Chapter 1

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Hey! Ici Léo! J'ai réécrit ce chapitre :3
Pour faire saigner vos yeux, j'ai decidé de laisser les vieux chapitres à la fin du livre, après tous les chapitres! Si vous voulez voir, c'est à vos risques! ;)

Voici donc notre nouveau chapitre tout beau tout propre! :

Une jeune fille s'avance, le sourire aux lèvres. Ses cheveux bruns clairs lui arrivaient aux hanches, ses yeux sont gris et ses joues rosées sont constellées de taches de rousseurs. Elle prend la main d'un homme d'environ son âge, l'entraînant dans une danse. L'homme avait les cheveux presques noirs et les yeux noisettes. La robe rouge de la femme volait autours d'elle avec grâce. Soudainement, l'homme se met à tousser. Il recule de plusieurs pas, avant que ses jambes ne s'écroulent sous son corps. La femme l'aida à s'assir sur la première chaise à sa portée. Il tousse et tousse encore et encore. Sa peau pris une teinte pâle. Sa tête tournait. L'impression que tous cela recommençait lui aurait donné la nausée, s'il ne l'avait pas déjà.

"911?! C'est.. C'est mon mari! Je... il..." la femme aux yeux gris avait aggripé un téléphone et s'était empressée d'appeler les secours, alors que son mari avait fermé les yeux. Plusieurs personnes s'étaient précipités vers lui pour s'assurer qu'il reste en vie.

"Oui, bonjour madame. Restez calme. Qu'est-ce que votre mari a?"

Elle ne détachait pas ses yeux de l'homme depuis le début de l'appel. Elle résuma d'une voix tremblante les symptômes que celui aux yeux bruns semblait avoir.

"Nous arrivons tout de suite. Assurez-vous qu'il ne s'endorme pas. Ne raccrochez pas, je reste en ligne. Je suis avec vous. Dites son nom..."

N'en pouvant plus, la femme s'assis à son tour et agita sa main pour se faire du vent.

"Marck?..." murmura-t-elle

"K...enza?....aide moi...mon ventre..." murmura d'une voix à peine audible l'homme, luttant pour garder ses paupières ouvertes.

Il s'était plaint plusieurs fois de mal de ventre, mais Kenza croyait qu'il s'agissait uniquement d'un rhume. Un long rhume, puisque cela faisait environ 5 mois qu'il se plaignait.

Le téléphone à l'oreille, Kenza écarquilla les yeux lorsque la voix lui dit une hypothèse sur le malaise de Marck. Elle ouvrit la bouche et la referma, comme un poisson. L'ambulance emporta Marck et Kenza. Des radiographies furent immédiatement prises. On applica un gel sur le ventre douloureux de l'homme, qui grimaça. Les médecins discutèrent à voix basse de la boule qui ravageait Marck de l'intérieur. La réponse à leurs questions fut immédiate.

"Marck DuBoisé a une tumeur cancérigène , assez avancé je dois dire" annonça un d'entre eux

Le visage de Kenza se décomposa.

"Il lui reste... combien de temps?" Murmura-t-elle

"Peu, si peu... il pourrait mourir aujourd'hui comme dans deux mois. Avec la chimiothérapie, si elle est efficace sur lui, devrait le faire tenir un maximum de 5 mois"

"OLIVER ÉGLANTINE DUBOISÉ, TU VAS ME FAIRE LE PLAISIR DE LEVER TON DERRIÈRE DE CE LIT!"

Je me réveillai en sursaut et tomba du lit en une pirouette peu gracieuse. Enroulée dans un tas de couvertures mélangée, je gromellai contre la chance qui faisait de nouveau surface en moi. Avoir un coussin pour amortir la chute? Noooooon! Avoir des couvertures? Nooooon! J'avais uniquement entrainé une faible couverture dans la chute, et elle m'était peu délicatement tombé dessus, une fois que mon visage était bien écrasé contre le sol froid. J'avais ensuite tiré d'autres couvertures, en l'espoir de retrouver quelques heures de repos sur le sol même. Le claquement des souliers de ma mère contre le sol se rapprocha dangereusement. Je me glissai sous mon lit et tirai les couvertures avec moi. Le bruit de griffes contre le planché détruit tous mes espoirs.

Moi et ma malchanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant