Quoi de plus excitant et de plus captivant, que le spectacle de deux corps unis dans une passion, une frénésie érotique sans nom ? Quoi de plus aguichant, que la vue d’un étudiant monté comme un âne, prenant sa prof avec vigueur au rayon de la bibliothèque du campus ?
Oh mon Dieu ! Pas elle ; pas Madame Lyne aussi !
C'était le jour de remise des diplômes de fin d'études, et il restait encore trente minutes avant le début de la cérémonie. Voulant tuer le temps comme à son habitude, la jeune demoiselle partit alors se réfugier une dernière fois à la bibliothèque, qui d'ailleurs était dépourvue d'une âme qui vive. Comme elle le faisait à chaque fois qu'elle voulait se retrouver avec soi, ou encore, quand elle ne voulait pas être dérangée par cette bande de lourdaud qui se prenait pour les caïds de la fac, et qui lui ont empoisonné l'existence pendant ces cinq dernières années, elle venait toujours se réfugier là ; son monde à elle. Mais voilà que pour encore une fois, il a fallu qu'elle soit troubler dans son calme par l'un d'entre eux, et le pire, par le plus insupportable de tous ! Il a fallu justement que ça soit celui qui a rendu ses années universitaires en un vrai calvaire, et qui était là sous ses yeux, en train de sauter sa prof.
Y voir la sauvagerie sexuelle dont témoignent leur deux corps, les soupirs confondus, les râles d'extase et souffles mêlés qui émeuvent profondément de leurs deux êtres, ne devaient sûrement pas laisser indifférent quiconque assista à un spectacle pareil. Et pourtant, tout ce qu'elle éprouvait et ressentait à ce moment, était juste de l'indifférence totale pour cet ébat qui pourtant, aurait fait baver plus d'un ! Pas une pupille dilatée, pas un antre débordant de suc blanchâtre. Pas un souffle saccadé, pas même de jambes entremêlées pour contrôler une jouissance proche. Elle était là, impassible, ne bougeant pas d'un iota. Restée juste figer, on aurait dit une statue de marbre, composant de décor d’une salle d'attente. Elle ne quitta pas des yeux ces deux tourtereaux qui s'envoyaient en l'air, sans même se rendre compte un seul instant, de sa présence.
Il en avait dans le pantalon le mec, et savait d'ailleurs en faire bon usage !
Les râles saccadés de leur professeur, et cette façon qu'elle avait de se cramponner au jeune homme et de lui griffer le corps, comme si sa vie dépendait de la sienne, pouvaient témoigner du savoir-faire de ce cher étalon.
Le jeune homme plaqua de dos la prof contre l'une des étagères. Il lui tritura ses seins abondants, et les lécha à tour de rôle. Finalement, il balança le corps de la prof sur une table juste à côté de l'étagère. Il retroussa légèrement la mini-jupe de cette dernière avec fébrilité, passa sa main entre son entrejambe, et sans ôter son slip, l'écarta seulement pour dégager l'entrée de sa chatte. Sans aucun ménagement, il s’enfonça dans le conduit très humide de désir, et abondant de filtre gluant.
- Tu aimes sentir mon chibre dans ta grotte, autant que j'adore te l'y fourrer ? Dis-moi si c'est bon. C'est bon ? Je te baise bien ? Est-ce-que je te ramone assez proprement, et suffisamment la chatte ma douce prof ? Ou, faut-il que je te prenne autrement ?
- Oh oui ! Donne-le-moi tout entier ! Répondit la prof dans un murmure bizarre, comme si elle faisait une crise cardiaque. Oh que c'est trop bon Klaus ! Prends-moi fort, brutalement, et vite s'il te plaît. Je n'en peux plus ! Oh mon Dieu ! Je sens que je vais prendre mon pied comme jamais auparavant. J'adore quand ton gros engin se remue entre mes jambes.
L'excitation des deux êtres était au comble. Il passa une main sous les fesses de sa prof, et la souleva sans aucun effort apparent. Cette dernière, enroula ses jambes autour de la taille de son étudiant, et se laissa aller au plaisir. Il la soulevait et descendait sur son énorme membre de bélier quand soudain, son regard fut attiré par une ombre dans la pénombre. Il souleva les yeux, et pu enfin remarquer sa présence. Juste le temps d'une nanoseconde, il s'arrêta de remuer. Leurs regards se rivèrent, s'accrochèrent.
- Mais pourquoi t'arrêtes tu Drew ? Se plaignit la prof. Continues ; je ne suis pas encore venue !
Le jeune homme se mit à respirer bruyamment, puis de nouveau, il commença à bouger. D'abord lents, ses mouvements de va-et-vient s’accélérèrent progressivement, sans pour autant quitter la jeune fille des yeux un seul instant. On aurait dit qu'il puisait son excitation, son énergie et sa force, dans le regard de cette dernière. Progressivement, il s'agita furieusement. La prof était quant à elle aux anges.
L'étudiant, était sa bonne affaire.
La jeune fille pensa avoir trop supporté leur présence, et voulut s'éclipser quand :
- Non ! Attends ! Souffla Drew pour elle.
- Tu me baise bien, alors ne me demande pas de me retenir. Répondit la prof d'une voix devenue rauque. Je ne le pourrai pas ; je vais bientôt venir !
La professeure pensait que c'était à elle que le jeune homme s'adressait. À la demande du garçon, la demoiselle n'osait plus bouger, comme si le regard du jeune homme la retenait captive, et lui intima de ne pas partir. Elle garda ses yeux rivés aux siens. Le jeune homme recommença de bouger, et il se remua de plus en plus vite entre les jambes de sa prof, toujours les yeux braqués dans ceux de la jeune fille. Il avait ses doigts, enfoncés dans la chair de sa proie. Il poussa un grognement rauque et fort à chaque poussée de bite. L'ultime moment de délivrance était proche, et on pouvait le constater par l'accélération de la cadence de ses reins, et par leurs râles saccadés.
- Oh, je viens mon étalon, je jouis.... ! Geingnit la prof.
- Moi aussi... Je viens... ! Gronda son amant.
A grands coups de reins énergétiques, il laissa fuser tout son plaisir. Subitement, il poussa un grognement si fort, et ferma les yeux pour laisser la jouissance s'emparer de tout son être. Une fois calmé de ses soubresauts, le temps de rouvrir les yeux, elle avait tout simplement disparu.
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Désirs Insolents Tome 1 : Le Play-boy Des Barreaux
Romance- Comme tu peux être énervante Roxana Audrey Lewis ! - Et comme j'aime bien cela ! Être ton souffre douleur pour une fois que les rôles sont inversés, est un pure plaisir. Andrew-Klaus et Roxana-Audrey Lewis, deux êtres pas comme les autres. NB : C...