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mais je ne pense pas
que tes mots sonnent de la même        
  façon que les miens.

j'avais cherché ta main
mais tu l'avais retirée
et aslan
pourquoi on s'inflige autant de mal?
et tu sais j'arrive pas
je supporte pas
de te voir sombrer
même dans la nuit
et j'ai cherché tes lèvres
mais t'as détourné la tête
alors je me suis agrippée
à ce sweat trop grand
et j'ai serré contre moi ce corps qui résumait mon univers
j'ai senti tes larmes dans mes cheveux et sur mes joues

aslan tu vaux bien plus que tout l'or du monde
et quand tu pleures
et quand tu souffres
et quand tu te déchires
je voudrais fondre en toi
embrasser cette chair précieuse
et dorloter tout ton être

aslan et la noyadeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant