Comment peut tu l'aimer, plutôt que nous?

Une demande pour un peu de solitude a deux

Katsuki ne savais plus quoi penser.

Lorsqu'il était rentrer des commissions, il avait été heureux de voir Deku dans le canapé, regardant la télé du salon en compagnie de Todoroki.

Malheureusement, la joie fut de courte duré car a peine avait -il posé les courses sur la table et avait put s'avancé auprès de Deku pour l'enlacé qu'il se figea.

Deku n'était pas rassurer, se qui était normal au vue de la situation actuelle, mais cela semblait plus profond que le simple malaise d'ambiance.

Deku était plus que pas rassurer, il semblait tendu comme si le moindre de ses geste pouvais lui être fatal.

Il fixait un point fixe devant lui, vers la télé mais semblait retenir son souffle.

Il avait le visage livide et les yeux vide n'exprimait que la peur.

La vrai peur, celle qui compresse votre âme et vous tend les nerfs tant que le moindre mouvement pourrais vous déchirer les muscles. La peur qui abime votre cœur par des mouvement impossible a contrôler, celle qui vous fatigue le corps et l'esprit.

Mais lorsque Deku, toujours terrifier, tournis légèrement son visage... blessé... vers lui tout en resserrant ses bras sur son torse.... perler de sang... au travers des pans tacher de son kimono. Il ressemblait plus a un animal blessé cherchant a ne pas se faire repéré par le prédateur l'ayant agresser qu'a un ange serein et réceptif a l'amour qu'on lui porte.

Izuku jeta un petit regard furtif a Katsuki avant de détourner les yeux, comme si la peur de souffrir lui avait dicter sa conduite.

"- Deku, viens, on va ranger les courses, et j'ai un trucs pour toi."

Katsuki vit Deku se levé, en douceur comme si le moindre geste brusque risquais de mettre fin a sa vie.

Une fois dans la cuisine, les courses rangé, Katsuki tendis a Deku une énorme brioche fourrée a la confiture de fraise. Même si Izuku n'avait pas grand appétit au vue du contexte actuelle, cela faisait longtemps qu'il n'avais pas grignoter de douceur et Katsuki semblait bien le connaitre pour lui avoir pris une de ses gourmandise préférer.

Izuku grignota sans grande conviction tout en suivant Katsuki qui le tirai par le bras a l'étage, dans la petit salle de bain de la chambre d'enfermement de Deku.

"- Déshabille toi.

-....

- Je te promet sur tout ce que tu veux que je ne te ferrais rien de plus que te soigné.

-.....

- Deku, s'il te plait, je veux juste voir ce que tu as, d'accord... Je sais que tu ne me fais pas confiance... Et je ne peut pas t'en vouloir, mais s'il te plait, si tu est blessé, laisse moi faire mon possible pour te soigner...

-... Tu... ne me ferra rien...... promis?

-Rien d'autre que le strict nécessaire. Je te le promet."

Katsuki essaya de le rassurer avec un petit sourire doux.

Izuku ne semblait pas très a l'aise mais finit par consentir a se laisser soigner.

Le vert ouvris les pans de son vêtement puis le retira complétement, restant en caleçon.

Katsuki, voyant le vert trembler légèrement, alluma le petit chauffage d'appoint de la salle de bain, et sortit le nécessaire de soins.

Izuku étant assis sur le petit banc en plastique, Katsuki se mit assis au sol et commença par changer le bandage de la cheville.

La plaie, faite lors du premier jour ou Deku c'était réveillé attacher et que ce dernier, paniquer, avait tiré sur sa jambe a s'en blesser a sang, était encore bien ouverte mais ne saignait plus. Le blond passa de la pommade cicatrisante sur la cheville du vert, en massant lentement et avec des geste emplie de douceur, avant de passer délicatement une bande stérile sur cette dernière.