Chapitre 21

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QUELQUES PART :

Il devait être aux alentours de minuit, tout le monde devait dormir à part peut-être les quelques fêtards qui s'amusaient. Le ciel était noir, dénué d'étoiles, le vent soufflait à qui voulait bien une mélodie macabre et funeste, ce soir là, les animaux sentirent que quelques choses se préparaient, quelques chose de mauvais, qui changerait bien des choses.

Dans une maison, qui faisait froid dans le dos, on ne sais où, un homme et une femme était attablé.

- Tout est prêt ?

- Oui, ne t'inquiète pas, tu l'auras ton chéri et moi la mienne.

- Très bien, mais j'espère pour toi que ton plan va fonctionner, sinon tu sais ce qui va t'arriver

- Je n'ai pas peur de toi si c'est ce que tu penses. Je te rappel que si je coule, tu coule aussi, alors tes menaces à deux balles tu te les gardes.

La jeune femme, se tut et continua de faire ce qu'elle faisait, c'est-à-dire, lire et relire le contrat qui les reliaient entre eux. L'homme se leva pour disparaître dans une autre pièce. La femme, de nouveau seule se mit a sourire. Elle portait sur ses lèvres un sourire froid et machiavélique, qui effraierait quiconque le verrait.

Elle se dirigea vers une pièce fermée dont elle seule possédait la clé. Elle ouvrit la porte et s'y plongea. Il n'y avait presque rien, aucun meuble, aucune fenêtre. Une chaise trônait au centre de la pièce. Bien qu'elle ne contenait que cette chaise, les murs n'en étaient pour autant pas vierge. Du sol au plafond, quelque soit le mur, il était rempli de photo, oui de photos, mais le plus inquiétant ne fut pas la fait que la pièce en était plein mais le fait qu'il s'agissait toujours de la même personne ou plutôt du même homme et il y était représenté depuis sa plus tendre enfance.

La jeune femme ferma la porte, alluma la lumière et partie s'asseoir sur la seule chaise présente. Elle contempla les photos, toujours son sourire mauvais accroché aux lèvres :

- Plus que quelques jours et tu m'appartiendras enfin. Il m'a fallu attendre des années et des années mais, enfin, enfin tu vas m'appartenir. Je compte bien reprendre ce qui me revient de droit.

Elle se mit alors a rire, rire de joie, mais son rire ne ressemblait a aucun autre. Il s'assimilait à un pressentiment, oui, une nouvelle ère commençait, mais... sera-t-elle signe d'espoir ou au contraire, de désespoir ?

PDV Evelyne

Je me réveille aujourd'hui près des deux hommes de ma vie et la seule chose qui me vient à l'esprit est "comme ils sont beaux". Noah est collé contre son père qui nous entoure lui et moi de son bras droit. Je passe plusieurs minutes à les observer et espère que tout le bonheur que je ressens aujourd'hui ne disparaitra jamais. Je descends préparer le biberon de Noah en faisant attention de ne pas les réveiller. Lorsque je reviens débarbouillée avec le biberon, je vois Noah réveillé en train de jouer avec les cheveux de son père. Je m'approche, le serre dans mes bras et le couvre de baiser :

- Bonjour, mon amour. Bien dormi ?, dis-je en le couvrant de baiser

- Maman, maman, maman, me répond-t-il tapant dans ses mains

Tout cela finit par réveiller Jon qui s'étire et nous prend dans ses bras avant de m'embrasser et de nous placer entre ses jambes lorsqu'il appuie son dos contre la tête de lit.

- Bonjour mes amours, bien dormi ?, nous demande-t-il sa tête plongée dans mon cou

- Très bien et toi ?

- Merveilleusement bien. Je crois que je viens de passer la meilleur nuit de ma vie depuis bien longtemps.

- Papa, papa, répond Noah en lui faisant un câlin quand je l'approche de son père

Je récupère le biberon posé sur la table de chevet et le donne à Noah pendant que Jon couvre mon cou de baiser qui me font frissonner et lui rigoler

- Eh bien alors, je vois que je vous fait de l'effet madame, rigole-t-il

- Dis celui dont le petit oiseau est sorti le jour de notre première rencontre, répondis-je sourire narquois aux lèvres

- Ce n'est pas de ma faute si la femme le plus belle de monde me fait de l'effet, je ne suis qu'un pauvre homme parmi tant d'autre, répond-t-il de manière théâtrale

Je me mets alors à rigoler et il me suit. Nous passons ou plutôt il passe le reste du temps a me câliner et me faire des papouilles qui sont loin de me déplaire et je me dit que j'adorerais que tous mes réveilles soit comme celui-ci. Lorsque Noah finit son biberon, je le prends et nous descendons dans la cuisine pour que je puisse faire le petit déjeuner.

Je pose Noah dans sa chaise haute et met d'abord en route la machine à café. Je découpe ensuite plusieurs fruit que je dépose sur une grande assiette puis je fait des croissant et des pains aux chocolat pendant que Jon prend sa douche. Une fois finit je place le tout sur la table avec des jus de fruits et Jon descends nous rejoindre.

Nous passons le petit déjeuné à rigoler et nous régaler puis on décide de faire un pique-nique dans le jardin pour le déjeuner. Nous nous installons sur une nappe rouge et surveillons Noah en train de jouer dans son parc et nous mangeons et parlons de tout et de rien. J'apprend encore de nouvelle choses sur lui et lui sur moi. Cette journée se passe à merveille et rien ne vient entraver notre bonheur. Pendant que Noah fait sa sieste j'observe depuis la porte-fenêtre de la terrasse le jardin magnifique perdu dans mes pensées quand je sens des bras m'entourer et me serrer contre un torse chaud.

- Merci pour cette journée, il y a longtemps que je ne me suis pas autant amusé et reposé en même temps

- je me retourne pour me retrouve face à lui, Ce n'est rien, merci à toi, de me permettre d'être heureuse, avec toi, avec vous.

- il sourit, Je veux te promettre une chose, c'est risqué, mais peu m'importe,il prend une grande bouffé d'air, je sais qu'une promesse est une dette mais je te fais aujourd'hui la promesse de te rendre heureuse et de tout faire pour protéger notre relation naissante, je ne laisseras rien se mettre en travers de notre chemin alors fait moi confiance et soit sans crainte.

- ému, les larmes aux yeux je lui répond, Je te fais déjà confiance Jon, que je le veuille ou non, mon coeur à déjà choisis de te faire confiance alors je ne peut que suivre.

Il m'embrasse alors avec amour et tendresse et je pris de tout coeur pour que ça ne s'arrête jamais.

À Suivre...

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Salut tous le monde,
Vraiment désolé pour tous le retard mais avec les cours les devoirs etc... J'espère que ce chapitre vous aura plus et vous remercie de votre compréhension.
Merci de me suivre, d'aimer mon histoire, de voter pour elle, de l'ajouter à vos listes de lecture, etc ...
Vraiment Merci
Et n'hésitez pas à laisser des commentaires. Je vous aimes ne l'oubliez pas
Bisous 😘😘😘

Ma Maman à Moi et à PapaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant