

C'est yeux brillais comme si elle allais pleurer. Elle fut émue et je ne savait pas pourquoi. Comme si il lui avais annoncé une très bonne nouvelle. Elle fini après un petit moment par hocher la tête puis par franchir la porte avant de la fermer derrière elle. L'homme en face de moi se redressa puis croisa les bras sur son torse muscler. Il était un peu plus grand que moi. Carrée était un euphémisme pour décrire ces épaules. Et lorsque je regardais attentivement je pus remarquer ses yeux de couleur gris. On aurais dit des billes ou des étoiles qui brillais pendant la nuit. Lorsqu'il se lécha les lèvres une vague de chaleur me parcourue le corps. C'était comme si j'étais ivre. C'est cheveux noir était plutôt long éteignant presque la fin du coup et été tirer vers l'arrière du crâne. Il y avait néanmoins quelque petite mèche qui tomber sur ces yeux. Je remarquait aussi que par moments sa mâchoire se contractait de temps en temps, comme si lui aussi était troubler.

-Comment tu t'appelle ?

-Brad... Thompson...

-Brad soupir- t-il.

Je sentait une bille qui c'était loger entre temps au fond de ma gorge. Des frisson parcourue mon échine. Tendis que je me perdais dans un torrent d'émotions. C'est comme si mes sentiments comme le désir, la tristesse ou la peur, était devenue des couleurs qui se mélangeait dans ma tête. Des couleur enjoliver et pleine de vie. Son odeurs, le sons de sa voie, l'intensité de son regard poser sur moi. J'avais l'impression qu'il me convoitait comme si j'étais la chose le plus précieux qu'il est jamais vue. Son souffle faisait voler les quelques mèche poser sur mon front. Et ces sans doute se qui me fit revenir a la réalité. Le vent de son souffle sur ma peau tiède, et le fait qu'il c'était rapprocher de moi entre temps et sans même ment apercevoir. Je voulait le fuir parce que j'avais la sensation que cette rencontre n'était pas le simple fruit du hasard. Et je n'aimais pas la tournure que tous cela prenait. J'étais épris de doute, d'incertitude et surtout j'avais la sensation d'avoir raté quelques chose. Ressentir ses sentiments en si peu de temps n'étais pas rationnelle.

-Je....je pense que je devraient y aller. J'ai encore pas mal de boulot. Et je ne voudrait pas faire attendre mes patients. J'ai été ravie de faire votre connaissance. Malheureusement le devoirs m'appelle...alors...

Je commençais a reculer d'un pas quand je fut percuter par la table positionné juste derrière moi. Ma bêtise le fit sourire. Le plus beau sourire que j'ai jamais vue. Il y avait quelque ride au coin des yeux se qui lui donnait un certain charme. Ce mec était la chose la plus sexy que j'avais jamais vu. J'étais hétéro ! Alors comment cette idée a pus me traversé l'esprit aussi vit. Sa mains ce souleva juste devant mon visage. Mais il la laissa suspendu dans le vide comme si il attendait quelque chose.

Nouveau dépare au MontanaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant