L'étreinte dangereuse de la glace

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Izuku avait mal.

Non.

Ce qu'il ressentait allait au dessus d'une quelconque douleur.

La seul chose qui lui venait a l'esprit a l'instant même était qu'il voulait mourir.

Que la douleur cesse.

Que le sang arrête de couler entre ses jambes.

Que cette horrible sensation de morsure qui lui gelait les entrailles se stoppe.

Izuku voulait que la mort vienne...

Au plus vite....

Il avait honte...

Il se sentait sale....

Il était blessé....

Il avait faillit réussir a partir....

Et le seul truc qu'il souhaitait a présent, c'était que Kachan arrive....

Et qu'il voit....

Qu'il voit se qu'il avait subit....

"-Kachan, je veux partir. Je veux rentré chez moi. S'il te plait.

- Deku, je ne peut pas te laisser partir. Todoroki risque d'être très triste si tu t'en vas sans qu'il ai put te dire en face ses sentiments.

-Il me fait peur, il me terrifie, je t'en pris, je veux partir avant qu'il ne me fasse du mal.

- Voyons Deku, jamais il ne te ferra du mal. Jamais il ne te blessera. Il n'aime pas te voir pleuré, il préfère ton sourire. Fais moi confiance."

Jamais il ne le blessera...

Jamais...

Jamais....

Mais pourtant, malgré les nombreuse parole du blond sur l'amour que portait le bicolore a l'égard du vert....

Il l'avait blesser...

Il ne te blessera pas ....

Pourtant Izuku était au sol.

Avec une envie de vomir ses tripes...

De vomir sa douleur....

En sang.

En larme.

Brulé par le feu....

Brulé par la glace...

Blesser...

Humilier...

Violé....

Tous c'était si bien passer la veille pourtant.

Kachan et Deku s'était parlé a cœur ouvert. Kachan avait supplier pour le pardon de ses fautes passé envers le vert. Il voulait recommencer de zéro leur relation sur de nouvelle base. Il souhaitait faire table rase sur ses fautes et son comportement.

Izuku avait sentit dans la voix du blond, une détresse sincère.

Il expliqua a Kachan qu'il n'avait rien a lui pardonné. Il n'en avait jamais voulu au blond. Jamais il ne l'avait détester. Certes, il avait été fâché, triste ou fatigué par les humeurs massacrantes et les sévices que lui infligeais Kachan. Mais jamais il n'était resté très longtemps vexé par les agissement du blond.

Après tout, c'était Kachan.

Son ami.

Son model.

Comment peut tu l'aimer, plutôt que nous?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant