Le souffle d'une vie

Chapitre 8

Le grincement

***Elle pouvait à peine distinguer le corps affaibli de son frère sûr le siège. Soudain un grand bruit sourd interrompu le grand silence qui régner dans la sinistre pièces.

Ce bruit était le grincement d'une vielle porte ronger par la rouille qui s'ouvrir avec difficulté, puis des bruits de pas qui marchaient en leurs direction.

Un homme barbue et vêtu de noir arriva près d'elle, s'agenouilla nez à nez et il cria : " Lumière ! d'une voix grave et puissante". Et une lumière fortes tel celle d'un terrain de football s'alluma, en aveuglant les deux prisonnier de cette malheureuse pièces :

-Et bien ! Que vois-je !? Une bien jolie demoiselle a la chevelure rousse !

-AAH ! Il ne manquerait plus que ça ! cria la deuxième personne

-Mais dit moi ma belle. Où est ton malheur père ? interrogea le barbu

-Mon... disait-elle d'une voix douce

-Ton père ? d'un temps neutre

-Il...il est partie dans la ruelle...

Le barbu se releva et se tourna vers son deuxième interlocuteur

-De quel ruelle parle t'elle cette gamine ? se rapprochant de son collaborateur

-Elle doit parler sûrement de la ruelle ou son père est rentré pour nous échapper.

-Et bien...

L'homme ordonna a ses hommes de détacher la jeune femme et de la ramenée dans une autre pièce.

Elle ne s'avait plus quoi faire, choquée de la situation et de ces hommes armés de la têtes au pieds. Songeant qu'à fuir de cette prison et retrouvée sa liberté, mais elle ne pouvait pas laisser sont frère derrière elle.

Un troisième homme se dirigea vers elle d'un regard insistant, en fessant remuer les clés dans ses mains, s'approcha de ses chaînes et la délivra, quand soudain...***