Je t'aime mais il y a ELLES!

•Holiday part 8•

(PDV Rio)

Ce matin, je me sentais encore perturber par ce qu'il s'était passé la veille, tout est allé tellement vite, je n'aurait cru qu'un homme irait embrassé Mieko, et comme par hasard face à Karma, je ne crois forcement pas au destin, donc je ne pas peux dire que c'était prévu, la scène n'était pas très visible, mais les cris étaient bien audibles, j'ai vraiment eu peur pour Mieko, car je sais que Karma peut être violent quand il ne se contrôle pas...Et pour ne rien vous cachez, j'ai parfois peur pour lui, et aux personnes qui l'entourent aussi...

Mais j'ai de la chance d'avoir Sugino de mes côtés, car lui aussi ce sentait perturber, et il a bien fait de venir m'en parler, sinon je me sentirais encore plus mal que d'habitude.

C'est donc le cœur remplit de doute, et d'inquiétude que Sugino et moi sommes allés à la recherche de Karma.

Mais sans aucun succès, malheureusement.

"Peut-être qu'il est sorti", "Peut-être qu'il dors encore?"

C'était les questions que nous étions en train de nous poser actuellement, mais, s'il était encore à l'hôtel, il serait obligédans tous les cas de passer par l'accueil. Ce fut ainsi que nous nous somme retrouvé sur les canapés, mise à disposition pour les nouveaux clients qui arrivent à l'hôtel.

- Je me demande s'il n'est pas vraiment sorti...

- Je n'en sais rien Sugino...

- On devrais allé voir vers la piscine non?

- Le flemme...Attendons...

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(PDV Itona)

Aujourd'hui, est une journée de plus à la plage, car oui, par rapport à certains je préférais resté à la plage profité du soleil chaud, et de l'eau claire, au lieu d'aller faire les guides touristiques dans des villes inconnues, ça ne m'intéresse pas à jouer les aventuriers.

- Yaah! Un boudin de mer!

N'avait cessé de crier Terasaka, en compagnie de sa bande d'idiot.

- Me dit pas que tu as peur de ta propre b*te...

Réplique ai-je.

- Gnah! Arrête de dire n'importe quoi c'est pas vraaai!

- C'est ce qu'on va voir...

Je m'approchai du boudin de mer qui était tranquillement posé sur le sable chaud, face à lui, face cette chose qui était la plus grande peur de Terasaka, je me penchais, et le pris délicatement en main, je sens que Terasaka frissonne dans mon dos, tout en s'imaginant les pires scénarios qui puissent arriver, je me tourne donc face à lui, le regard vide, et sans vie, et m'approcha doucement vers lui, il pris ses deux amis par la main et en fît un bouclier humain, mais je suis bien plus futée que lui, donc au lieu de tenter d'aller l'attaquer par-derrière; je me mets en position de lancer, en mode jeu olympique, et lance cette pauvre chenille de mer dans une trajectoire bien calculer.

...

Ce fut ainsi que la chenille s'envola en tremblotant tel de la gelée, passant au-dessus de la tête de deux zigotos, qui regardait cette pauvre bête des mers se lamentablement poser sur la tête de Terasaka avec un bruit des plus pervers qui puisse être.