Un étau se resserre. Ce n'est pas bon signe mais c'est habituel.
Je continu d'avancer en marchant. Je passe la grille des fumeurs et poursuit ma route vers l'établissement.
J'ouvre la porte et monte les nombreux escaliers. Dès que je vois la porte de ma classe, j'inspire à nouveaux.Je suis essoufflée.
Je ne sais ni quand, ni comment mais j'en arrive toujours au même stade. Je n'ai plus de souffle et je met 5 minutes à m'en remettre. Il n'y a personne pour voir mon état et heureusement. Mon bus arrive plis tôt que les autres.
C'est toujours quand je reprends ma respiration que je pense à ça.Je suis associale.
Je n'aime pas les gens et ne fais rien pour.
S'attacher c'est avoir mal.
J'ai souffers et je me suis reconstruite.
Maintenant je garde sans cesse cette armure qui, comme mon ombre, me suis partout où je vais. Je me suis habituée à sa présence. C'est comme si j'étais seule mais avec quelqu'un. Il me suis et me protège, me protège de tout sentiments que je pourrais recevoir ou développer.
Mais j'aime ça. Être seule et penser.
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Pensées
RandomUn cerveau qui pense c'est la base la vie, si votre corps vous en dit alors allez-y.